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Bon on est sur un film très moyen
C’est dommage car ce aurait pu être très intéressant
Les raisons
Une atmosphère de lourdeur et pas assez poignant ce qui provoque un fort ennui 🥱
C’est dommage car ce aurait pu être très intéressant
Les raisons
Une atmosphère de lourdeur et pas assez poignant ce qui provoque un fort ennui 🥱
tres belle fresque historique de la vie de ces petits commercants de l epoque meme si le film contient quelques longueurs. Cary Grant est a la hauteur.
Le fils prodigue Cary Grant cherche la rèdemption dans ce mèlo thèâtral de Clifford Odets, l'un des auteurs dramatiques les plus rèputès des annèes 30! Quelques longueurs qui font place aux bavardages et une mise en scène acadèmique ne nuisent en rien l'histoire qui nimbe parfois le rèalisme de poèsie! Grant est très bien, c'est indèniable (même si on n'a du mal à l'imaginer vagabond), mais dans le rôle de la mère malade qui se tue au travail, Ethel Barrymore remporte de façon calamiteuse l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle laissant Angela Lansbury pour « Hantise » sur le carreau! Dèsespoir d’une femme misèrable qui n’hèsite pas à pratiquer le recel pour assurer l'avenir de son fiston où l’on reste finalement à la surface des choses sans être ravagè d’èmotion! Petit et bien que peu photogènique, Barry Fitzgerald remonte heureusement le niveau dans les seconds plans! Mais c'est la composition à fleur de peau de Jane Wyatt qui retient surtout l'attention même si son personnage est malheureusement très secondaire! Où est cette vie dont parlent les livres ? Quand le monde sortira t-il de sa nuit ? Quand l'âme humaine se relèvera t-elle ? Le soir dans "None But the Lonely Heart" a d'ètranges èchos et le monde ici a besoin de bonheur! il ne reste plus qu'à Ernie Mott / Cary Grant de se battre pour une vie qu'on espère meilleure...
Mélodrame parfois très lourd, au scénario déséquilibré et à la mise en scène pas très inspirée (Clifford Odets n’est pas un cinéaste et cela se voit très vite), ce film n’a qu’un intérêt : montrer que Cary Grant aurait pu jouer des rôles tragiques avec le même talent que celui dont il fait preuve dans les comédies qu’il a interprétées tout au long de sa carrière. Il aurait suffi pour cela que Rien qu’un cœur solitaire soit une réussite…
Classique du film noir à la morale acide, ce polar raconte bien la vie de ces commercants-artisans à qui l'ont a tout pris à l'aube de la seconde guerre mondiale, vivants bien souvent aux frontières d'une capitale inexistante & forcés d'envisager des métiers secondaires pour vivre ou survivre: une sorte de sombre célébration, ou Hollywood s'oublie.
TTNOUGAT
Voila l'exemple parfait ou l'on voit qu'un excellent scénariste peut-être un piètre cinéaste.Il est difficile (à moins de faire n'importe quoi) de faire plus mal malgré la présence de Gary Grant qui comme Jane Wyatt et Dan Duryea sont venus se perdre dans cet infâme mélo.je me suis ennuyé de bout en bout et n'ai jamais compris le sujet que voulait traiter Clifford Odet et qu'elle thèse voulait t-il faire passer.En dehors d'un pessimisme surréaliste qui ne peut évidemment intéresser personne,il n'y a strictement rien.Admirateur de Gary grant,j'ai regardé ce film pour lui et je l'ai même trouvé mauvais, c'est dire.Quant à Ethel Barrymore,les gens qui lui ont donné un oscar pour son rôle devraient revoir leurs copies en 2009.Si le cinéma c'était ça,je pense que j'aurais fait un autre choix pour mes loisirs.
Autant Clifford Odets (qui a inspiré le personnage de Barton Fink dans le film des frères Coen) devait surement être un très brillant auteur de pièces de théâtre, autant c'était un réalisateur très médiocre. En effet, autant dans l'écriture scénaristique que souvent sur le plan technique le film laisse vraiment à désirer et donne même parfois l'impression d'être brouillon malgré un début qui promettait une atmosphère intéressante pour la suite. Le fait d'avoir nommé Cary Grant pour son rôle dans ce film prouve que l'honorable académie pouvait être complètement à côté de la plaque c'est un de ses rôles dans lequel l'acteur est le moins à l'aise et le fait d'avoir décerné une statuette à Ethel Barrymore est une erreur encore plus grossière car son interprétation est aussi caricaturale que peu convaincante, seuls Barry Fitzgerald (sur lequel on peut toujours compter) et Jane Wyatt arrivent à sauver l'ensemble de la médiocrité absolue. C'est un film qui donc promettait pourtant beaucoup et avec un réalisateur plus compétent derrière la caméra il n'aurait pas été douteux qu'on aurait pu avoir un très bon film, dommage.
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