Mon compte
    Goyôkin
    Note moyenne
    4,0
    110 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Goyôkin ?

    24 critiques spectateurs

    5
    9 critiques
    4
    10 critiques
    3
    1 critique
    2
    3 critiques
    1
    1 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 juin 2010
    Le film porte très bien son age mais ça reste un western à la japonaise qui devient lourd sur la fin alors que l'histoire pouvait laisser espérer mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 février 2010
    Un excellent film!
    Dans la lignée des films japonais qui rayonnent dans le monde entier.
    Tedy
    Tedy

    246 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2010
    Un film intéressant sur plusieurs points, recommandé pour tous les passionnés de culture et cinéma japonais.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 décembre 2010
    De la neige, des corbeaux, des katanas, du sang... Vous l'avez compris, ce film est noir, très noir, il marque le crépuscule de l'ère des samouraïs, et de quelle manière! Hideo Gosha, considéré comme le maître du chambara, ne trahit pas sa réputation avec Goyokin qui est très certainement son oeuvre majeure. Une mise en scène magistrale, les plus beaux duels de chambara du cinéma, un acteur principal exceptionnel... Comment on dit déjà? Ah oui, chef d'oeuvre!
    dahbou
    dahbou

    201 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juin 2008
    40 ans après sa sortie, Goyokin reste un film proprement incroyable tant les années n'ont aucunes prises sur lui, le film est simplement magnifique, la qualité de la photographie est magnifique et la réalisation est celle d'un maitre au sommet de son art tant la maitrise est incroyable. Hideo Gosha rapproche le chambara et le western Spaghetti ( "Le grand silence"),le charismatique Tatsuya Nakadei fait tout de suite penser à Eastwood et le duel final restera un grand moment à la fois tragique et poétique. Un chef d'oeuvre tout simplement!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Nous avons là, un nouveau tournant du film de sabre ; à la fois Technique, Politique et référentiel.
    Techniquement, Goyokin fut le premier film Japonais (prévu à l’origine en 70 mm), qui fut uniquement diffusé en 35 mm -, l’importance de ce choix sur la mise en scène fut déterminante: la taille plus réduite des caméras Panavision permettait ainsi aux opérateurs de manœuvrer plus facilement dans des décors ; De plus, les nouvelles lentilles autorisaient l’usage du zoom.
    C’est également la première fois qu’un ‘film historique’ – de la Toho était filmé à Tokyo, le lieu de tournage habituel étant Kyoto.

    On a souvent comparé le chambara traditionnel au western hollywoodien classique, et il est vrai que les deux genres ont plus d’un point commun, et que l’un a souvent pu influencer l’autre.
    Il est saisissant de constater comment le Film de sabre a pu évoluer dans le même sens que le western classique a évolué vers une vison plus violente, contestataire et désenchantée : Le western spaghetti, puis d’autres œuvres comme celles de Clint Eastwood plus tard.
    Difficile de ne pas penser, à la vision de ce Goyokin au « Grand Silence » de Corbucci, deux films, du reste, tournés la même année: même décor neigeux, même noirceur dans les rapports humains, même violence désespérée ; de même, toutes ces boueuses qu’emprunte Magobei ne sont pas sans rappeller le « Django » du même Corbucci ; jusqu’aux accents très Morriconniens de la musique.
    On notera aussi la séquence d’ouverture, la découverte du village dénué de ses habitants et envahi par les corbeaux, si cette scène renvoie rapidement aux « Oiseaux » d’Hitchcock, elle évoque également le Mario Bava de « Opération Peur » ou de « la fille qui en savait trop ».

    Très intéressant aussi de voir comment le mythe du samouraï est maintenant ouvertement critiqué, détruit ; si Kurosawa , Kihachi Okamoto ( Le sabre du mal ), et Kobayashi Masaki ( son « Hara-Kiri de 1962 » relança le genre , Evincé pendant l’après-guerre par le gouv
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Trois ans auparavant, par fidélité envers son clan, Magobei a laissé le massacre d’un village entier avoir lieu. Depuis ce souvenir le hante. Devenu samouraï sans maître, il erre comme un fantôme, sans buts et sans parvenir à oublier. Jusqu’au jour où des samouraïs de son ancien clan tentent de le tuer. Un nouveau massacre est planifié. C’est enfin l’occasion pour Magobei de se racheter… Et pour Gosha Hideo de nous offrir un très grand film. Action, héros charismatiques, esthétisme de qualité, paysages aussi glacés que magnifiques, originalité… Ce ne sont pas les qualités qui manquent à ce film dont chacune semble s’accentuer alors que le film avance. La scène du duel final rythmée au son du taïko (sorte de tambour japonais) est un pur bijou. Autre qualité, et non des moindres, le film refuse tout manichéisme. Ainsi Magobei possède une aura de héros entaché par un crime auquel il a participé, alors que son ennemi, celui qui a organisé les deux massacres, est loin d’être tout noir. Il cherche avant tout a épargné la vie de Magobei, et ses actes, aussi affreux soient-ils, ne sont guidés que par son désir de protéger les siens. Le réel ennemi ici, est finalement le gouvernement du shogounat dont la politique est à l’origine de tels drames tout en se tenant à l’écart, bien à l’abri dans sa bulle. Il ne manquait que ce brin de critique social, facilement applicable à la société actuelle, pour faire de Goyokin un très grand film.(+de critiques sur http://www.guillaumetauveron.com/Textes/chroniques_films.htm)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une oeuvre pourvue d'un sens de la mise en scène extraordinairement remarquable. En effet, les décors sont sublimes et les acteurs parfaitement dirigésm l'acteur principal étant époustouflant et jouant un personnage rempli de charisme et sachant magner le sabre comme personne.
    Le scénario quant à lui est remarquable, intelligent et nous montre une certaine vision du monde des samourais des temps modernes.
    Avec ce film, je peux conclure que les films japonais des années 50 jusqu'aux années 80 restent ce que ce peuple mythique a le mieux réalisés jusqu'aujourd'hui, sachant habillement montrés comment ils ont vécu pendant les siècles de gloire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un des fleurons du chambara valant surtout pour son rhytme décousu et prenant, tatsuya nakadai éctoplasmique et plus charismatique que jamais, des décors enneigés sublimes, une atmosphere fantastique et une grande maitrise de l'image.

    Encore meilleur apres chaque visionnage!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top