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    Princesse Mononoké
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    4,4
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    887 critiques spectateurs

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    Omar Gharbi
    Omar Gharbi

    10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 décembre 2024
    A 3 reprises j'ai essayé de rentrer dans l'univers de Miyazaki (Le voyage de Chihiro, le garçon et le héron et Princesse Mononoke) et à chaque fois j'ai échoué. Aujourd'hui avec Princesse Mononoké je jette officiellement l'éponge. Je suis insensible à la poésie supposée du film, je ne trouve pas les images particulièrement belles et je ne comprends rien aux histoires si toutefois elles existent. Seul côté positif pour moi la musique qui est indéniablement efficace.
    J31frites
    J31frites

    10 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2024
    Quatrième fois que le vois (les trois autres j'étais trop petit pour comprendre ça m'avait surtout traumatisé, on va pas se mentir les démons sangliers, les géants dieux cerfs des montagnes, les voix badantes des loups et les têtes coupées quand t'as cinq ans c'est pas top), je l'aime un peu plus à chaque fois.
    Sans aucun doute un des meilleurs Miyazaki, pour avoir réussi à pondre une histoire qui tient la route et comporte un minimum de cohérence, même si on a droit à l'habituel petit pétage de plomb final avec un univers qui part dans tous les sens et le coup de magie finale qui vient tout arranger parce que sinon on sait pas comment faire. C'est vrai quoi, quelqu'un comprend quelles sont les intentions du grand cerf ?
    N'empêche il y a du rythme, l'intrigue avance vite et bien, l'univers, mêlant le monde réel -la Chine est même nommée- et des créatures plus mythiques et fantastiques n'est pas sans régaler notre envie de découverte, les personnages sont vraiment bien écrits : spoiler: entre Ashitaka, personnage qui, prit d'une malédiction de haine, restera le véhicule de la paix à chaque instant et dame Eboshi qui fait partie des rares antagonistes à être nuancée et à finir par se repentir,
    tous les personnages ou presque sont dosés : pas ou peu de manichéisme.
    Une véritable ode à la nature et une sensibilisation à l'écologie, même si on aurait gagné sur ce terrain là à montrer directement l'homme détruire les forêts. L'oeuvre ressort une question fort intéressante : lHomme fait-il partie de l'écosystème ? est-il prévu dans les règles complexes de la nature ?
    On constate aussi la présence d'un village matriarcal, un bon moyen de montrer que ça marcherait aussi s'il y avait un peu plus de femmes au pouvoir.
    Sans oublier, ô merveilles ! l'animation qui rivalise avec la musique de Joe Hisaishi en terme d'immense beauté.
    CritiqueCiné
    CritiqueCiné

    7 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2024
    Un classique qui n’a pas pris une ride. Avec ses images magnifiques et son message écologique fort, c’est captivant et profond, tout en gardant une vraie magie. Le Studio Ghibli réussit à faire des histoires qui marquent profondément, même des décennies après.
    SkyBout
    SkyBout

    38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2024
    Quelle claque ! Je ne m'attendais pas à ça en regardant le film. On se prend une leçon de morale dans la figure c'est assez incroyable. Comme quoi l'humanité reste un fléau pour la nature lorsque les humains veulent à tout pris dominer ce qui les entoure.
    Les dessins sont magnifiques, la musique et les animations mettent en valeur l'histoire et rajoute un suspens au scénario.
    Je recommande !
    Emilien Barriera
    Emilien Barriera

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 octobre 2024
    Ce film est tout simplement le meilleur de miyasaki. L'histoire est magnifique. Les dessins aussi et le personnage sont tout simplement magique. Ce film est un incontournable et un chef d'œuvre.
    Bardamu59
    Bardamu59

    10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2024
    Je viens de faire un petit voyage dans le monde de Miyazaki récemment (Château ambulant, Château dans le ciel, Ponyo sur la falaise) et vraiment princesse Mononoké est un des plus aboutis, des plus modernes, des plus écologiques. Comme tout excellent film il traverse les âges sans prendre une ride. c'est une fable empreinte de poésie et de philosophie à la fois, on est aux antipodes des animés de Disney qui ne véhiculent que des valeurs quasi enfantines et qui n'enfoncent que des portes ouvertes (évidemment ce n'est que mon avis). Ces animés ne reposent pas sur la technologie comme s'en vantait "le bossu de Notre-Dame" par exemple (je me souviens de la promo qui se reposait sur les utilisations innovatrices de l'informatique avec travelling époustouflants et autres superlatifs). Chez Miyazaki c'est l'esthétisme des dessins et le message à faire passer qui prédominent. Quand je regarde un Disney je suis capable de deviner la fin la plupart du temps, quand je regarde un Miyazaki je suis totalement incapable de deviner ce qui va se passer dans les 5 minutes qui suivent. Pour ceux qui ne connaissent pas je leur conseille de commencer par Princesse Monoké, si certains vous disent que c'est trop violent pour être vu par des enfants, demandez leur avec quoi ils jouent sur leurs consoles et côté violence vous pourriez être surpris.
    Ben
    Ben

    4 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2024
    Encore une fois les animés japonais sortent du lot de part leurs morale et leur façon de passer leur messages avec autant d’originalité. Ce film est une réussite
    SwanK!
    SwanK!

    1 abonné 79 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2024
    Ça c’est le plus grand chef-d’œuvre des films d’animations jamais réalisé jusqu’à se jour. Une histoire envoûtante et réconfortante, et même apaisante à certain moment.
    Ren_
    Ren_

    125 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2024
    Princesse Mononoké est un chef d'oeuvre incroyable. Toute cette poésie et toute cette délicatesse présentes dans un monde de guerre et de souffrance. En plus la thématique concernant la relation entre les humain et son environnement, différents thèmes sont abordés tels que les ravages de la guerre, la colère, la vengeance, l'escalade de la violence et de la haine qui en découle, la condition féminine, la tolérance ou encore la valeur travail. La relation de confiance et d'amour entre Ashitaka, un jeune homme méprisant toute cette souffrance, et San, la princesse de la forêt ne cherchant qu'à protéger sa maison, est magnifique. Cette relation montre que chaque peuple ennemi possède des individualités profondément gentille, mais aussi qui peuvent être aveuglées par la guerre. Les personnages du fort, des femmes et des hommes d'une gentillesse très pure, sont malheuresement entrainés dans le sillage de dame Eboshi. Ce film est vraiment magnifique et est l'un des meilleurs film du studio.
    Alasky
    Alasky

    359 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2024
    Une épopée fantastique, intemporelle et inoubliable. Visuellement époustouflant, les dessins de paysages et de forêts sont sublimes. Une oeuvre à la fois haute en couleurs et très sombre dans ses propos, et son thème est encore très actuel bien des années après sa sortie.
    Nath Visuals
    Nath Visuals

    61 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2024
    Féministe, écologiste et pacifiste. Les trois mots qui je dirais qualifie ce film au niveau de l'engagement. Princesse Mononoke sorti en 1997 au Japon est selon moi le plus grand des chefs d'œuvre du grand Hayao Miyazaki, lui qui les enchaîne sans avoir fait aucun mauvais film. Dans la filmographie du réalisateur japonais, on retrouve beaucoup d'inspirations européenne mais Princesse Mononoke, comme Le voyage de Chihiro fait exception et sort juste après Porco Rosso qui se déroule en Italie, en mer Adriatique.

    Dans Princesse Mononoke, Hayao fait s'affronter l'homme et la nature mais sans jamais vraiment choisir un camp. Pour représenter la nature, on a San qui est la princesse des loups aussi appelé "Princesse Mononoke". Mononoke qui en japonais veut dire esprit vengeur.
    Du côté des humains, nous avons Eboshi, qui est à la tête du village des forges. Et au milieu nous avons Ashitaka, un jeune prince venu d'un petit village de la tribu des Emeshi que tout le monde pensait décimé par l'empereur.
    Ashitaka est la figure la plus importante du film, celle qui permet de rallier "hommes et bêtes". Celui qui veut que les "Hommes et les dieux de la forêt puissent vivre en paix". Celui qui veut "porter sur le monde un regard sans haine".
    Cette phrase est tellement importante et peut résumer tout le film.

    3 engagements sortent donc de ce film de la part du réalisateur. Tout d'abord le féminisme. Même si notre personnage principal est un homme, comme dans tous ses films, les personnages féminins sont très importants. Le village des forges est dirigée par Eboshi, une femme forte, qui n'est ni tout noir ni tout blanc. D'un côté elle brûle la forêt, la déboise mais recueil aussi les lépreux, les aides, nettoie leurs plaies. Le manichéisme n'existe pas chez Miyazaki, on est pas chez Disney. Il représente des personnages comme dans la réalité finalement, qui ont des bons et mauvais côté. Il n'y a ni méchant ni gentil mais des camps qui ont leur intérêts propres.
    Ensuite, nous avons San, la figure de proue de la nature, celle qui va tout risquer pour tuer Eboshi, celle qui n'a pas peur de mourir et qui sait se battre pour défendre la forêt. Elle ne se considère même pas comme humaine mais comme une louve à part entière.
    Mais nous avons aussi Toki, une femme du village des forges, bien plus courageuse que les hommes autour d'elle.

    Deuxièmement, nous avons un côté écologiste. Même si ce côté n'est peut être pas aussi extrême que dans Nausicaä de la vallée du vent, il est quand même très présent et d'une façon différente. Contrairement à son deuxième film, la nature n'est pas déjà morte mais est en train de reculer, de brûler, de mourir. Un peu comme notre monde. Mais dans ce film, la nature se défend, se rebelle, tente de tuer les humains pour survivre quitte à tout sacrifier. Ici c'est le dieu cerf qui représente l'équilibre de la nature, celui qui a aussi le pouvoir de donner la vie ou de la reprendre. Il est l'être suprême que tous les animaux veulent protéger.

    Pour finir, on a le côté pacifiste qui est peut être le plus marquant et qui est représenté par Ashitaka. Le jeune prince va goûter à la haine de par le maléfice du dieu sanglier qu'il aura subi au début du film. Il va comprendre qu'il peut utiliser cette haine mais qu'en l'utilisant, même s'il devient plus fort, elle le ronge de l'intérieur.
    La haine est le mot le plus représentatif du film, c'est l'état de haine, de colère qui transforme Nago et Okoto en démon. Ashitaka comprend cela très vite et va tenter de raisonner la mère louve en lui disant que "La haine ne fait qu'engendrer la haine" quand elle lui demande s'il va combattre les humains.

    Au delà de ces trois thèmes important, Princesse Mononoke raconte également une histoire d'amour impossible entre San et Ashitaka, deux personnes qui ne font pas parti du même camp mais qui vont s'unir dans un même but, sauver le dieu cerf et donc sauver la forêt.
    Princesse Mononoke est aussi le film de Miyazaki qui utilise le plus le silence, celui qui nous fait le plus voyager. Il y a des scènes entière dans le film sans aucun son et sans aucune musique. Je n'ai jamais vu de films utilisant autant le silence avec autant de sens et aussi bien.
    On a dans ce film quelques unes des meilleurs musique de Joe Hisaishi, le thème de Princesse Mononoke est absolument sublime et est décliné de différentes façon à plusieurs moment du film, c'est tellement BEAU !! Des musiques qui traduisent le sanglot et la mélancolie des arbres, qui traduit la tristesse et la douleur d'Ashitaka, qui montre la prestance et la gravité de la haine notamment lors du combat entre Eboshi et San avec Ashitaka qui intervient. La musique montre aussi la mort avec les "Requiem". Pour créer ces musiques montrant un Japon du XVeme siècle, un Japon médiéval, Hisaishi utilise des vieux instruments traditionnels japonais.
    Mais sa musique qui est peut être la plus belle, la plus douce est son Adagio de la vie et de la mort, au moment où le dieu cerf calme Okoto rongé par la haine et Moro (mère louve) qui était à bout de force, en leur ôtant la vie. Une musique qui est à mi chemin entre la vie et la mort et qui est à pleurer.

    Bref Princesse Mononoke est pour moi le plus beau film de l'histoire du cinéma, un film précurseur comme l'est son réalisateur dans la protection de la nature, un film on l'on se regarde nous même finalement, où l'on assiste à ce que l'humanité est capable de faire. Mais Miyazaki le prend avec un style différent et une période différente pour nous toucher, nous montrer un voyage initiatique d'un héros qui découvre la haine et la tâche qui l'envahit. C'est un film que j'ai vu entre 20 et 30 fois, c'est aussi le premier film qui m'a rendu muet au moment du générique quand j'étais petit et qui m'a fait réfléchir pendant plusieurs jours, le premier film où j'ai regardé le générique jusqu'au bout en repensant à tout ce que je venais de voir. C'est la cinquième fois que je le revois en moins de deux ans et je ne m'en lasse jamais.
    Au delà de tout ce que Miyazaki met en avant dans ce film, comme dans ses autres films, le message qu'il veut faire passer c'est : même si la vie est dur, même si le monde est maudit, il y a des raisons de vivre. C'est ce qu'Ashitaka va dire à San devant la nature qui est en train de mourir : "Nous sommes là, nous sommes vivant toi et moi" ou Toki aux personnes autour d'elle au moment où leur village brûle : "tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir".
    Voilà le dernier message du réalisateur : gardez espoir.
    BillBoo
    BillBoo

    14 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2024
    Aborder l'écologie à travers l'animisme revêt Princesse Mononoké d'un manteau poétique pour un problème d'ampleur mondiale. Est-il possible d'allier progrès et respect de la nature ? Pour sûr, si l'humain se garde de sombrer dans une industrialisation dévoratrice, une indifférence pour la planète et un expansionnisme glouton.

    La déforestation et la pollution provoquent la colère de la forêt. Des animaux jadis pacifiques deviennent démoniaques. Leur haine tentaculaire se répand comme une épidémie, et touche même des humains qui n'en sont pas responsables. La haine engendre la haine. Il n'y a qu'en retrouvant un équilibre avec la nature que l'on peut rompre le mal.

    C'est la mission qui incombe à Ashitaka, après que le sanglier possédé le corrompt. Le voyage qu'il entame pour se guérir l'amène à découvrir une forteresse industrielle. En souhaitant accélérer le progrès, Dame Eboshi ne prend plus soin de ce qui l'a rendu possible, à savoir la forêt et ses matières premières. Sa course à l'innovation, notamment dans le domaine militaire, attise la colère des défenseurs de la nature. Toutefois, en dehors de tout manichéisme, Miyazaki montre les vertus de Dame Eboshi : c'est une femme forte, pragmatique, perpétuant une structure matriarcale, et apte à intégrer des minorités marginalisées – les lépreux, vus comme le diable à l'époque, à qui elle donne du travail.

    De l'autre côté, s'articulent plusieurs positions : San et les loups, la violence organisée ; les sangliers, la violence bestiale ; et les orangs-outans, la désapprobation impuissante. Le dieu-cerf, dans tout cela, n'adopte aucune posture. C'est l'incarnation du cycle de la vie, dispensateur de vie et de mort. Sa disparition opère une instabilité dans l'ordre des choses. Ce qui était alors sagesse et protection se transforme en une forme visqueuse, putréfiant tout ce qu'elle touche.

    Mais l'issue n'est pas fataliste puisque, une fois sa tête récupérée, le dieu-cerf façonne à nouveau la forêt. Progrès technologique et amour de la biodiversité peuvent alors cohabiter, si tant est que les êtres humains renoncent à surexploiter les ressources de la planète.
    Roger D
    Roger D

    80 abonnés 896 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2024
    Oui oui honte à moi pour un cinéphile de n'avoir jamais vu ce film sorti en 1997 (la jeune de l'accueil de mon ciné à trouver d'une part que ce fut un très bon choix et puis à été surprise que je ne l'avait jamais vu!^^). Et j'avoue que grâce au ciné j'ai pu grandement apprécier ce film. L'histoire est intéressante et l'esprit du mythe japonais est juste top comme souvent. Le rythme est nickel et on se demande en voyant le film qui est le héros car toujours cru que ce fut elle mais non pas vraiment. Le jeune garçon tente de tout faire pour réconcilier humain et nature mais malheureusement l'un des camps reste le maillon faible d'une possible réconciliation.
    Tragmuab E
    Tragmuab E

    6 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2024
    C'est l'histoire d'Ashitaka un jeune prince qui vit dans un village perdu dans la pampa. Un jour, il va se faire attaquer par un sanglier monstrueux qui avait un démon en lui et qui va le contaminer.
    Il va devoir entreprendre un long voyage pour découvrir d'où venait ce sanglier et essayer de lever la malédiction qui finira par le tuer.

    Histoire/scénario : un jeune garçon qui entreprend un voyage pour lever une malédiction, mouais sans plus, mais je pardonne le scénario parce que cet animé est tellement magnifique qu'en fait, on s'en fout.

    Animation/dessin : est-ce vraiment la peine de vous présenter les studios Ghibli et Hayao Miyazaki ?
    Les dessins sont magnifiques et on ne parle même pas des animations qui sont excellentes, d'un niveau de réalisme réellement bluffant.

    VF/bande son : la VF est excellente et le thème qui revient souvent est très bon.

    Comme beaucoup d'animé Ghibli le travail est parfait mais celui la est pour moi un des meilleurs l'histoire , les combats toutes est bien dosé pour que l'ont ne s'ennuuie pas.
    Si vous ne connaissez pas interessez vous a ces animés vous ne regretterez pas.
    Evidemment il y en a des bien est des moins bien mais celui la fait parti de mes preferés.
    Beaucoup de parents ferais mieux de montrer ce genre de film a leurs enfants plutot que les daubes qui passent a tv .
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2024
    Fresque médiévale et nippone, légende japonaise à coup d'esprit de la forêt, de cerfs, de petits sylvains, et de demons. Pour en apprécier la poésie, il faut rentrer dans le délire. C'est assez différent de.notre culture européenne et donc c'est pas facile de se laisser happer par l'histoire mais le film contient quelques moments de grâce graphique qui en vaut tout même le visionnage. Je suis pas fan de Myazaki mais il faut avouer qu'il a vraiment apporté aux films animés.
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