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    La Légende du grand judo
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    Alolfer
    Alolfer

    134 abonnés 1 170 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 janvier 2023
    Le tout 1er film de Kurosawa ! Très impatient de découvrir ce réalisateur japonais ! Malheureusement, son premier film est pas terrible. Le scénario n'est pas vraiment intéressant ce qui gâche la grande partie du film. Néanmoins, l'acteur principal se débrouille très bien et est très bien aidé par la réalisation (qui est le gros point du film)
    Desman
    Desman

    8 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 novembre 2019
    Pour un premier film c'est franchement pas mal," l’élève" Kurosawa mérite une bonne note ;) Plus sérieusement, on sent déjà la patte du maître avec une mise en scène impeccable et ce don d'intégrer des scènes de la vie quotidienne dans le film. On regrettera que certaines scènes aient été à jamais coupées par la censure. L’enchaînement des séquences en souffre. Mais on passe quand même un bon moment avec cette exploration de la relation maître-élève, essentielle dans tout art martial et propre à la culture asiatique d’extrême-orient.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2019
    La Légende du grand judo, premier film de la légende Akira Kurosawa, est une oeuvre incomplète : loin d'être inaboutie, on sent cruellement le charcutage fait en pleine Seconde Guerre Mondiale par l'Etat japonais, qui nous a visiblement privé d'un grand premier long-métrage. On y sentait déjà les gimmicks d'un réalisateur devenu référence de son temps, tant au niveau de la démonstration de ses combats que de ses séquences plus contemplatives, où l'honneur sera le maître mot et l'amour s'imposera comme une source de distraction au devoir des hommes.

    Bâti sur un noir et blanc vacillant, il développe une histoire toute simple d'affrontement de deux arts-martiaux différents : d'un côté la modernité du Judo, de l'autre les traditions ancestrales du Jujitsu. Pour les représenter, deux de ses futurs acteurs fétiches : Susumu Fujita en héros, Denjirô Ôkôchi dans le rôle de l'antagoniste. Deux hommes charismatiques entourés d'acteurs tout aussi talentueux, du sage Takashi Shimura à la charmante et féminine Yukiko Todoroki.

    Malgré les nombreuses coupes (il doit manquer plus de vingt minutes officielles au film; il en nécessiterait encore quarante de supplémentaires pour exploiter tout son potentiel), la force narrative de La Légende du grand judo reste inchangée : récit initiatique d'un homme initialement perdu entre deux arts, on le suivra s'égarer entre deux possibilités de choix de vie, se battre avec le vieux maître de jujitsu au nom de l'honneur ou se défiler pour l'amour d'une femme, fille de ce même maître.

    Un questionnement certes court dans l'intrigue mais très évocateur, notamment du fait de la qualité de la réalisation. Outre des plans magnifiquement modernes lors du combat général en sortie de bar (la première scène de film après ellipse, où le personnage principal, ivre, se bat avec une ribambelle d'opposants), on notera déjà un sens du rythme et des décors phénoménal, que Kurosawa affiche avec poésie dans ce dernier acte destructeur partagé en deux combats.

    Le premier, officiel, se déroule dans un dojo et suit un sens du courage et de l'honneur admirables. Le second, et dernier, se déroule en sommet de colline, au sein d'herbes hautes; il ne s'agit plus de valeurs "braves", non, seulement de vengeance et de règlements de compte, de deux hommes qui se battront jusqu'à la mort à défaut d'avoir su comment vivre ensemble. Du premier ou du second, en ressort une maîtrise totale de la mise en scène des décors et des combats qui jouent avec l'environnement, inscrivant déjà le cinéma japonais dans la révolution qu'amènera, une poignée d'années plus tard, le marquant Kurosawa.

    Retenons pour ce premier film qu'il se construit sur une dualité profonde : celle de deux combats finaux opposés par leurs décors (le dojo et l'air libre d'une nature libératrice de destinée) et leurs antagonistes (un maître vieillissant, honorable à l'opposé de son élève certes courageux mais dévoré par ses émotions négatives), a contrario d'une autre dualité, cette fois des valeurs, où l'amour s'oppose à l'honneur.

    Reste que la plus belle des dualités est celle du film, film d'auteur amputé de sa durée, où l'on comprend que Kurosawa, artiste en avance sur son temps, s'est élevé contre le régime de son pays à la sortie d'un film pourtant peu virulent, mais transmetteur de valeurs et d'ouverture d'esprit à la nouveauté.

    Un moment très joli, talentueux et annonciateur de la grande carrière à venir d'un des réalisateurs les plus influents de son temps.
    Santu2b
    Santu2b

    255 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2017
    Réalisé en 1943, "La Légende du grand Judo" est le premier long-métrage d'Akira Kurosawa. Durant sa genèse, le film eut maille à partir avec la censure. Tourné en pleine guerre, le gouvernement japonais exhorta le cinéaste à adopter un vocabulaire nationaliste. L'oeuvre se trouve d'ailleurs amputée de 17 minutes définitivement perdues, jugées trop sentimentalistes par la censure. L'ensemble reste anecdotique par rapport à ses sommités tels "Rashomon" ou "Les Sept Samouraïs" mais "La Légende du Grand Judo" est ce qu'on pourrait appeler un essai des plus agréables. Son rythme impeccable ainsi que ses intéressants fondus enchaînés témoignent d'ailleurs d'une maîtrise technique évidente qui ne peut que s'amplifier par la suite. Un bon travail d'artisan portant en lui la germe des prestigieux films ultérieurs.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2017
    Akira Kurosawa n'avait que trente-trois ans lorsqu'il réalise son premier film La Légende du Grand Judo, devant déjà faire face à la pression de son gouvernement souhaitant qu'il insère des éléments nationalistes à son film, ce qu'il a tenté de refuser.

    Il évoque d'abord ici la rivalité entre les écoles de judo et de jiu-jitsu, ces derniers voyant mal la concurrence et n'hésitant pas à les défier, mais propose surtout le portrait d'un jeune homme découvrant le judo et faisant face à plusieurs épreuves pour prouver sa valeur. Construit comme une initiation à la vie, La Légende du grand Judo permet à Kurosawa d'aborder les prémices du judo et d'installer une rivalité entres écoles, ainsi qu'une intéressante relation maître/élève.

    C'est notamment via ce dernier point que Kurosawa intéresse, à l'image de toute la première partie et la découverte du judo par le protagoniste et la façon dont il va être accepté par le maître. Si l'oeuvre est moins intense dans sa seconde partie, où l'histoire d'amour manque clairement d'émotion voire même d'intérêt, apportant juste une touche de douceur dans ce monde de brutes, elle n'en reste pas moins intrigante et prenante tout le long. Le futur metteur en scène du génial Ran montre déjà un certain savoir-faire, sachant capter l'essence et la force des enjeux et personnages, à l'image des valeurs humaines proposées par le judo, et proposer une atmosphère assez sombre plutôt prenante.

    Bien que parfois maladroit, il nous immerge dans les prémices du judo avec brio, sublimant son récit avec, déjà, une certaine maîtrise technique, jouant avec brio avec la belle et inquiétante photographie en noir et blanc. Sachant user de nombreuses symboliques, à l'image de la scène du nénuphars, il arrive à donner un côté parfois poétique à son oeuvre, tandis que certaines séquences sont plutôt mémorables, à l'image du dernier combat (c'est néanmoins dommage que les autres ne soient pas à la hauteur).

    Avec La Légende du grand Judo, son premier film, Akira Kurosawa propose une oeuvre intéressante et intrigante bien que parfois maladroite et surtout hachée par la censure, où il montre avec humanisme comment le judo a supplanté le vieux jiu-jitsu durant l’ère Meiji.
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    49 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2016
    Avec cette 1ere oeuvre du grand maitre japonais ,ce sont toutes les codes du cinema de combat qui se trouvent posées : l'opposition entre 2 ecoles rivales ,les relations maitre/disciple ou encore l'histoire d'amour qui vient perturber la destiné du heros.Meme si le temps a quelque peu altréré la qualité de l'image ,le noir et blanc ajoute une touche poetique indeniable renforcé par le charisme des personnage a commencé par celui incroyable de Sanshiro ,sans oublié la douce musique.Les scenes de combat (la 1ere est trop sombre) ne possedent pas l'energie et le coté spectaculaire (sauf la derniere dans les hautes herbes) des films actuels ,a l'inverse la psychologie et les valeurs humaines basés sur le respect de l'adversaire sont omnipresentes.L'histoire d'amour n'est certes pas des originales mais elle permet comme souvent d'apporter une touche de douceur au milieu de ce monde de "brutes" et aussi de creer un dilemne chez le heros pris entre devoir et passion.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    117 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2014
    Il n’y a que chez les grands maitres du 7ième art qu’on constate en découvrant leur 1ère œuvre à quel point leur style, leur mise en scène, leurs idées sont déjà d’une précision, d’une maitrise totalement assumée que l’on retrouvera tout au long de leur filmographie. « La légende du grand judo » a beau avoir été coupé d’une bonne partie dû à la guerre, ce film de 1943 d’1h15 est assez incroyable dévoilant les intentions de ce jeune réalisateur ultra doué. Kurosawa nous présente l’arrivée du judo en conflit direct avec son art martial d’origine qu’est le ju jitsu. Confrontation de l’époque féodale à l’époque moderne merveilleusement représenté par notre jeune Sanshiro qui va affronter le maitre et son meilleur élève de l’ancienne discipline. Je note en fermant les yeux sur la qualité de la réalisation de l’époque considérablement délabrée aussi bien au niveau de l’image que du son mais l’interprétation est excellente et la musique accentue merveilleusement les combats et les symboles d’illuminations de notre apprenti. C’est un peu dommage que le duel final se déroule dans les hautes herbes où l’on ne voit absolument rien mais avec ce vent tourbillonnant, il est clair que la scène a une ampleur qui est la marque de fabrique de cet immense réalisateur Japonais…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 février 2013
    Pas le plus beau film de l'auteur mais on peut déjà y voir son style. Deux ou trois scènes ressortent largement du reste et son d'une maestria absolues. La narration est parfois énervante car la durée est de 1h15 on aurait aimé que certaines parties soient plus développées. La qualité de l'image et de la photographie a un peu vieillit.
    JohanJett
    JohanJett

    38 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2012
    Premier film tourné en décor naturel par le grand cinéaste japonais Akira Kurosawa,si la mise en scène est excellent ,les combats sont incroyables par moment sans musiques,parfois poétique et dramatique. Le film de kurosawa à été amputé de 600 mètres de pellicules pendant la guerre,on ne les a jamais retrouvées.C'est vrai que celui ci est loin d'être parfait,mais le génie Kurosawa avait fait un excellent travail sur cet art martial,le Jiu-jitsu ancêtre du judo moderne . Ce film fut tourné pendant la guerre japonaise dans des conditions difficiles,mais Kurosawa jeune réalisateur brava avec courage la tyranie des producteur de l'époque.Ce drame sera le premier film sur les arts martiaux,d'autres viendront par la suite. Certaines scènes sont magnifiques comme celles du courage du jeune héros qui subit les outrages de son maître pour devenir le meilleur judoka.Ce film marque un effet visuel impressionnant,même si ce n'est pas encore le Kurosawa que l'on connait par la suite avec sa touche personnelle ,celui ci ne manque pas de talent pour le premier du cinéaste nippon.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    160 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2020
    Maladroit et sublime à la fois, mutilé et censuré par les autorités japonaises de l'époque, le premier long métrage d'Akira Kurosawa s'avère passionnant de bout en bout. Malgré la piètre qualité de la copie, le visionnage de «Sugata Sanshiro» constitue un réel plaisir : quelle chance de pouvoir observer les débuts d'un des plus grands cinéastes de tous les temps! Incroyable comme ici et là apparaissent des fulgurances de son génie futur! Bien sûr le rythme est un peu lâche et la mise en scène pas encore très assurée (malgré sa qualité et son haut degré d'inspiration), mais ce ne sont là que des défauts mineurs au regard des qualités de l'ensemble. Les personnages présents sont déjà typiques de l'oeuvre de Kurosawa, on sent d'ailleurs l'influence du regard de Dostoievski, dont le japonais était un fervent admirateur, sur la condition humaine. Le héros, comme dans «Les Sept Samouraïs» ou «Barberousse», devra parcourir un long chemin avant d'arriver au niveau de son maître, au gré d'une sorte de parcours initiatique semé de choix cornéliens et de combats à l'issue incertaine. Si le scénario ne brille pas par son complexité, il ne manque par contre pas de profondeur ou d'intérêt : chaque film de Kurosawa comporte sont lot de richesses et se suffit à lui-même, «Sugata Sanshiro» ne déroge pas à la règle. Surtout qu'il donne l'occasion à de nombreuses scènes magnifiques, qu'elles soient sublimées par les relations entre les personnages ou la grâce des paysages. A ce titre le talent de Kurosawa à filmer la puissance et la beauté de la nature est déjà évident et sans pareil! Que l'on soit adepte ou non du cinéaste nippon, cet excellent long métrage vaut largement le détour. NB : Si je ne lui attribue que 2 étoiles c'est pour le nuancer par rapport au reste de l'oeuvre de Kurosawa : si le réalisateur japonais était déjà digne d'éloges avec ce coup d'essai, il fit par la suite bien mieux. [2/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    Plume231
    Plume231

    3 928 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2012
    Premier film d'un des futurs plus grands réalisateurs de tous les temps, il faut le dire carrément, "La Légende du grand judo" donne déjà un avant-goût du talent remarquable de Kurosawa. L'histoire n'est peut-être pas des plus captivantes, ceci en rien arrangé certainement par les coupures de "Madame la Censure du Japon très nationaliste pendant la Seconde Guerre Mondiale" car certains personnages dans la version qu'il reste du film ne sont pas suffisamment développés et il manque visiblement certains scènes importantes pour la compréhension du déroulement du récit, mais la sureté de la direction d'acteurs et l'élégance et la fluidité de la technique montraient que Kurosawa débutant était vraiment un futur grand en devenir. A l'exception du duel final dont le cadre est bien choisi mais qui déçoit un peu par son côté expéditif, toutes les séquences sont impeccablement mises en scène.
    titusdu59
    titusdu59

    75 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2012
    "La légende du grand judo" a vieilli dans le sens où il est très théâtral. En effet, la question de l'honeur du samouraï est extrême, le jeu des acteurs est un peu bateau, le scénario assez simpliste... Mais ce n'est pas pour autant qu'on ne peut pas trouver du plaisir à regarder ce sympathique film du début de carrière de Kurosawa, qui montrait déjà des qualités indéniables de réalisateur en magnifiant ici les séquences de combat, parfaitement chorégraphiées, et auxquelles les quelques ralentis et le noir et blanc donnent une allure esthétique de grande classe.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 mai 2012
    Dès ses débuts, Kurosawa est déjà excellent concernant la mise en scène, le scénario est un peu plus discutable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 février 2011
    Les exigences de mes études historiques croisant la route de mon goût pour le cinéma, me voilà contraint, mais consentant, à regarder les films des grands maîtres japonais. Autant commencer par le premier film de Kurosawa. Un peu lent, des effets parfois franchement risibles, mais au fond, c'est l'histoire d'un apprentissage, d'une rivalité, et d'une histoire amour. En partant de ces thèmes universels, pas besoin d'avoir de grandes connaissances sur les arts martiaux pour prendre un certain plaisir à regarder ce film.
    Gonnard
    Gonnard

    248 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 septembre 2010
    Bien déçu par cette première réalisation de Kurosawa. Et pourtant, la petite histoire du film, censuré sous la guerre, est passionnante. Surtout quand on sait que les Américains, vainqueurs du conflit mondial, interdiront la pratique du judo au Japon. Bref, revenons-en à l'intrigue. Elle est, disons-le franchement, merdique. Linéaire, ultra-prévisible, elle ne peut que décevoir. A moins d'être un grand naïf, et de croire encore au père Noël, ou à la possible victoire des communistes un jour aux présidentielles, on connaît le dénouement de tous les combats du film. Second point justement, la chorégraphie martiale. Excusez-moi, mais c'est à mourir de rire. On a l'impression de voir des petits primaires se battre dans la cour de l'école. Les luttes virent même parfois au tango (cf l'avant dernier combat). Et que dire de ces projections d'adversaires sur dix voire vingt mètres ? Avec les petits moyens techniques de l'époque, c'est risible. Autre défaut majeur, le rythme du film. Ultra lent. Quand on sait qu'il dure à peine 1h15, ça fait peur. On a presque envie de remercier le censeur de l'époque qui a bazardé 600 m de pellicule. Enfin, pour le fun, évoquons un peu les personnages majeurs du film. Le vilain pas beau du début par exemple, celui qui fait de sales grimaces. En plus, il se bat comme un plouc. Vous vous souvenez du pugilat entre deux coureurs du tour de France qui avait été filmé il y a une bonne douzaine d'années ? Eh bien c'est encore plus drôle. Autre mec du film que j'aime bien, le héros. Feu follet dans la première demi-heure, puis loutre décervelée le reste du film. Les femmes ? Des faire-valoir bien sûr. Le grand sec à moustache est pas mal non plus dans son genre. Enfin voilà, un film à voir c'est sûr, mais pour sa culture personnelle uniquement.
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