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    Le Septième voyage de Sinbad
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    3,8
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    32 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juin 2018
    Sinbad est l’un de mes souvenirs cinématographiques les plus lointains. Le cyclope a longtemps incarné la force du mal dans mon imaginaire d’enfant. En visionnant le film cinquante ans plus tard, j’y replonge avec un plaisir nostalgique. Si les maladresses de tournage ne venaient en aucun temps atténuer notre frayeur à l’époque, aujourd’hui elles font sourire. Notre attention se porte sur les effets visuels remarquablement réussis pour l'époque de Ray Harryhausen et de sa technique qui consiste à superposer des personnages animés en stop motion sur des séquences en prise de vue réelle et impliquant des acteurs. Pour plusieurs, l’animateur qui avait travaillé sur King Kong en 1933 a atteint son apogée avec Le septième voyage de Sinbad. Le combat d’épée entre le célèbre marin et un squelette est d’une maîtrise renversante tant au niveau du mouvement que du rythme. Les effets spectaculaires ont permis au film de connaître un beau succès commercial. Pour le reste, le scénario et les personnages ne peuvent être dessinés à plus gros traits. Tous les éléments classiques de la fable s’y retrouvent : le héros, la princesse, le magicien, le génie de la lampe, le dragon, le trésor, etc. Aucune ambiguïté entre ceux qui incarnent le bien ou le mal. Le jeu des comédiens est plus qu’ordinaire mais il demeure secondaire dans ce genre de film puisqu’ils sont au service de l’entité qu’ils incarnent. On se fout même des nombreux mauvais raccords de prise de vue. L’important est que le héros sorte gagnant et que les méchants périssent. Alléluia!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2006
    Un film culte ! Des effets spéciaux toujours aussi merveilleux, une très belle histoire bien écrite, des acteurs convaincants et des décors (et des costumes) de rêve, ne cherchez plus, le 7e Art est là !
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    1 000 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2013
    Comment rester de marbre devant cette merveille qui ne prend aucune ride année après année ? Avec ses effets spéciaux toujours aussi merveilleux, son histoire passionnante, épique et rocambolesque, ses acteurs convaincants (excellent Kerwin Mathews), ses décors de rêve, sa musique enchanteresse, les créatures de Ray Harryhausen... Le 7e voyage de Sinbad est une perle rare dans le milieu, une exaltation colorée majestueuse rarement égalée. On ne peut qu'être sous le charme de ces paysages féériques et surtout de ces scènes inoubliables de la danseuse-serpent, du cyclope ou encore tout simplement du combat contre les squelettes, mille fois copié mais jamais égalé. Ne cherchez plus, le 7e Art est là !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2008
    Un grand classique du 7ème art, avec tout ce que le public aime et demande : des aventures dépaysantes,
    des combats, de la romance, des monstres signés Ray Harryhausen, et un superbe méchant interprété par Torin Thatcher. Le charme opère, et on ne s'en lasse toujours pas.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    767 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2019
    Film fantastique qui repose énormément sur les superbes effets spéciaux concoctés par le mythique Ray Harryhausen, "Le Septième voyage de Sinbad" se distingue aussi par une mise en scène bien rythmée et une interprétation solide de Kerwin Mathews dans le rôle principal. A noter quelques passages bien marquants, comme celles où apparaît le Cyclope ou encore le fameux duel entre Sinbad et le squelette. Un excellent divertissement que je recommande à tout le monde.
    kray
    kray

    53 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2011
    Le meilleur sinbad . La première grande réussite de harryhausen , ou l'on découvre pour la toute première fois , les fameux squelettes qui feront fureur dans le chef d'oeuvre de ce maître de l'animation : jason et les argonautes.
    jamesluctor
    jamesluctor

    139 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2010
    Sans trop se fendre pour un scénario (un héros basané, une princesse envoûtée, un méchant magicien, une île mythique...), on a quand même droit à un film d'aventure sympathique, aux effets spéciaux bienvenus et ambitieux (le charme de la pâte à modeler et des vieilles incrusts opère toujours). Très réjouissant pour son lot de créatures, le film se suit avec plaisir, malgré le fait qu'on sache déjà comment ça va se finir. Du bon cinéma à l'ancienne, débarrassé de tout twist final, parfait pour une soirée familiale ludique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 août 2011
    LE film de mon enfance, celui qui m'a toujours emerveillé ! Mon dieu que c'est beau ! Certes les efets spéciaux ont pris un sacré coup de vieux, les monstres en carton pâte animés plan par plan, les effets sur fond vert et j'en passe mais faisant abstraction de tout ça, ce film est et restera culte pendant DES ANNEES !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 202 abonnés 4 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2021
    Dans la lignée de Willis O’Brien, le responsable des effets spéciaux sur « King Kong » (1931) de Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper, Ray Harryhausen devient le maître incontesté de l’animation image par image après que celui-ci l’ait embauché à ses côtés comme assistant pour « Mighty Joe Young » (Ernest B. Schoedsack en 1941). Afin d’acquérir l’autonomie nécessaire à la réalisation de tous les projets qu’il a en tête, Harryhausen s’associe dès 1955 avec le producteur Charles Schneer. Cette collaboration fructueuse donnera douze films en 25 ans. Pour ne pas dénaturer ses projets, Ray Harryhausen fait appel à de solides faiseurs aux qualités techniques reconnues mais dont il sait que l’ambition artistique ne sera pas envahissante. C’est ainsi que Nathan Juran réalisera trois films pour le duo. « Le septième voyage de Sinbad », leur deuxième essai, sera celui qui mettra sur orbite Ray Harryhausen, le rassurant sur la capacité de son imaginaire à recevoir l’approbation du public. Après la science-fiction, ce sont ici les contes orientaux qui serviront de cadre au déploiement des effets spéciaux attendus. Sinbad le marin est une fable irakienne née entre 781 et 835, reposant sur les voyages d’un marin de la ville de Baghdad. La légende a été intégrée aux contes des mille et une nuits. C’est le septième et dernier voyage de Sinbad qui servira de trame au film produit pour un budget modeste par la Columbia. Ce changement total d’univers sera un renouvellement bienvenu pour Ray Harryhausen qui va proposer un émerveillement en technicolor qui encore aujourd’hui fait tout son effet. La cohérence narrative n’est certes pas le fort du scénario mais les personnages sont suffisamment bien dessinés pour captiver l’attention. Pour les raisons de coûts évoquées plus haut, le film est tourné en grande partie en extérieurs. En Espagne, Nathan Juran promène sa caméra à Majorque (Grottes d'Arta/Porreres), à San Feliu sur la Costa Brava, à Grenade et son sublime palais de l’Alhambra. Les scènes tournées en plateau le seront à Madrid et à Londres. Le dépaysement est total encore renforcé par les couleurs chamarrées que donne au film Wilkie Cooper, le chef opérateur confirmé qui accompagnera Ray Harryhausen sur plusieurs autres films. L’Orient fantasmé proposé par Juran et Harryhausen est un ravissement pour les yeux tout comme les paysages où s’ébattent les créatures opposées à Sinbad (Kewin Matthews) et son équipage. spoiler: Le célèbre marin après un voyage sur l’île de Colossa où il a sauvé le magicien Sokurah (Torin Tatcher) du terrible Cyclope qui s’est emparé de sa lampe magique, doit se marier à Baghdad avec la princesse Parisa (Kathryn Grant). Mais Sakurah pour convaincre Sinbad de retourner à Colossa pour l’aider à récupérer sa lampe magique, miniaturise la princesse à laquelle seule une potion concoctée avec la coquille d’un oiseau vivant sur l’île pourra rendre sa taille normale. Le voyage périlleux s’engage
    . Dans cette deuxième partie tout le savoir-faire du magicien des effets spéciaux éclate au grand jour. Son savoir-faire sans aucun doute mais aussi sa grande poésie, tant ses créatures qui ne pouvant être réellement terrifiantes vu les moyens de l’époque, sont chacune attachante et dotée d’une personnalité propre. Notamment le Cyclope qui s’avère très grande réussite, sorte de Pan dont la maladresse teintée d’une certaine grâce est profondément touchante. C’est sans doute la force de ces génies des effets spéciaux balbutiants que d’avoir compris qu’il fallait qu’ils injectent la vie dans le regard de leurs créatures pour faire oublier au spectateur leur réalisme rudimentaire. Nathan Juran en parfait lieutenant qui a compris quel était son rôle, dirige au mieux les acteurs, notamment un Kewin Matthews dont il tire le meilleur de son jeu certes limité mais parfaitement dosé en opposition à un Torin Tatcher cabot, lui aussi sous contrôle qui campe un méchant d’excellente facture. L’opération sera tellement réussie que ces trois-là seront réunis quatre ans plus tard pour une aventure dégageant un parfum semblable (« Jack, le tueur de géants » ) et tout aussi réjouissante même si Ray Harryhausen ne sera pas de la fête, remplacé par Jim Danforth.
    Napoléon
    Napoléon

    146 abonnés 1 572 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Un scénario absent sans rythme et souffle. La mise en scène est plate. Après il reste une bonne bande son doublée d'effets spéciaux antiques. Un film qui garde un certain charme.
    Redzing
    Redzing

    1 148 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2024
    « The 7th Voyage of Sinbad » fait partie du club très fermé des films dont le nom auquel tout le monde l’associe n’est pas celui du réalisateur, ni des acteurs, ni du scénariste ! Je parle évidemment de Ray Harryhausen, créateur des effets spéciaux du film, dont le contrôle artistique dépassait largement celui de simple technicien. « The 7th Voyage of Sinbad » fait partie des incontournables de l’œuvre de cet artisan qui a inspiré des générations de créateurs d’effets visuels.
    Impossible de ne pas évoquer ici la qualité des effets, dans les mouvements des créatures et leur interaction avec l’environnement. Le passage le plus dingue étant peut-être le combat avec le squelette, bourré de bonnes idées de trucages. Une séquence devenue emblématique, que Ray Harryhausen « dopera » dans le final de « Jason and the Argonauts ». Mais il faut aussi souligner la générosité et la créativité du bestiaire : sur moins de 1h30, on en a pour notre argent !
    Pour le reste, l’intrigue est relativement simple mais bien huilée - littéralement, l’un des enjeux du film est une lampe à huile magique… Je passe sur quelques invraisemblances qu’un œil moderne et cynique pourrait relever (le potentiel du génie est à peine utilisé par les personnages !), à l’époque on n’était pas là pour ça.
    Le film s’appuie sur Kerwin Mathews (le futur OSS 117 de André Hunebelle !). Pas l’acteur du siècle, mais il a l’énergie et les postures qui en font un bon héros de film d’aventure. A côté, il faut bien avouer que les autres acteurs ne sont pas toujours des plus fins. Je note quand même la prestation colorée de Torin Thatcher (aucun lien avec Margaret), amusant en méchant grandiloquent.
    Et puis il y a la belle BO éclatante de Bernard Herrmann, adéquate pour ce généreux film d’aventure.
    Scavs
    Scavs

    15 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 février 2012
    Mouais ça se laisse regarder, bien sûr les effets spéciaux du film sont trop kitsch à regarder de nos jours, mais ça fait le charme de ce genre de film. Néanmoins, je lui préfère le Choc des Titans (la vieille version) pour ce qui est des vieux films de ce genre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 août 2007
    Magie et dépaysement garantis avec cette perle fantastique des années 50, véritable vitrine technique de ce qu'Hollywood savait faire de mieux en matière d'effets spéciaux (toujours signés par le grand Ray Harryhausen). Je suis d'ailleurs toujours bluffé par la qualité de l'animation ainsi que des différentes incrustations en rétro-projection, c'est du travail d'orfèvre (aucun film français ne fait aussi bien, même actuellement) ! Quel plaisir alors de voir en action ce fantastique bestiaire : cyclope, dragon et autre oiseau géant... L'émerveillement est tel qu'on en oublierait presque la tonalité un peu vieillotte de son histoire (50 ans quand même !).
    Caine78
    Caine78

    6 807 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Même si l'interprétation laisse un peu à désirer, ce film est un classique du genre. Les effets spéciaux sont très étonnants et ont beaucoup de charme, et on suit ces aventures assez trépidantes avec beaucoup de plaisir, surtout que la mise en scène est assez efficace. Sans être du grand cinéma, c'est du très bon cinéma de divertissement.
    real-disciple
    real-disciple

    85 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2012
    J'ai du respect pour Harryhaussen qui cherchait à nous faire rêver avec peu de moyens à l'époque, et ses monstres sont vraiment réussis (le Cyclope, le Dragon, le Rapace à deux têtes). Hors mis ça le film reste assez faible mais ça nous fait voyager.
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