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    L'Homme qui en savait trop
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    Redzing
    Redzing

    1 108 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2024
    Joli succès à l'époque, la cuvée 1934 de "The Man Who Knew Too Much" a pourtant été largement éclipsée par son remake de 1956, également réalisé par Hitchcock. Constituant au passage l'un des cas emblématiques d'auto-remake.
    Il faut bien dire que les meilleurs moment du film semblent avoir été perfectionnés dans la version 1956, tandis que les moins intéressants en ont été expurgés. Alfred Hitchcock dira lui-même que "la première version a été tourné par un amateur de talent, la seconde par un professionnel"...
    Pour autant, cette première monture constitue un bon petit film d'espionnage. Une intrigue simple, mais menée tambour battant sur 1h15. Un peu d'humour. Des méchants sinistres, dont Peter Lorre, qui jouait en phonétique (!), ne maîtrisant pas encore la langue de Shakespeare. Et cette fameuse séquence de suspense au Royal Albert Hall. Dont Hitchcock gardera la musique et le concept pour son remake.
    Il ne s'embarrassera pas de la longue séquence fusillade qui est honnêtement assez molle (le réalisateur n'était visiblement pas adapté pour filmer ce type d'action...). Et il faut quand même dire que le film souffre de quelques effets de montage qui ont vieilli, entre quelques plans pourtant imaginatifs pour l'époque.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 350 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 décembre 2023
    En Suisse, un espion français moribond (l'inattendu Pierre Fresnay) a le temps de confier un secret à un couple de touristes anglais. Mais les époux Lawrence sont tenus de se taire par des comploteurs qui ont kidnappé leur fille.
    Hitchcock a bien fait de réaliser en 1956 un remake américain de cette version anglaise: il est bien meilleur! Quoiqu'en disent les thuriféraires du cinéaste, l'intrigue d'espionnage qu'Hitchcock filme en 1934 est plutôt passable sur la forme et peu intéressante dans son contenu. Singulier, peut-être, à l'époque, le film a quand même mal vieilli et Hitchcock ne peut guère posé ici en maître du suspens. Sa direction d'acteurs et sa mise en scène des séquences d'action, même de simples bagarres, sont approximatives, pour ne pas dire médiocres, et quoique le cinéaste n'a jamais revendiqué d'être réaliste, la crédibilité du récit s'en trouve toutefois grandement altérée. Il n'a d'autre part sous la main que des comédiens de second plan particulièrement ternes -disons-le: mauvais, même si le metteur en scène a aussi sa responsabilité. Seul Peter Lorre, avec sa balafre au front et son fameux rictus, parvient à se faire une tête de méchant comploteur en chef.
    Pour ces raisons, considérons que c'est un film de jeunesse où Hitchcock balbutie son style.
    selenie
    selenie

    6 218 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    L'histoire du film est marquée par l'actualité, ainsi on constate que l'attentat peut faire penser à la tentative d'assassinat du président us Roosevelt, le complot renvoie à l'incendie du reichtag en Allemagne par les nazis, l'enlèvement est clairement un clin d'oeil au kidnapping du bébé de l'aviateur Lindbergh, sans compter Saint-Moritz où le film a été tourné qui est en fait le lieu de villégiature du couple Hitchcock depuis leur lune de miel ! Et on peut noter la mise ne garde avec l'allusion judicieuse à l'éventualité d'une autre guerre mondiale ! Le réalisateur impose un rythme assez soutenu lié à un humour pince sans rire omniprésent malgré le drame. Du concours de tir avec le face à face homme-femme qui aura son duel retour au flic qui prend un bonbon sous l'oeil incrédule du commerçant, le sourire s'engouffre ainsi dans le récit subrepticement. Malgré tout, il y a quelques bémols la partie chez le dentiste trop invraisemblable où le tir ultime assuré fusil à la hanche alors qu'à l'épaule cela n'a pas été concluant quelque temps avant. Malgré ses maladresses, le rythme soutenu, une intrigue prenante, un méchant d'envergure font de ce film le meilleur du cinéaste depuis "The Lodger" (1927).
    Site : Selenie
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2021
    Avant de réaliser lui-même le remake américain de son propre film, Alfred Hitchcock a accompli en 1934 « L’homme qui en savait trop ». Déjà doté des caractéristiques habituelles du cinéaste (suspense et humour), ce long-métrage souffre pourtant de nombreuses insuffisances. L’histoire de ce couple confronté à l’enlèvement de leur fille par un dangereux terroriste (Peter Lorre) manque de consistance. Si la scène de la tentative de meurtre à l’opéra mérite une attention, les autres séquences présentent une certaine naïveté et nuisent au rythme du scénario. La psychologie des personnages reste par ailleurs peu développée. Bref, une œuvre mineure du réalisateur britannique.
    Ricco92
    Ricco92

    221 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2021
    Après avoir aborder un peu tous les genres au début de sa carrière, Alfred Hitchcock semble enfin avoir trouvé sa voie. Après l’échec du Chant du Danube, le cinéaste semble avoir compris que le genre où il est le plus à l’aise est celui du suspense. En effet, à partir de 1934, il se consacre presqu’entièrement au genre à quelques exception près. L’Homme qui en savait trop est le film qui marque le début de ce chemin définitif.
    C'est un récit bourré de rebondissements : les actions s’enchaînent sans temps mort et le spectateur ne s’ennuie jamais. On pourrait même parfois le trouver trop court. On peut ainsi penser que, dans son désir de plaire au spectateur, Hitchcock mène son scénario parfois trop rapidement. Le film ne durant qu’une heure un quart, il possède parfois un rythme tel qu’il fait plus part à l’aventure qu’au suspense en lui-même spoiler: , à l’exception de la séquence du Royal Albert Hall
    .
    Si le cinéaste ne cherche pas véritablement à développer ses personnages, il amène un aspect politique que l’on trouvait dans sa filmographie à cette époque. spoiler: On explique ainsi aux personnages lorsqu’ils disent privilégier la vie de leur fille à celle d’un homme politique qu’ils ne connaissent pas que c’est la mort d’un autre homme politique qu’ils ne connaissaient pas non plus qui a provoqué la Première Guerre mondiale. Le cinéaste semble vouloir dire qu’il ne faut pas ignorer ce qui se passe loin de chez soi sous prétexte de ne pas être touché directement. Un an après l’accession d’Adolf Hitler à la tête de l’Allemagne, le message est assez clair !

    Il n’est d’ailleurs pas étonnant que le réalisateur se concentre presque plus sur la personnalité de ses méchants que sur celles de ses héros. Les terroristes sont, effectivement, plus mémorables que les héros notamment par le choix des interprètes puisque ce n’est rien moins que Peter Lorre qui interprète le chef des terroristes.
    L’Homme qui en savait trop est donc une belle réussite qui conforte le cinéaste dans son choix de se concentrer principalement sur le domaine du crime et du suspense. Cependant, conscient que le film possédait des aspects perfectibles, Hitchcock en réalisera, 22 ans plus tard, un remake plus long, jouant plus sur le suspense et avec des personnages et des acteurs plus charismatiques : en un mot plus abouti. Il résumera cela dans ses entretiens avec François Truffaut en expliquant "la première version a été faite par un amateur de talent tandis que la seconde l’a été par un professionnel".
    BamboMF
    BamboMF

    76 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2020
    Sorti en 1934 aux Etats-Unis, The man who knew too much (titre français : L’homme qui en savait trop), est un film anglais de François Hitchcock, qui l’engage quasi-définitivement dans la voie des chefs d’oeuvres triomphaux du réalisateur, l’éloignant des différents genres auxquels il s’est essayé auparavant avec des succès relatifs. L’attachement du maître à cette histoire dont l’idée de départ a germé de son esprit lors de vacances à St-Moritz sera tel qu’il en fera 22 ans plus tard un remake prestigieux, avec des acteurs renommés.

    Tout débute dans un hôtel de montagne, où le couple Lawrence et leur fille Betty côtoient différents protagonistes, dont le français Louis Bernard. Ce dernier se fait assassiner en pleine réception, exprimant lors de son dernier souffle un secret d’espionnage qui basculera la vie des Lawrence. Le couple est réduit au silence sur ce secret, Betty étant kidnappée et menacée de mort s’ils parlent. De retour sur Londres, Bob et Jill Lawrence, soucieux de sauver leur fille, vont être amenés à pénétrer en plein nœud de l’intrigue à laquelle ils sont mêlés malgré eux : changement d’identité, secte religieuse, concert classique dont la musique sera la mélodie d’un meurtre commandité, longue fusillade entre forces de l’ordre et terroristes, seront les épreuves que les Lawrence devront affronter.

    Contrairement à son film précédent, Walzes from Vienna, on sent le plein investissement du réalisateur sur ce film. On notera comment il enchaîne en une fraction de seconde une scène humoristique (celle d’un danseur auquel un fil de laine est attaché, détricotant un haut) à un drame soudain (le meurtre du français), décontenançant quelques secondes les personnages présents et le spectateur lui-même. L’humour se retrouvera également lorsque dans le petit édifice des terroristes, Bill Lawrence et l’oncle de Betty échangent un dialogue en modifiant les paroles d’un chant religieux. Le suspens hitchcockien est bel et bien présent également, par exemple avec des ralentis sur des portes prêtes à s’ouvrir (mais de manière plus crédible que sur Numéro 17), lorsque Betty est poursuivie sur le toit par l’un des terroristes, mais surtout lors de la scène du concert philharmonique, qui pousse le suspens à son paroxysme de manière saisissante. Ces procédés suspendent le temps d’un récit pourtant intensif au niveau de son rythme, à l’exception peut-être de la scène de fusillade quelque peu longue.

    La première version de The man who knew too much n’est donc plus une ébauche de ce pour quoi le réalisateur connaîtra le succès mondial, il est pleinement et à part entière un classique hitchcockien. A découvrir donc
    tisma
    tisma

    290 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mai 2020
    Un Hitchcock un peu décevant, le suspens n'est pas énorme, on y suit un peu les événements sans forcément être trop transporté. L'histoire aurait pu être plus palpitante.
    Touka Speed
    Touka Speed

    15 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2020
    ce n est par à la hauteur de Hitcock ! Jeunes et innocents ainsi que Sabotage sont bien meilleurs. par ailleurs le remake est lui un chef d oeuvre avec James Stewart et Doris Day.
    Jack G
    Jack G

    5 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2020
    En 1934, après l’échec du Chant du Danube et récemment engagé par la Gaumont British Picture Corporation, Alfred Hitchcock renoue avec les racines du succès grâce à son premier film d’espionnage : L’Homme qui en savait trop.
    Entre 1933 et 1937, la période « Gaumont British » de la carrière du cinéaste est de toute évidence marquée par la croissance du nazisme en Europe. Au niveau des scénarios, puisque les trois films réalisés durant cette courte période présentent tous des méchants à la solde de cette idéologie totalitaire ; mais également au niveau du choix de la distribution, Hitchcock ayant engagé l’un des acteurs fétiches de Fritz Lang, Peter Lorre, contraint de quitter l’Allemagne après l’arrivée au pouvoir d’Hitler. L’acteur d’origine autrichienne obtient ici son premier rôle en langue anglaise.
    Tourné dans les Alpes suisses, notamment à Saint-Moritz, où Hitchcock et son épouse ont l’habitude de pratiquer les sports d’hiver, ce thriller ne profite pas du développement et du rythme d’autres succès à venir qui appartiennent à cette même période anglaise, comme Les 39 Marches. Influencé par l’expressionnisme allemand, Hitchcock tente de marcher dans les pas de Fritz Lang à travers une atmosphère sombre et pesante qui n’égale toutefois pas le génie allemand. Malgré un récit cohérent, un humour anglais qui détend l’atmosphère et à l’inverse, quelques séquences ayant le mérite d’instaurer une tension, le résultat final est creux et monotone.
    La distribution ne fait guère mieux, avec des personnages peu développés et des interprétations fades. Le couple Lawrence n’apparait que très peu, laissant rapidement la place à Peter Lorre, le méchant, qui tient celui-ci à bout de bras pendant la majeure partie du long-métrage. L’époux mène l’enquête par ses propres moyens pendant quelques minutes avant de se faire capturer et de rester un vulgaire prisonnier pendant la deuxième moitié du film, sans intérêt ni envergure, cantonné à un rôle secondaire et peu bavard. De son côté, l’épouse apparait dès les premières minutes et présente un caractère séduisant et impertinent qui laisse présager une place importante pour la suite, mais finit par être rapidement effacée pour ne réapparaitre qu’au dénouement, qui boucle le lien avec les premières scènes et tente de rendre un mince honneur à ce personnage qui était prometteur. Enfin, la jeune fille enlevée est interprétée par Nova Pilbeam, 15 ans à l’époque, que l’on retrouve trois ans plus tard dans le rôle principal de Jeune et innocent. Malgré son âge précoce, sa fraîcheur et sa spontanéité font de sa prestation l’une des plus convaincantes du film, avec celle de Peter Lorre.
    Hitchcock a eu des soucis avec la censure anglaise car les autorités ne voulaient pas montrer de police armée dans la fusillade finale (en Angleterre, les policiers ne sont pas armés). Le réalisateur trouva donc une solution scénaristique : un camion va chercher des armes, qui sont ensuite distribuées aux policiers.
    Ce thriller d’espionnage rencontre un grand succès à sa sortie et en 1956, Hitchcock en fait un remake réussi avec James Stewart et Doris Day dans la peau du couple principal. Mais l’œuvre originelle, au scénario intéressant qui démarre avec un ton blagueur dans une station d’hiver suisse et termine dans une longue fusillade au cœur d’une rue londonienne, présente des faiblesses frustrantes dans le rythme, l’organisation et la cohérence des idées scénaristiques, les interprétations et les personnages. Néanmoins, le suspense est finement mené au cours de quelques scènes angoissantes (celles du cabinet dentaire ou de la secte religieuse par exemple). Des paroles même d’Hitchcock, « la première version [était] l’œuvre d’un amateur talentueux et la seconde celle d’un professionnel ». Cette déclaration n’accable aucune des deux réalisations mais insiste sur un aspect important. En 1934, Hitchcock, encore au début de sa carrière, multiplie ses idées de mise en scène sans donner une cohérence et une structure globale à la somme de ses composantes.
    Steven M
    Steven M

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 avril 2020
    La version est un peu datée (1934), cependant un des grands thèmes hitchcockien y est présent: celui d'être témoin, contraint ou consentant, de ce qui se passe dans le monde (ici un assassinat contre un chef d'état) , et la quête de soi-même conséquente...
    La fin, avec un pigeon qui, cette fois n'est plus d'argile, est fort bien vue...
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2020
    Tout Hitch est déjà dans cette première version : le suspens dont l'intensité monte petit à petit, le goût pour les coups de force insolites (l'assassinat en plein bal, le courage de la mère championne de ball-trap prenant ses responsabilités dans une des séquences finales) et la mise à l'épreuve d'un couple que rien ne prédestinait face au danger le plus terrible. En prime, le génial Peter Lorre, malsain à souhait.
    Lyson
    Lyson

    1 abonné 37 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2020
    Même si ces films sont moins peaufinés, j'ai toujours préféré les imperfections des années anglaises de Hitchcock, son côté en devenir m'émeut.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 février 2020
    “L’homme qui savait trop” est un film britannique d’Alfred Hitchcock sorti en 1934. Le réalisateur tourna lui-même un remake américain en 1956. L’action se déroule dans les Alpes suisses où un couple d’Anglais et leur fille font la connaissance d’un agent secret français. Mais ce dernier est assassiné. Ses derniers mots révèlent l’imminence d’un attentat à Londres. Pour obtenir le silence du couple, les criminels kidnappent leur fille. “L’homme qui savait trop” est un film à suspense au scénario ficelé mais à la mise en scène inégale. Tout va très vite et empêche au spectateur de s’attacher aux personnages, qui semblent pourtant bien jouer. Le cinéaste fait également le choix d’employer le ton de la comédie à certains moments. Le mélange avec les épreuves dramatiques que va vivre le couple est alors assez déconcertant. Alfred Hitchcock propose néanmoins un premier coup d’essai intéressant en imposant ses styles et mécaniques autour du suspense et de la tension.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 mai 2019
    M est l’homme qui en savait trop, c’est pour ça qu’il passa la frontière suisse, une nation toujours neutre depuis 1935, profitant du moment d’inattention de l’agressif régime allemand floué pour filer en douce et demander droit d’asile à l’anglo-américain. Blague à part, c’est le seul intérêt de cet acteur qui m’a incité à voir ce vieux Alfred Hitchcock dans sa période britannique, le légendaire flegme de gentleman cinéaste délivre une réalisation en noir et blanc, du bon classique quoi. Les vacances rêvés d’un couple pépère et leur fille, font du ski de carte postale au milieu de l’Europe, puis vient la perturbation météo transformée en cauchemar, le kidnapping de cette dernière suite à l’assassinat de l’ami français, un deuxième cadavre de diplomate suivra. J’ai remarqué les situations ridicules dans les scènes, là n’est pas le problème, la censure de l’ancien anglais est un drôle de mécanisme. Des policiers non armés mais se fait livrer par un camion pendant l’assaut contre les ravisseurs, ce détail fut tellement insignifiant pendant la bataille sans merci contre les bandits. Après 1h dépassée d’honoraires en pleine séance rendez-vous chez le dentiste anesthésié, rattrapé par la prestance hilare de Peter Lorre. Il y a foule pour une nouvelle chasse à l’homme, les kidnappeurs sont encerclés et n’échappent au sort réservé à leur sinistre plan machiavélique, une femme qui prend le devant pour conclure afin de sauver sa progéniture face à l’inaction policière trop pensive. L’image dopé d’excentricité jeu passionnel et acteur fétiche du mystique hypnotiseur visionnaire réalisateur germain, Fritz Lang.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 février 2019
    Un brouillon d'Hitchcock. Le début est raté (et n'est pas drôle), malgré le charme de Nova Pilbeam, adolescente alors. A l'exception de Peter Lorre, les acteurs manquent de charisme. La scène du concert est assez décevante par rapport à la version de 1956 et la longue et sanglante fusillade de la fin du film (inhabituelle chez Hitchcock) se termine de manière grotesque spoiler: puisqu'un policier refuse de tirer pour ne pas toucher l'enfant ce qui pousse la mère à prendre l'arme et à tuer l'assassin
    . Une nouvelle fois, la police est ridicule (une obsession du cinéaste). Les quelques traits d'humour ne parviennent pas à sauver le film de l'ennui.
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