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    Stalker
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    186 critiques spectateurs

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    cortomanu
    cortomanu

    78 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juillet 2017
    Attention film pour cinéphiles. Ne pas crier chef d'oeuvre est un pur blasphème. Trouver le film trop long et bavard c'est ne rien comprendre à la splendeur de sa contemplation et à sa poésie. Ne pas se contenter de la beauté de sa forme, image comme son, ce serait ne rien comprendre à l'art.
    Et bien alors je n'ai rien compris.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mai 2017
    Une expérience des plus profondes. Au sommaire un questionnement sur : la vanité de la recherche du bien matériel, la déshumanisation communiste, la quête du Graal pour un homme. Un grand voyage initiatique vous mettant face à vous même durant 3h.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2016
    Un pèlerinage au cœur d'un véritable paradis.
    Mené par le STALKER ( Alexandre Kaïdanovski ) accompagné par le Professeur ( Nikolaï Grinko ) et l’Écrivain ( Anatoli Solonitsyne ), trois hommes que tout oppose.

    spoiler: Vue comme un mystagogue par le Professeur et un truqueur par l’Écrivain.

    Qui est réellement le STALKER ? Qu'est-ce que la " Zone " et ses origines ?

    Une véritable oeuvre d'art, à voir absolument.
    Scorcm83
    Scorcm83

    106 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2016
    Considéré par beaucoup comme le chef d'oeuvre de Tarkovski, *Stalker* est un film véritablement impressionnant en tous points. En terme de mise en scène, le film fascine, en terme d'écriture, le film divise. Deux parties sont distinctes, la première concerne le voyage, la seconde concerne l'arrivée au lieu tant désiré. Et cette seconde partie se révèle extrêmement philosophique, nous sommes plus dans la métaphore que dans le réalisme, posant des questions existentielles à travers les questionnements inhérents aux trois personnages représentant différentes castes de la société.

    Vu il y a quelques années, je ne me risquerai pas à faire une critique plus approfondie, mais une chose est sûre, celui ci m'a marqué et je le reverrai prochainement pour me faire un avis définitif.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2016
    Critiques hystériques, du genre "le meilleur film de tous les temps"!! D'un ennui terrible. Des gens s'enfuient.. L'image est étonnamment moche,, science fiction sans grand intérêt, propos façon caricature de Dostoïevski, Dieu, l’âme, etc. Il ne manque que "La sainte Russie" . Bref, si c'est un chef d’œuvre, passé à côté! Stupéfiant.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Vaste odyssée ontologique où se confrontent matérialisme et croyances. En conjuguant surréalisme, métaphysique et onirisme, Stalker sonde les âmes de ses excellents protagonistes et celle de ses spectateurs. Un récit humaniste mis en proses par la magistrale grammaire cinématographique d’Andreï Tarkovski et l’excellente composition d’Eduard Artemiev. La mise en scène du maître russe transcende l’espace visuel, le déforme et créé un espace spatio-temporel spécifique où l’imperceptible devient visible. Plus de détails sur notre blog ciné :
    NoSerious Man
    NoSerious Man

    186 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 août 2024
    Que viens-je donc de voir? Un oiseau? Un avion? Non... C'est Stalker, film culte d'Andreï Tarkovski ! Reconnu comme étant l'un des plus grands films russes, je ne pouvais y (re)passer à côté, sachant qu'à l'époque moi et ce genre de films... Ca faisait deux ! Sorti chez nous en 1979, ce film long de 163 minutes nous fait suivre 3 personnages dont on ne connait pas les noms ; l'un est écrivain, l'un est professeur et l'autre est le Stalker, un guideur d'hommes pour les mener à une zone pour leur faire exaucer les vœux qu'ils souhaitent ; après avoir pénétrer dans la zone interdite, ils rentreront dans une chambre mystérieuse et c'est en gros là ou angoisse, doutes et fatigue vont mener à bout les personnages. D'abord, on constate dès le début que le film est très, très lent (ce qui m'avait rebuté d'ailleurs à l'époque) alors que tous ceux qui n'ont jamais vus le film ne s'attendent pas à beaucoup de dynamisme : non, ici c'est métaphysique et contemplatif, Tarkovski y présente des plans très soignés et esthétiquement magnifiques. Il prend son temps pour nous montrer une histoire qui parait pourtant simple et jouant avant tout sur chacune des réactions des personnages spoiler: (crainte et potentiel danger de voir son désir exaucé avant d'entrer dans la Chambre, disparition du charriot menant à la Zone représentant l'allée sans retour possible ou encore désespoire de devoir accomplir son devoir y sont évoqués),
    qui sont ici tous deux réunis à cause de leur devoir (sauver ses enfants malades pour le stalker, être inspiré pour l'écrivain et faire une grande découverte pour le professeur) et nous fait surtout poser des questions sur eux. Chacun doit avoir vu le film pour se forger son propre point de vue. Ensuite, les dialogues qui constituent 3/4 de la bande-son du film sont eux-aussi très simples mais au message complexe et remplis de sens philosophiques. Je trouve aussi la scène finale très belle en ce que le miracle, sans cesse annoncé par le film, spoiler: n'intervient finalement pas dans la chambre des désirs mais via la gamine, qui fait bouger le verre
    : les miracles (donc une forme d'espoir) seraient possibles pour ceux qui y croient. L'autre bande-son du film, la musique d'Edward Artemiev (entre autre "Meditation") qui colle parfaitement aux émotions des personnages et renforce le côté sombre des décors, très froids (ça fait limite penser à du noir et blanc momentanément). Par contre, ce n'est pas un film super accessible, moi-même je n'ai pas compris certaines scènes, comme les scènes oniriques qui sont assez abstraites. Le genre de film culte, space et inaccessible qu'il faut voir pour se forger son propre opinion.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    81 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2016
    Film russe de Andrei Tarkovsky
    2de vision de ce film de Tarkovsy, il s'en dégage toujours une impression étrange où se mêlent fantastique et métaphysique. Dans un monde imaginaire mais humain existe une zone interdite dans laquelle on peut atteindre une plénitude.
    Après avoir passé des barrages, un groupe d'homme (trois) dont le guide (stalker) arrive dans ces lieux qui semblent naturels mais qui sont dangereux psychologiquement.
    C'est donc à un cheminement physique et spirituel dans un espace étrange autrefois habité.
    La réalisation superbe de Tarkovsky transcende cette histoire qui pourrait paraître faible mais qui se situe au niveau d'une quête de spiritualité, ou d'un idéal à atteindre, d'un absolu. Film métaphysique dans un lieu néanmoins réaliste et qui suscite toute sorte d'interrogation. Musique superbe également. Écriture cinématographique extraordinaire de Tarkovsky. Film envoûtant par son sujet et sa mise en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2016
    Indescriptible, c'est bien le mot qui peut désigner mon premier Tarkovski : Stalker. C'est un film à la réalisation millimétrée, à l'esthétique sublime, un film tellement dense, tellement philosophique que je ne suis pas sûr de tout avoir compris. La musique planante renforce d'ailleurs ce côté étrange. Stalker parvient également avec brio à susciter chez le spectateur l'angoisse de la Zone (élément central et pourtant mystérieux du film) spoiler: alors que jamais celle-ci n'est dangereuse pour les personnages
    . Le gros reproche que je ferais à Stalker, c'est qu'à force d'être contemplatif, le film en oublie d'avoir un rythme efficace, et cela débouche à plusieurs longueurs (surtout que le film dure presque 3h).
    Il faut s'accrocher, faire un effort avec Stalker, toutefois si on réussit à rentrer dedans, on découvre vite une atmosphère mystique et métaphysique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 janvier 2016
    Film tout simplement parfait. Pour dormir. Soyons sérieux : il ne se passe rien. Absolument rien. Entre deux scènes, on nous projette une photographie de la Russie et des labyrinthes sans fin, ouais bon c'est très beau mais au bout d'une heure et demie, ça commence à être légèrement lassant. Ce film restera dans ma mémoire juste parce que c'est le seul film où je me suis endormi dans la salle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 novembre 2015
    meme en m'endormant bien devant le film était loin d'etre fini.ennuyeux de chez ennuyeux.il se passe rien.la vf est vraiment mauvaise. et quand je pense que tarkovski a mis 15 ans pour le faire.tout ça pour ça.dire qu'au début le film devait durer 4h25! j'étais excité à l'idée de le voir,le revoir serait une torture atroce.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 novembre 2015
    Une nullité hors concours ! On souffre de A à Z en attendant désespérément que le film se termine. Aucun dialogue ; tentative de rendu original qui échoue lamentablement. Au secours.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 octobre 2015
    vraiment pénible ce sentiment de s'etre fait voler 2h40 de vie !! moi qui voulais de la sf et des film culte ça ma calmer !! en gros l'histoire c'est deux mec accompagné d'un guide ( le stalker ) ,qui pendant 2h vont se diriger vers la chambre qui exauce les souhait , pour finalement ne pas y rentrer..et voila c'est tout merci de l'immense quenelle que je viens de prendre
     Kurosawa
    Kurosawa

    593 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2015
    Il y a des films qui dépassent l'entendement, qui marquent instantanément l'histoire du cinéma: "Stalker" en fait partie. Un voyage métaphysique et existentiel, une expérience sensorielle intense, une fiction d'une créativité sans bornes, le film parle avant tout de la vie - de nos vies - en convoquant nos peurs les plus profondes et en se demandant si l'espoir demeure dans un monde régi par la matérialité. Trois personnages s'aventurent dans la "Zone" (un stalker, un écrivain et un scientifique) pour accéder à une chambre qui exaucerait leurs désirs les plus chers. Cette "Zone" est un endroit "dangereux", qui voudrait piéger ceux qui s'y aventurent sans la respecter, un endroit où la nature est hostile et dont les eaux semblent polluées par des objets pas toujours identifiables (on reconnaît néanmoins un matériel médical). Tarkovski filme dans cette partie centrale une menace perpétuelle, invisible mais pourtant angoissante, un moment du film où la rationalité, incarnée par l'écrivain et le scientifique, s'oppose à l'abstraction et à la foi. C'est parce que le stalker se décrit comme misérable qu'il a de l'espoir et qu'il se dit bouleversé de conduire des passants à la chambre des désirs; au contraire, le scientifique et l'écrivain ne pensent le monde qu'en fonction d'une vérité qui doit aboutir à tout raisonnement, négligent toute forme de croyance tout comme ils refusent de croire que l'homme puisse s'élever au dessus de sa condition. La vision pessimiste de Tarkovski passe donc par des dialogues mais aussi par une esthétique évocatrice et sublime. Le noir et blanc en fin de compte très sombre des deux parties qui encadrent celle de la "Zone" est une façon de décrire un monde délabré et désespéré, un choix qui contraste avec la couleur utilisée dans la partie centrale qui tend vers l'abstraction et marque une forte distance avec les personnages. "Stalker" n'est pas un trip mystique halluciné - même si certaines images nous échappent - c'est un film qui nous regarde droit dans les yeux et qui nous dit que les miracles sont impossibles dans un monde qui rejette la foi. Après 2 h 35 fascinantes de bout en bout, Tarkovski pose sa caméra sur le regard de l'enfant, le seul peut-être capable de réveiller les consciences éteintes et de les tourner vers la lumière, ou du moins vers une forme nouvelle de bonheur.
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juin 2015
    De la trame originale du récit, on ne garde que la situation initiale. C'est surtout le prétexte pour un film métaphysique, illustrant un monde désabusé qui ne croit plus au merveilleux, même si celui-ci lui tombe manifestement dessus. Le sens est renforcé par le jeu des couleurs, le film alternant noir et blanc stylisé et scènes en couleurs. C'est un film réellement pessimiste, où l'humanité a perdu la foi, et où ceux qui continuent à croire en l'aspect merveilleux de la vie sont traités comme des simples d'esprit. Le tout est assez abscons, donc pas un film à faire voir à tout le monde.
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