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    Un Américain à Paris
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    Antoine Parker
    Antoine Parker

    108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 novembre 2024
    C’est très sympa mais pas du tout au niveau d’un Chantons sous la pluie ! Les chansons et les tableaux sont beaucoup moins impactants, et le scénario est un peu déconstruit

    J’ai cependant apprécié l’atmosphere ainsi que la prestation de Gene Kelly. Un bon moment, sans plus
    Alain D.
    Alain D.

    600 abonnés 3 294 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 octobre 2024
    Une Comédie musicale magiquement réalisée en 1951 par Vincente Minnelli.
    En plus d'une belle histoire romantique, cet excellent film nous propose des ballets magnifiques qui, de par leurs décors et leurs costumes, sont de véritables tableaux artistiques.
    Sur une musique devenue culte composée par George Gershwin, le film nous propose de jolis décors de Paris sans tomber dans les clichés de cartes postales. Le casting n'est pas en reste avec les belles prestations de Leslie Caron, de Georges Guétary, la magie de la danse et la voix veloutée de Gene Kelly.
    PrisonnierDuDessert
    PrisonnierDuDessert

    13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2024
    Une réelle déception tant l'intrigue est cousue de fil blanc, les personnages sans aucune profondeur et les dialogues sans saveur. Enfin, le dénouement arrive comme un cheveu sur la soupe. Récompensé de 6 Oscars, ce film a terriblement vieilli. On est hélas très loin de Dansons sous la pluie.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2024
    Freed, Minnelli, Kelly, Gershwin, c’est l’association gagnante de cette carte postale musicale parisienne, tournée en studio aux États-Unis (sic) et dans laquelle Leslie Caron fait ses premiers pas. Bien qu’à part dans le film, le pictural ballet final est à lui seul un véritable morceau de bravoure. Ça se regarde bien mais dans le genre, je trouve « Chantons Sous La Pluie » largement supérieur.
    Nico Razon
    Nico Razon

    1 abonné 45 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2024
    Vu et revu (dans un avion, récemment), je ne me lasse pas de ce chef d'œuvre. Il est clair que la musique de Gershwin y est pour beaucoup (une scène avec le pianiste jouant le Concerto pour piano est phénoménale), les danseurs et la chorégraphie aussi. Tout au long du film, on sourit, on rit, on pleure parfois... Tout est dans l'émotion et l'art. Pas un poil de second degré, tout est dans l'immédiat et le plaisir de l'instant présent. Bon, les puristes trouveront toujours que les décors sont plats et vieillots... Mais on s'en moque et le voyage en avion (très turbulent) s'est passé avec le sourire, une fois de plus. Je ne suis pas sûr qu'aujourd'hui, on soit capable d'un tel film !
    oooooooooo
    oooooooooo

    103 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2023
    Chef d'oeuvre dans le marbre, intouchable. Il y a des films dont l'âge ne fait pas défaut. Etre daté leur confère une qualité propre, à minima un charme. Il y a en revanche des films que le temps abime. Si il y a un genre qui souffre tout particulièrement mal le vieillissement, c'est celui de la comédie. Un drame daté peut convoquer la nostalgie, à la poussière du temps se parer d'une autre étoffe. La comédie elle a tendance à tristement se ringardiser. Et c'est souvent le problème du sous genre comédie musical, dont les séquences non chantées/chorégraphiées, deviennent presque embarrassantes.
    Ici Oscar Levant se voit bien offrir quelques lignes réjouissantes (mais nous sommes sur la longueur très loin de Lubitsh). Mais bien des scènes, plombées par ces américains qui pro-non-cent du français, ou ces français qui font du Français en américain, sont tout de même bien pataudes.
    Plus embêtant les numéros, hors le final, sont très communs (très en dessous de ce que Kelly a pu délivrer dans d'autres films souvent non passés à la postérité), comme le livret, qui ne fait pas honneur à l'oeuvre de Gerswhin (qui a pourtant dans son sac nombre de ritournelle imparables).
    Et ce dernier numéro, ce joyau auto proclamé, étant il est vrai d'une grande ambition visuelle (égaler le ballet des Chaussons Rouges?), est cependant peut réjouissant en terme de chorégraphie pure. Peu gracieux.
    Comme Leslie Caron, sûrement très bonne danseuse classique, qui peine cruellement dans le champs de la comédie. Elle s'avère, si l'on met en vis à vis une Ginger Roger, une Debbie Reynolds ou une Cyd Charisse, comme mono-dimensionnelle.
    Alors certes la ré-interprétation de Paris en studio vaut plus que le coup d'oeil.
    Mais un an plus tard, Gene et Arthur, cette fois ci associé au tout jeune Donnen, affichant moins d'ambition, accomplissaient cette fois ci un tout autre miracle.
    Charlotte28
    Charlotte28

    127 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2023
    Un quatuor amoureux mis en scène avec autant de dynamisme dans son évolution que dans les numéros musicaux qui parsèment cette ode à l'art, à la joie de vivre et à la vie parisienne idéalisée. Bien que semblant dans l'ombre voire l'attente ou la soumission, les femmes plus lucides ou responsables tirent les ficelles financières ou sentimentales des hommes rêveurs incapables d'atteindre leurs fantasmes de réussite ou de plénitude. Mélancolique et tendre bien que baignée d'humour et de sautillantes chorégraphies, cette comédie dramatique alterne entre merveilleux artistique et réalité cynique jusqu'au morceau de bravoure fantasmagorique final rendant hommage à d'emblématiques peintres français. Un tourbillon onirique souriant!
    Pascal
    Pascal

    163 abonnés 1 694 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Vincente Minnelli commença sa carrière artistique comme décorateur et dessinateur de costumes.

    Son apport incontestable à la comédie musicale repose avant tout sur "une stylisation poussée à l'extrême " et a contribué à relancer un genre qui commençait à s'essouffler.

    Au plan formel, " un américain à Paris " est un grand plaisir des yeux, même s'il me semble un peu surestimé lorsqu'on le compare à certaines autres comédies musicales réalisées par Minnelli.

    Le scénario est vraiment faible ( un peintre américain installé à Paris, tombe amoureux d'une jeune femme en couple avec un ami) , n'est soutenu finalement que trop peu par la partition musicale de Gerswin.et étrangement ne comprend, que peu de scènes de danse ( certes toujours réussies).

    Ajoutons que la partie française du casting n'est pas formidable ( Leslie Caron est bien trop fade et Georges Guetary - Grec installé dans l'Hexagone- n'est pas convaincant) et est écrasée par la partie " Nord-américaine.

    En effet, Gene Kelly et surtout la très séduisante Ann Roth - Hollandaise qui fit carrière à Hollywood déséquilibrent de leur talent et de leur charisme la distribution.

    A titre personnel, dans le registre de la comédie musicale Minellienne, j'affectionne particulièrement " Le pirate " et " Tous en scène " qui me semblent beaucoup plus accomplis qu'"un américain à Paris ".

    Il n'en reste pas moins que la qualité des décors, des costumes, de la photo est telle qu'il est difficile de minorer ce film, malgré ses défauts.

    " Un américain à Paris " est toujours aujourd'hui habillé d'une forte réputation et est généralement considéré comme un chef-d'oeuvre du genre. Pour ma part, je n'irai pas jusque-là même s'il vaut, sans conteste, d'être visionné.
    SophieJ
    SophieJ

    6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juin 2022
    Un film parfait, décors, chansons, tout est bon et émouvant. Hollywood à Paris, cela ne se manque pas!
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    48 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juillet 2021
    Un grand classique, et qui doit le mérite. Une œuvre gracieuse, un véritable ballet dans Paris. Une explosion de joie et de bonne humeur.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juin 2021
    Un Américain à Paris a été couvert de récompenses dont six Oscars. Mais je l'ai regardé froidement et rétrospectivement il est difficile de comprendre pourquoi ces Oscars. Dès la scène d'ouverture lorsque Gene Kelly qui est censée mourir de faim dans une mansarde parisienne se réveille avec un air trop confiant et très maquillé on peut déjà entendre les plumes de la dinde commencer à bruisser. L'histoire vacille et se traîne dans les intervalles béants qui séparent les grands numéros et les personnages deviennent moins convaincants à chaque scène. Leslie Caron lorsqu'elle apparaît enfin a l'air terrifiée bien qu'elle danse superbement elle semble trop timide pour apporter de la magie à l'une de ses scènes. Elle et Kelly dansent assez bien ensemble techniquement mais sans le moindre sens du partenariat et sens émotion. La musique semble avoir été adaptée à la narration et souvent elle ne convient pas. La scène où est joué la musique de Gershwin n'a rien à voir avec le reste du film. C'est un Paris en carton pate à Hollywood et on très loin de Chantons sous la pluie avec le même Gene Kelly...
    ronny1
    ronny1

    40 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2020
    « An American in Paris » est à la fois l’aboutissement du rêve d’un producteur et de l’entente fusionelle avec son réalisateur. Pendant des annèes Arthur Freed, parolier aussi fameux que réputé, et grand producteur des musicals de la MGM, révait de réunir la musique de Gershwin avec la peinture impresioniste. Il se trouve que son réalisateur favori, Vincente Minnelli, qui fut dessinateur, puis décorateur de théâtre, adore cette peinture (dont des tableaux se retouvent dans plusieurs films comme par exemple le Renoir de l’appartement de Fred Astaire dans « Tous en scène ») et la musqiue jazzy en général et Gershwin en particulier. Après trois années de réflexion et de discussions, et l’aide d’Ira Gershwin qui écrivit les paroles pour la musique additionnelle composée par Conrad Salinger (orchestration, excusez du peu, de Benny Carter, non crédité, qui joue aussi au saxophone), ils décident de réaliser un film qui prend le titre du poème symphonique de Gershwin qui cloture le film sous forme de ballet. Se passant à Paris, Freed et Minnelli portèrent leur regard vers Gene Kelly. Ce dernier, comme le réalisateur, est un amoureux de la capiale française et connaît bien la ville, y ayant vécu et parlant convenablement la langue. Il sera aussi le chorégraphe de talent (peut être le meilleur) permettant à Minnelli toutes les audaces de mise en scène à partir de décors que le cinéaste avait méticuleusement décrits. Quelques plans généraux et le Ritz Place Vendôme seront les seuls tournés sur place, tout le reste est reconstitué dans 44 décors différents, pour lesquels Cedric Gibbons, Preston Ames, Edwin B. Willis et Keogh Gleason reçurent un Oscar. Le réalisteur filma ainsi comme il l’entendait. D’entrée la mise en place montre la vie misérieuse des artistes en devenir, l’un peintre, l’autre musicien, tentant de transcender leur réalité difficile en accédant à leur rêve de reconnaissance, cristalisé dans la formidable séquence onirique d’Adan Cook (Oscar Levant) interprétant et dirigeant le concerto en fa pour piano de Gershwin. La vie de quartier donne le ton avec ses enfants dans les rues, le couple de cafetiers, protecteurs familiaux et bon enfant, le café au lait et les viennoiseries, respirent la grâce par leur élégance certaine. Tout en passant par des séquences d’une d’audace incroyable pour l’époque, comme la présentation de Lise Bouvier (Leslie Caron), réalisée par Gene Kelly, avec la suggestive scène de la chaise qui faillit être censurée, ou encore la fête finale en forme d’orgie décadante qui inspira sans doute Frederica Fellini, mais plus surement Bob Fosse. C’est dans une ville de carte postale que le drame s’envole en une apothèose visuelle et chorégraphique sans précédent. Les fantasmes du rêve inaccessible de Jerry déchiré par le départ de sa bien aîmée se présentent sous la forme d’un ballet de dix huit minutes qui couta un demi million de dollars. Sans dialogues ni chansons, s’y étale une succession de plans hommages aux illustres peintres français. De Raoul Dufy (place de la concorde), puis Jean Renoir (le marché au fleurs), le Douanier Rousseu (le pont et le jardin des plantes), et l’animation de l’affiche du Moulin Rouge de Toulouse Lautrec, qui complètent ceux répartis répartis précédemment dans le film, Utrillo, Manet et l’opéra de Van Gogh. Reposant sur un argument digne d’un roman photo (un jeune peintre tombe amoureuse d’une toute jeune fille de 19 ans qui va épouser un chanteur célèbre de vingt ans son ainé) Minelli livre pourtant un film d’une richesse inouïe, preuve de l’immense talent de ce cinéaste d’exception. Malheureusement le casting est quelque peu bancal. Si Gene Kelly, Oscar Levant et Nina Foch sont parfaits (sans oublier les trucculents rôles secondaires), Leslie Caron, malgré son charme juvénile (elle a l’âge du rôle) et sa gaucherie émouvante ne peut se mesurer à Cyd Charisse (qui enceinte, refusa le rôle) dont elle n’a ni l’élégance, ni le talent, ni le charme et encore moins la beauté. Arthur Freed et Gene Kelly (il l’avait découverte lors d’une représenation des ballets Roland Petit, un an auparavant), pensaient qu’une française devait tenir le rôle. De même, George Guétary, trop jeune (il a deux ans de moins que Gene Kelly) n’est pas un danseur et manque du punch qu’aurait apporté Maurice Chevalier, initialement prévu pour le rôle. Mais son passé de collaborateur (pourtant innocenté) pendant la deuxième guerre mondiale se heurta à un refus catégorique des patrons de la MGM et de Vincente Minnelli. Ce déséquilibre empêche le film, malgré toutes ses qualités, d’atteindre pleinement le rang de chef d’œuvre. « Un américian à Paris » remporta six oscars (dont celui du meilleur film) et reste, avec « Chantons sous la pluie » et « West Side Story » l’une des comédies musicales les plus célèbres de l’histoire.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2020
    Un Américain à Paris est très certainement la comédie musicale la plus célèbre après Chantons sous la pluie (West side story étant un drame musical). Le résultat est bien évidemment magnifique (le ballet final de 17 minutes rendant hommage aux peintres impressionnistes français est juste splendide) même si son histoire, créée dans le but d’illustrer les chansons de George Gershwin, est très classique et représente un Paris de cartes postales totalement fantasmé et reconstitué en studio. On pourra d’ailleurs noter que, pour une fois pour une comédie musicale, il est peut-être plus judicieux de regarder l’œuvre en version française car celle-ci adapte les chansons dans la langue de Molière à l’exception de I got rythm annoncée dès le début comme une chanson américaine alors qu’il existe des incohérences de langage dans la version originale (le couple formé par Georges Guétary et Leslie Caron se parle en anglais alors que leurs personnages sont tous les deux français et que l'action se passe en France !). Malgré ces petits bémols, Un Américain à Paris reste un chef-d’œuvre du genre : la réalisation de Minnelli est splendide, les chorégraphies de Gene Kelly sont une fois de plus sublimes, les musiques et chansons de Gershwin sont belles et entraînantes (on y trouve notamment le célèbre ‘S wonderful et le poème symphonique donnant son titre au film) et le tout est porté par de belles prestations de comédiens (malgré l’accent français extrêmement prononcé de Gene Kelly lorsqu'il parle en français). Une belle réussite du genre même si on peut lui préférer des films comme Chantons sous la pluie ou, pour rester dans l’œuvre de Vincente Minnelli, Le Pirate.
    Romain G.
    Romain G.

    7 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mai 2019
    Une comédie musicale maladroite, ou Gene Kelly nous fait part de quelques chansons et pas de danse non mémorable contrairement au cultissime chantons sous la pluie.
    Un scénario très mince avec une fin très potage et attendu.

    La partie Gene Kelly où il danse pendant un quart d'heure (le petit rituel habituel de l'acteur ou tout est centré sur lui) est ennuyeuse mais a un font intéressant.

    Des personnages assez plat, mais le seul point que j'ai aimé c'est lorsqu'on découvre l'endroit où vit le personnage de Gene Kelly. Mais ça ne sauve pas le film.
    Wagnar
    Wagnar

    85 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2019
    Un pur délice ! Un pur chef-d'oeuvre, imaginatif, incontournable et visuellement superbe. Gene Kelly et Leslie Caron forment un merveilleux couple. Et le ballet final est juste magnifique.
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