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I'm A Rocket Man
284 abonnés
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2,5
Publiée le 24 octobre 2024
Bon bah c'est encore raté côté Tennesse Williams... bon là j'avoue que j'ai préféré ce film à l'homme à la peau de serpent et à soudain l'été dernier mais j'avoue que ça n'a pas été le méga coup de cœur non plus... bon j'ai beaucoup aimé le personnage de Robert Redford mais bon sang que Natalie Wood a tout gâché ! J'ai détesté son personnage, sa façon de jouer, de minauder... et honnêtement elle m'a ruiné le film à elle toute seule. Au final j'ai trouvé l'intrigue amoureuse autour d'elle très agaçante et très futile et j'ai été très déçu car j'espérais un scénario plus sombre et plus social autour des chemins de fer... c'est raté encore... Taboire !
Le film est décevant car il traite deux sujets à la fois ; l’un sur la crise économique des années 1930’ et le licenciement de cheminots [par Owen Legate (Robert Redford, 30 ans, dont c’est la 1ère collaboration sur 7 avec le réalisateur et qui retrouve Natalie Wood 1 an après « Daisy Clover » de Robert Mulligan] à la suite de la baisse du trafic ferroviaire dans le Mississipi, le plus intéressant mais pas assez développé ; l’autre, le personnage d’Alva Starr (Natalie Wood, 28 ans), personnage immature, qui minaude, qui aime séduire, manipulée par sa mère Hazel (Kate Reid, 36 ans, soit 8 ans de plus que sa « fille » !) à la mentalité de maquerelle et qui ne sait pas ce qu’elle veut (rôle souvent joué par Natalie Wood !) mais qui n’est pas vraiment passionnant. Le film doit son titre à la première scène où Willie, sœur cadette d’Alva, évoque le passé dans l’ancienne maison familiale et hôtel de gare pour cheminots et dont l’accès est interdit. Difficile de croire que le film (1h50) est adapté de la pièce éponyme (1945) en un acte de Tennessee Williams (1911-1983) car il manque de fougue, de folie et frôle la mièvrerie et le grotesque (le dramaturge était mécontent du résultat), très loin d’autres adaptations cinématographiques comme « Un tramway nommé désir » (1951) d’Elia Kazan, « La chatte sur un toit brûlant (1958) de Richard Brooks, « Soudain l’été dernier » (1959) de Joseph Mankiewicz, pour n’en citer que 3 parmi les 16 adaptations. Considérons qu’il s’agit d’une œuvre de jeunesse [cf. les 7 Oscars pour « Out of Africa » (1985)].
Superbe drame romantique qui n’est pas sans rappeler, en version féminine, la fougue et l’élan de James Dean. Redford apparaît comme une comète dans cette ville et brûle les rêves de notre héroïne, sublime, et totalement aveuglée mais aux prises avec sa mère qui se sert d’elle pour sa réussite. J’ai également beaucoup aimé le rôle de la petite fille qui contrebalance les deux personnages féminins écrasants. Elle reste le symbole de la pureté face au monde des adultes qui se déchire. Superbe.
Un très bon et beau film réalisé en 1966 par Sydney Pollack sur un scénario co-écrit par Francis Ford Coppola adapté d'une pièce, ou nouvelle, de Tennessee Williams, quand ces trois là s'associent pour un drame social et romance, ça donne du bon travail à l'écran ! L'histoire se passe dans un coin pauvre vers les trains de cheminots ou un représentant se rend sur les lieux pour une compagnie pour licencier (je précise que c'est la crise économique des années 30), ce dernier fait la connaissance d'une charmante fille auquel la mère veut qu'elle épouse un vieil homme ayant beaucoup d'argents, les ouvriers qui lui tournent autour de sa belle silhouette, la jeune femme tombe sous le charme du représentant mais que faire pour la suite sur son destin? Une œuvre qui lança la carrière de Robert Redford et sa première collaboration avec le cinéaste Sydney Pollack, il est charismatique au côté de la splendide Natalie Wood et forment un beau duo à l'écran. Ce long métrage est très bien mis en scène dans le milieu pauvre des cheminots de l'époque. On reconnaît dans les seconds rôles Charles Bronson, Robert Blake et Dabney Coleman, des visages marquants d'Hollywood. Je le conseille, j'en ai même pleurer.
C'est mignon, charmant et cul-cul ! Une sorte de Petite Maison dans la Prairie. Un monde où les seuls ennuis tournent autour des moyens financiers et le grand amour.. 3,3/5
Second film de Sydney, un début ambigu et une fin laborieuse. Une paisible histoire d'amour et de licenciement. De nombreux thèmes sont abordés, on peut trouver de la complexité dans chaque personnage et c'est un plaisir de voir les interaction dans ce petit village. Natalie Wood rayonne dans ce film comme sur le petit monde qu'Alva fait graviter autour d'elle. Des sous entendus, des désirs cachés, des non-dits, de quoi faire réfléchir et interpréter. On se pourrait presque se croire dans un Jane Austen en américain, récent et plus vulgaire, le film pourrait d'ailleurs être décomposer en mini série de 6 épisodes de 50 minutes.
Adaptation d’une pièce de Tennesse Williams, un mélodrame vibrant sur fond de crise économique et sociale, soutenu par la mise en sublime en Technicolor de Sydney Pollack et illuminé par un couple fusionnel, Nathalie Wood qui crève l’écran et Robert Redford.
4 546 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 19 mars 2021
J'apprécie que certaines personnes aiment ce film et le trouvent divertissant mais je ne suis pas l'une d'entre elles. C'était une torture de rester assis pendant ce film. Je suis un grand fan de Charles Bronson mais il n'était pas du tout à sa place dans cette histoire. Redford a joué magnifiquement dans son style standard beaucoup mieux que d'habitude mais je n'aime pas trop le regarder pendant qu'il ne dit rien. Natalie Wood était superbe dans un rôle très ennuyeux de femme de la ville. Le seul personnage sympathique de tout le film est Mary Badham dans le rôle de la petite sœur Hazel. Le décor est intéressant et les performances et la réalisation sont bonnes mais l'histoire est mauvaise, pathétique et ennuyeuse. Mais c'est juste mon opinion prenez la pour ce qu'elle vaut...
un film très bavard et malgré sa performance un role trop court de Charles Bronson surement pour ne pas voler la vedette a Wood et Redford.a voir au moins une fois
Il y aurait beaucoup à dire sur "Propriété interdite", film découvert récemment pour ma part, et bizarrement assez peu connu. De longs plans séquences donnant un rythme relativement posé au film, des dialogues parfaitement ciselés, des personnages très intéressants du point de vue psychologique, et le tout sur fond social, en période de "Grande Dépression" aux Etats-Unis. C'est un peu le cocktail du film, qui n'est pas tant une romance qu'un film social, parlant aussi bien de l'amour impossible entre les deux personnages principaux que du contexte économique dans la bourgade où se déroule l'action. D'où l'ambiguïté du personnage interprété avec réussite par Robert Redford, amoureux mais obligé de faire le sale boulot. Sa complicité avec Natalie Wood est parfaite, celle-ci crevant littéralement l'écran. Un classique à voir.
Bof bof bof....... ok l'histoire d'amour entre les deux est intéressante, sur fond de crise de 29 et de campagne abandonnée.... mais faut se taper la soeur d'Alva (Nathalie Wood) qui a un rôle ahurissant et absolument détestable. Ce qui vient gâcher ce très bon film.........
L'un des meilleurs films de Sydney Pollack, adapté d'une pièce de Tennessee Williams cette chronique d'une Amérique des années 1930, dans la campagne où la crise frappe est superbe. On y suit un agent des chemins de fer arrivant dans une petite ville avec pour mission de mettre fin à l'activité ferroviaire et il va rencontrer Alva, jeune fille un peu perdu et tous deux vont vivre entre illusion et réalité jusqu'à leur envie de départ. La mise en scène de Pollack est parfaite et minutieuse, il a le sens du détail et la reconstitution de cette époque est parfaite, ce qui rendra une belle photographie. Le scénario est bien écrit et la puissance émotionnelle et dramatique que dégage le récit est poignante. La belle Natalie Wood joue l'un de ses meilleurs rôles et elle est sublime et impeccable. Redford lui rend bien la réplique. Un très bon film, captivant, triste et beau, très beau film.
quel duo Wood-Redford , un classique hollywoodien que j'ai redécouvert sur paramount channel avec Free fibre comment ça depotte au niveau du débit ,je pense que c'est un de se smeilleur à Polack sous crises des années 30 dans les campagnes ricaines , ce mélodrame ne tombe pas dans la guimauverie , ça se veut social romanesque et ça fait mouche.