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    Le Rebelle
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    Anne B.
    Anne B.

    8 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Film esthétique avec une réflexion sur la création artistique. En 1949 les goûts étaient aux buildings façon BANHAUS. Autre temps. Le personnage de la femme est assez ridicule et outré, mais c'était l'époque. Gary cooper a 48 ans et est toujours beau. On a plaisir à voir ce film. Les décors sont beaux.
    Henrico
    Henrico

    160 abonnés 1 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2020
    Ce ne sont pas les personnages, le scénario, ou la structure narrative, conventionnels à souhait, mais au demeurant fort sympathiques, qui rendent extraordinaire de ce Rebelle Vidorien. L’intérêt du film vient de ce que le type d’architecte avant-gardiste prôné par le personnage magnifiquement incarné par Cooper, nous paraît, 60 ans après le film, archi dépassé et rétrograde. Cela, nous permet ainsi d’évaluer à quel point les tendances artistiques et culturelles, avec le temps, peuvent passer d’un extrême à l’autre. Quant à la longue plaidoirie de la fin, elle nous permet de rendre compte des termes en lesquels s’est posé aux USA, la question qui, en France, a longtemps gangrené le débat sur l’art. « L’art pour l’art, donc acte individualiste, ou Art militant, pour le peuple, donc collectiviste ».
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 mars 2020
    Ayant été très marqué par le roman d’Ayn Rand, je ne suis pas le meilleur public pour ce film. Adapter un tel pavé était presque impossible et il faut avouer que le scénario réussit admirablement à condenser l’essentiel du matériau d’origine. Mais j’ai parfois eu l’impression de regarder un film en accéléré et il m’a manqué toutes ces choses qui font du roman un chef-d’œuvre et qui ne peuvent être développées que sur une durée plus étendue : la force de l’obstination de Roark, l’atmosphère vénéneuse des cercles new-yorkais, la puissance du personnage de Dominique, le lyrisme du discours sur le travail de Roark, etc. On ne s’ennuie pas une seconde, mais l’œuvre de Rand est réduite au squelette de sa démonstration philosophique, qui du coup est moins digeste (bien que toujours magistrale) que dans le livre.
    Hotinhere
    Hotinhere

    527 abonnés 4 923 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2020
    Inspiré par la vie du célèbre architecte américain Frank Lloyd Wright, ce film est un véritable hymne aux précurseurs dont les visions s'opposent à la pensée collective, soutenu par une mise en scène virtuose et l'interprétation puissante de Gary Cooper.
    Fabien S.
    Fabien S.

    532 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2020
    un bon film hollywoodien des années 50 avec Gary Cooper , Patricia Neal, Kent Smith , Henry Hull. Un chef d'oeuvre.
    Y Leca
    Y Leca

    27 abonnés 972 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 janvier 2020
    La présence de Gary Cooper en homme seul contre tous intégre et indestructible n'y fait rien. Tout est outré et pas crédible dans ce film de King Vidor qui a très mal vieilli : l'héroïne relève de la psychiatrie et le scénario est grotesque (un architecte jugé pour avoir dynamité un immeuble !). A oublier pour retourner vers High Noon.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 469 abonnés 12 370 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juillet 2019
    King Vidor est devenu le chantre par excellence de l'extase amoureuse, sans craindre les plus hardis dèbordements passionnels! il suffit de rappeler le magnifique "The Fountainhead" avec Gary Cooper et Patricia Neal...qui restèrent très liès après le tournage! C'est l'histoire d'un architecte visionnaire, accusè d'avoir fait sauter un bâtiment en construction! il rèussira à apporter la preuve de son innocence en dèmontrant qu'on avait sabotè ses plans dans le but de le compromettre! Vidor signe là un grand film qui dècrit avec une violence inouïe pour l'èpoque la double passion d'un homme, pour une femme, mais aussi pour son mètier! Avec le toujours excellent Raymond Massey mais aussi les immenses dècors de Carrere ("White Heat"), selon la tradition de l'expressionnisme allemand! Les dernières images du film sont absolument sublimes! spoiler: D'un Cooper dans le vent et main sur les hanches contemplant sans vertige le monde à ses pieds tandis que Neal, plus amoureuse que jamais, monte le rejoindre en ascenseur! Un remarquable morceau de cinèma amèricain...
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    92 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    Magnifiquement mis en scène, ce film original et intelligent, inspiré par la personnalité de Frank Lloyd Wright, géant américain de l’architecture, brasse des thématiques aussi intéressantes que la liberté créatrice, le rôle de l’artiste, les rapports de domination psychologique ou financière ou encore le poids des normes et des conventions dont tout inventeur doit s’émanciper. D’une incroyable richesse, son scénario fourni et cérébral est magnifiquement servi par de grands acteurs, au premier rang desquels Gary Cooper, Patricia Neal et Raymond Massey. Volontairement schématique dans la description de ses personnages, Le rebelle se clôt par ailleurs sur un monologue discutable sur le fond, qui reprend les thèses de l’individualisme radical développées par Ayn Rand dans son livre La source vive, dont le film est une adaptation. Il n’empêche que cette fresque qui dénote la fascination de King Vidor pour les personnages hors-normes, est éblouissante d’ambition.
    Frédéric P
    Frédéric P

    15 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2018
    Superbe film de King Vidor de 1949 représentant le sommet de l’individu face au groupe, le rebelle intransigeant et pur face au conformisme et à la compromission.
    La relation torride entre Gary Cooper et Patricia Neal est mise en scène avec brio, depuis le moment où la femme surplombe l’architecte devenu terrassier dans une carrière jusqu’au moment où elle lui cède en s’envolant au dernier étage du plus haut gratte-ciel de New York. qu’il a construit.
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    21 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 novembre 2016
    Un film esthétique, halluciné et bourré de symboles pas du tout innocents ! un chef d'œuvre sur l'individualisme et la création artistique ! Patricia Neal éblouissante face à Gary Cooper !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 octobre 2015
    A mon sens, ce film est un bon film à plusieurs égard.
    Tout d'abord, il est un des rares films à donner accès par l'écran à l'oeuvre de Ayn Rand (A ce propos on peut regretter de ne pas avoir une interprétation de qualité d'Atlas Shrugged et non une simple farce à petit budget!). Bien qu'il y ait des différences assez marquantes avec le livre (le rôle que joue Dominique Francon est assez radicalement différent, et c'est ce qui m'a le plus marqué) l'esprit Randien du film est conservé.
    Autre remarque relative à l'oeuvre, le rôle des personnages. Le fait de faire représenter chacune des idées qui s'opposent dans le livre par un personnage particulier est assez caractéristique d'Ayn Rand. Cette façon de porter une idée par personnage est surprenante et interdit d'explorer des psychologies complexes. Il faut comprendre ici aussi que ce n'est pas le but du film que d'avoir des personnages complexes et torturés, les oppositions d'idées apparaissant plus dans les interactions entre personnages que dans les personnages eux mêmes.
    Ce qui nous amène aux interprétations données par les acteurs. A mon sens Gary Cooper est excellent. Malgré les critiques qui ont pu être faites sur le choix de l'acteur, le résultat est très bon, et le personnage de Roark est très bien rendu. A l'inverse les second rôles, à commencer par Patricia Neal (excellente actrice par ailleurs) sont, sans être mauvais, assez moyens.
    Concernant le scénario, toute la difficulté consistait à transcrire à l'écran la réflexion portée par The Fountainhead. Le résultat est positif, la réflexion est correctement posée, l'esprit du livre relativement bien rendu.
    Enfin, certaines scènes sont tout particulièrement esthétiques, ce qui rajoute à l'intérêt de ce film.

    En conclusion: une très bonne prestation de Gary Cooper, une bonne première approche d'Ayn Rand qui réussit à initier une véritable réflexion autour des valeurs et thèmes Randiens, et un film réussi dans sa conception.
    landofshit0
    landofshit0

    269 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2014
    Cet architecte ne fait aucune concession,préférant être hors des schémas imposés quitte à passer à coté de ponts d'or. Il est évident que Vidor tout comme son personnage s'est retrouvé à défendre son point de vue face à des financiers qui n’avaient aucune vision artistique. Son film tient dans une mise en scène et une image grandement efficace. On dénotera tout de même un surjeu dramatique(c’était le jeu de l'époque) de la part de Patricia Neal qui lui fait perdre par instant sa crédibilité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 avril 2014
    L'histoire d'amour entre cooper et neal est la plus envoutante qu'il m'ait été donnée de voir au cinéma. C'est juste fort.
    Cooper en macho inflexible, en voilà un modèle de mâle alpha, l'incarnation du personnage randien.
    Léa H.
    Léa H.

    31 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2014
    Développant la grande thématique vidorienne qui oppose l’individu (libre et créatif) à la communauté (normative et aliénante), « Le Rebelle » peut surtout être vu comme l’autoportrait d’un cinéaste qui lutte pour son indépendance au sein de l’industrie hollywoodienne (et s’oppose à une critique réactionnaire). Malheureusement, tout cela est par trop didactique, alourdi par le hiératisme du jeu d’acteur et englué dans le mélo. Restent le beau classicisme de la mise en scène et la complexité des rapports entre l’architecte et le patron du journal. Bref, le bilan est très mitigé pour ce film pourtant personnel de King Vidor. Et l’on se dit que le cinéaste n’est jamais mieux que lorsqu’il fait passer son discours en catimini, derrière le genre (« Duel au soleil » ou « La grande parade »), que dans ce « film à thèse » qui a pris un sacré coup de vieux…
    Gody G.
    Gody G.

    20 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2013
    Apologie de l'individualisme, du non-conformisme et du courage. Ce film pourrait galvaniser plus d'un. Sinon, je l'ai trouvé un peu long. La séquence du procès était trop longue et j'aurais préféré que le film se clôture, avec cette séquence. Le reste était très peu intéressant, surtout ce happy end du couple qui se marie. un peu convenu.
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