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Mia Wallace
14 abonnés
507 critiques
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3,0
Publiée le 12 janvier 2022
Que dire de ce film? C'est une expérience, plutôt appréciable d'ailleurs. Les acteurs tiennent le film sur leurs épaules. Bien que soporifique par moment, il se laisse agréablement regardé. Les enjeux et même la morale sont assez floues, mais j'ai quand même passé un bon moment devant.
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 21 juin 2021
Nothing était tellement mauvais. Il est possible de faire un bon film avec un décor et des personnages très minimalistes ou avec un certain nombre d'adaptations théâtrales. L'astuce pour y parvenir est que le public doit s'intéresser aux personnages. Dans ce film les personnages n'étaient tout simplement pas intéressants. Le peu de conflit qu'il y avait entre eux semblait totalement forcé et l'intrigue les vieux copains qui se séparent puis se réconcilient est une vieille rengaine que le réalisateur Natali ne rend pas intéressante. J'ai eu du mal à rester éveillé pendant les longues et ennuyeuses séquences de comédie burlesque mal faite. Il n'est un film qui aspire à être quelque chose d'original mais qui finit par ressembler davantage à un mauvais dessin animé pour enfants...
Un debut laborieux et à doigt d'arrêter la vision et puis un film unique le film surréaliste un peu dans la veine du petit prince avec une pincée de psychologie et de philosophie reserver uniquement aux esprits ouverts, unique et la fin prise de tête inarable
14 069 abonnés
12 481 critiques
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3,0
Publiée le 14 novembre 2018
C'est ce qu'on appelle un ovni cinèmatographique venu de nulle part [...] "Nothing" est l'histoire de deux losers malmenès par le monde qui les entoure! A tel point qu'au fond, ils aimeraient bien qu'il disparaisse! Et c'est prècisèment ce qui arrive à David Hewlett et Andrew Miller! Ce film absurde et totalement dèlirant est l'occasion pour Vincenzo Natali de montrer l'ètendue de son talent et de ses ambitions! il y a le contraste entre les personnages, mais aussi entre les diffèrents dècors dans lesquels le mètrage se dèroule! Le premier quart d'heure se situe dans le monde rèel, marquè par le bruit et la cacophonie! Et le reste de "Nothing" se passe dans ce vide hallucinant, cet espèce de dèsert absolu où règne le calme le plus total! Autrement dit, soudain ce monde bruyant et pènible disparaît de la circulation, et on se retrouve dans un contexte bien plus maîtrisè et paisible! Bref, on va de surprise en surprise et on se demande comment va finir le film! C'est original, inventif et sacrèment gonflè! A noter le camèo de Marie-Josèe Croze...
Malgré un concept original, le réalisateur a du mal a exploiter son concept jusqu'au bout. Le film traine en longueur et dérive lors de sa deuxième partie. Dommage, l'intention était bonne.
Bien sûr il y a le travail visuel et scénaristique, le pari de transformer un film expérimental en un produit accessible à tous, mais le souffle finit par manquer et la fin n'assume finalement pas le propos. Annihilation définitive des deux personnages qui subissent le "nothing" du film. Cube, Cypher ou encore Splice sont des films qui m'ont marqué en prouvant que Vincenzo Natali fait partie des réalisateurs inspirés mais celui-ci, pour paraphraser paresseusement le titre du film m'a inspiré nothing....
Euh... Consternant, le canadien Natali en à fait une comédie avec des airs Dumb and Dumber. Nothing est bien un néant scénaristique. L'idée de départ avait de l'audace mais le film part totalement sur une direction beaucoup trop ennuyeuse . Nous sommes même plus devant une expérimentation. Franchement, le meilleur qui aurai pu se faire pour Nothing est de prendre l'option format court, un court-métrage quoi.
Une comédie légère mais finalement assez profonde aussi, car à force de jongler avec les concepts de rien et de néant, on finis toujours dans une forme ou une autre de philosophie. Décidément, Vincenzo Natali choisis des scénario qui, comme dans ses deux film précédents, ne nécessitent pas de gros budget pour les décors, mais qui brillent par leurs ingéniosité et utilise le minimalisme d'un environnement pour faire ressortir la situation sur le plan humain. Andrew Miller, que l'on avait à peine remarqué en autiste dans Cube (1997), et David Hewlett, qui est comme toujours parfait en gros con, portent à eux seuls tout le film sur leurs épaules et en trio avec le réalisateur, arrivent à manipuler ces petits riens qui forment un tout remarquable...
Un court métrage aurait largement suffi. Ce film est vraiment trop long et chiant, il ne se passe rien, le sujet est trop mal exploité, les 2 mecs sont vraiment casse-pieds, en particulier Andrew qui est une tête à claques. Ce film agace, l'humour est niais, l'univers, à part la décoration de la maison et l'intro, est creux, affligeant, on comprend pas où le réal veut en venir, c'est une sacrée déception comparée à cube, le mystère spoiler: reste total, sans explication concrète, C'est nul, super nul, un gros gros navet, une torture psychologique et une sacrée perte de temps...
Une agréable surprise! Malgré quelques lenteurs et le manque de budgets le film parviens à nous divertir tout du scenario génial et des acteurs pas trop mauvais pour un film complètement barge, sa vaut vraiment le coup d’œil.
Sur une idée proche de la série "La 4ème dimension" le réalisateur du géniale "Cube" livre un film original mais inégale en grande partie du à la caractérisation de Geek débile et insupportable des deux personnages principaux ! A noter la présence de la sublime Marie Josée Croze dans un petit rôle...
Que dire... un délire sympathique d'étudiants en cinéma qui constitue un exercice vaguement amusant? Ca aurait pu si ce n'était pas le réalisateur qui a fait Cube et Cypher quelques années plus tôt, et Splice 3 ans après! Quelle mouche a pu le piquer?!