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Une citation éclairante
Le titre original du livre et du film vient d'une citation de l'auteur : "L'ego est la source (fountainhead) du progrès humain".
Une source d'inspiration
Apologie de la débrouillardise, de l'individualisme et de la tenacité, le roman était très populaire dans l'armée américaine lors de la Seconde Guerre mondiale. Long (700 pages en édition de poche), il aidait à passer le temps pendant les moments creux, et encourageait les troupes lutter pour leur vie.
De l'art de faire respecter son droit d'auteur
Lorqu'elle apprit que le discours d'Howard Roark au procès allait être éxpurgé car considéré comme top long et confus (Gary Cooper n'en comprenait pas un traître mot!), Ayn Rand, auteur du livre original, entra dans une colère noire. Elle s'assura que le studio ne compromettrait pas l'intégrité de ce monologue.
Les histoires d'amour finissent mal...
Patricia Neal et Gary Cooper se sont rencontrés en 1947. Elle avait 21 ans, lui, 46. Lorsque Mme Cooper découvrit leur relation, (après le tournage du Rebelle, en 1950 !) elle envoya un télégramme à Patricia Neal libellé: "J'EN AI RAS LE BOL DE VOUS. VOUS FERIEZ MIEUX D'ARRETER IMMEDIATEMENT OU VOUS LE REGRETTEREZ. MRS. GARY COOPER". Ce ne fut qu'après que Gary Cooper eut mis Patrica Neal enceinte, et l'ait persuadée d'avorter, que Mrs Cooper eut gain de cause. Maria, fille de Gary et de sa femme, alla elle-même cracher à la figure de Patricia Neal. Se sentant coupable, et effrayée par tant de tapage, celle-ci mit fin à cette idylle adultère.