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    Le Grand McLintock
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    2,7
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    25 critiques spectateurs

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    Bruno TEF
    Bruno TEF

    6 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2023
    Le grand McLintock est un western de 1963 réalisé par Andrew V. McLaglen, qu'on pourrait qualifier de vaudevillesque. Nous sommes loin des westerns classiques remplis de chevauchées, de fusillades, d'attaques de train ou encore de duels au pistolet. On assiste dans ce film au face-à-face entre deux époux au tempérament volcanique, John Wayne dans le rôle d'un grand propriétaire terrien de l'Ouest américain, et sa femme, Maureen O'Hara, sur fond de divorce. Les scènes comiques se succèdent tout le long du film, avec plus ou moins de bonheur. Si certaines sont plutôt réussies, comme la bagarre magistrale dans la mare boueuse, d'autres le sont beaucoup moins et finissent par lasser. Les deux scènes de fessée, mémorables il est vrai, paraissent assez décalées dans le contexte actuel, même si elles peuvent faire sourire, elles seraient impensables et probablement censurées en 2023. L'humour est souvent malheureusement assez lourd, répétitif et l'ensemble a plutôt mal vieilli. Le grand McLintock n'est pas le meilleur western joué par John Wayne, loin de là. Son seul intérêt, en dehors que quelques scènes comiques mémorables, est la présence de deux grands acteurs de l'époque qui en font des tonnes et de quelques seconds rôles, comme Stéphanie Powers, encore inconnue en 1963. Le grand McLintock a pris un sacré coup de vieux, il fera peut-être le bonheur des inconditionnels de John Wayne, mais ne ravira sûrement pas tout le monde.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 951 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 juillet 2023
    Je n’ai pas le souvenir d’un John Wayne aussi ennuyeux que ce film. Une véritable purge en ce qui me concerne. Les séquences s’éternisent pour se répéter. Il ne se passe pas grand-chose et je cherche encore après le générique la trame première.
    Accepter le divorce ?
    Entendu, mais trop long et surtout trop lourd.
    D’aucuns parlent de la scène de la boue et de son toboggan naturel, mais que dire de la scène de l’escalier, de la bagarre avec le neveu et l’oncle, et de la poursuite dans le dernier quart d’heure ?
    Interminablement ennuyeux…
    bobmorane63
    bobmorane63

    196 abonnés 1 977 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2023
    Le cinéaste Andrew V.McLaglen est connu pour réaliser des Westerns que j'appelle pépère ou il faisait tourné des stars vieillissantes en fin de carrière et apres des films de guerre avec Roger Moore entre deux "James Bond". Ici, il met en scène John Wayne avec lequel il marquera une longue collaboration mais je trouve que là, l'alchimie passe pour faire un Western plus orienté vers le comique. Le Duke s'en sort très bien, arrive à faire rire le spectateur entre bagarres et disputes avec distraction. Sa partenaire Maureen O'Hara incarne la femme de ce dernier avec un humour et une personnalité volcanique. La belle Yvonne De Carlo fait une apparition dans un rôle secondaire. C'est bien réalisé, c'est bon enfant, le tempo comique marche bien même dans le genre Western. On aime ou pas, moi j'ai passé un bon moment.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2023
    John Wayne aborde les années 60 avec une forme d’assurance et de décontraction qui m’amène à penser qu’il est capable d’accepter n’importe quel scénario vu qu’il est bankable. Andrew V. McLaglen est un réalisateur besogneux, mais sans génie, qui va réaliser une série de films honnêtes, mais sans panache, dans les années 60 dont les westerns « Rancho Bravo », « Le ranch de l’injustice », « Les géants de l’Ouest »… « Le Grand McLintock » est certainement son film le plus médiocre de la décennie 60/70. L’histoire, si on peut parlier d’histoire, cette pantalonnade, s’articule autour de la personnalité imposante de John Wayne. Maureen O'Hara, qui est tombée bien bas et qui en fait des caisses, sert de faire valoir à l’acteur. Le film est bavard ennuyeux au possible. Point d’orgue de cette purge, une bataille dans la boue avec une sorte de tobogan naturel. Scène supposée drôle qui s’étire au possible. En fin de film, la condition des Indiens est abordée, mais comme l’ensemble du film, c’est bâclé.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2022
    Doté d’un scénario très mince, ce western bon enfant est de par son orientation vaudevillesque plutôt singulier et amusant. C’est d’ailleurs son seul intérêt.
    Estonius
    Estonius

    3 462 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 novembre 2021
    Qu'avons-nous là ? Un western prétendument comique ? En fait de comique c'est vraiment poussif et puis qu'est-ce que ça trimbale ! Entre le fils Wayne en kéké du far-west, le prêchi-prêcha bien réac du père Wayne et une bagarre dans la boue qui n'en finit pas, on est servi. L'histoire part dans tous le sens sans jamais passionner. Alors que sauver ? La classe de Maureen O'Hara quand même et puis la scène de la fessée (en fait il y en a deux), un vrai plaisir coupable complètement assumé. Les petits malins auront remarqué la présence de Mari Blanchard, dans le très court le rôle de la prostituée blonde à la robe verte et qui incarnait la reine de Vénus, Allura dans Abbott and Costello Go to Mars en 1953
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juin 2021
    C'est évident dans Le Grand McLintock où presque chaque scène est une explosion de rire. Il s'agit du western le plus endiablé le plus exubérant et le plus burlesque jamais réalisé. En fait il est facile de comprendre pourquoi c'est l'un des films les plus populaires de John Wayne. Tout le monde donne une bonne prestation même la jeune Powers dans le rôle de la fille de McLintock est prête à tout donner au nom du western classique et de la comédie classique. Il y a quelques stéréotypes mexicains, indiens et chinois qui auraient pu être laissés de côté mais il y a tellement de bons esprits dans ce film qu'il est difficile de ne pas les remarquer. Il suffit de voir l'alchimie entre Wayne et O'Hara dans le rôle de Mme McLintock qui souffre depuis longtemps. Il n'est pas étonnant qu'ils aient fait un grand nombre de films ensemble. Le feu et le soufre se mélangent à la boue et à l'eau jusqu'à ce qu'il soit évident que chaque rire qu'ils génèrent a été gagné honnêtement. Ce n'est pas une chose facile à faire dans un film surtout de nos jours. Le Duke et le comique sont deux grandes choses qui vont si bien ensemble...
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    12 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2020
    Andrew V. McLaglen, fils de Victor, est, de fait, un membre de la famille du « Duke » au cinéma. Pour leur première collaboration, celui qui fut l’assistant dans de nombreux films avec John Wayne, propose un western qui n’en est pas tout à fait un, mais davantage, sur un ton humoristique, une galerie de portraits de personnages hauts en couleurs. En reconstituant le couple John Wayne – Maureen O’Hara, Andrew V. McLaglen s’amuse à décrire un « Duke » à la tête d’un ranch, puissant et redouté, mais en difficulté avec les femmes (la sienne et sa fille, en particulier).
    Vaste plaisanterie vaudevillesque, « Le grand McLintock » est un film qui ne se prend pas au sérieux, enchaînant les bagarres cartoonesques, les situations lourdement comiques et les blagues potaches, autour d’un propos plutôt machiste (les scènes de fessée pour illustrer comment les hommes doivent dominer leur épouse). Grotesque par moments si on refuse d’accepter les règles du jeu, il est certain qu’on n’est pas ici dans la subtilité d’un John Ford pour nous raconter une histoire qui n’est pas sans évoquer parfois « L’Homme tranquille ».
    On est, bien entendu, très loin ici de ce chef d’œuvre, mais il faut prendre ce film pour ce qu’il est, à savoir un pur divertissement sans prétention. On rit parfois de bon cœur, l’ensemble respire la bonne humeur, les robes de Maureen O’Hara sont superbes, et la distribution est de grande qualité. Prendre autrement ce film que pour ce qu’il veut être conduit forcément à ne s’attarder que sur ses défauts et à passer à côté de cet agréable moment de distraction.
    Samir T
    Samir T

    1 abonné 67 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 avril 2019
    Il y a quelques bonnes scènes dans ce film, mais au prix de beaucoup d'autres, trop longues et sans intérêt, je crois que sans la présence de John Wayne je ne l'aurais pas regardé jusqu'au bout.
    Kalie
    Kalie

    61 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2019
    Dans ce western comique, sous-genre peu commun, l’enthousiasme des acteurs est vraiment communicatif. Les scènes gentiment frivoles m’ont amusé (la bagarre dans la boue, les personnages joués par John Wayne et Yvonne De Carlo ivres… jusqu’à la poursuite finale entre John Wayne et Maureen O'Hara). Évidemment, l’absence de tension et de suspense limite fortement la portée du film. Sinon, voir autant de machisme est choquant de nos jours : une bonne fessée administrée à une femme pour la dompter tel un cheval, voilà la conclusion du film !
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2019
    Sans être marquant, Le Grand McLintock est un film assez original. En effet, c’est un western comique pro-indien avec John Wayne ! Ce représentant du penchant classique de ce genre qui a tué moult indiens dans ses œuvres passées trouve ici le rôle d’un propriétaire de ranch ami avec des indiens spoiler: et qui les défend même dans un procès et dans une tentative de pendaison sommaire (un de ses employés indiens se plaignant même au début du film de la manière dont ceux-ci sont traités dans la vie de tous les jours)
    . Toutefois (et c’est peut-être la meilleure façon de faire évoluer les mentalités), cet aspect n’est que secondaire dans le récit, ce qui évite le tract moralisateur : des films comme La Flèche brisée de Delmer Daves (1950), Bronco Apache de Robert Aldrich (1954) ou Le Jugement des flèches de Samuel Fuller (1957) sont passés par là et cela se voit.
    Mais si le film est progressiste avec les indiens, c’est loin d’être le cas avec les personnages féminins. Effectivement, le film possède un regard très machiste envers celle-ci. Le personnage de Katherine, interprétée par Maureen O’Hara (qui retrouve John Wayne après des films comme Rio Grande, L’Homme tranquille ou L’aigle vole au soleil), est insupportable d’arrogance, attitude qui est reprise également par sa fille. Il n’est donc pas surprenant de voir les comportements machistes de John Wayne envers sa femme spoiler: (il l’embrasse tout de même de force, ce qui vu à l’époque de Me too et de Balance ton porc serait considéré comme l’équivalent d’un viol)
    être traités avec légèreté spoiler: : son couple retrouvera le bonheur suite à une fessée (attitude adopté auparavant par le personnage de Patrick Wayne envers celui de Stephanie Powers)
    !
    Cela a pour but avant tout d’être un élément comique de l’ensemble. Ainsi, Andrew V. McLaglen cherche surtout à faire rire le spectateur. Malgré la présence de John Wayne, il ne faut pas chercher à voir un western totalement classique mais presque une comédie de boulevard. On se retrouve donc avec des éléments parodiques comme la bagarre générale qui est une caricature de ce type de scène. spoiler: Même une séquence pourtant assez dangereuse au tournage (John Wayne balançant Patrick Wayne contre un cheval, séquence risquée selon la manière dont réagit le cheval et qui ferait hurler les amis de bêtes de nos jours) est traitée sur le ton de la comédie.
    Le tout se conclut d’ailleurs avec une séquence frôlant le grand n’importe quoi spoiler: où la poursuite entre la cavalerie et les indiens est totalement gratuite (c’est plus un clin d’œil qu’autre chose) et où une dispute conjugale prend la place du duel final traditionnel du genre
    .
    Ainsi, même s’il est un film peu marquant et si son aspect extrêmement machiste de l’ensemble le date très fortement, Le Grand McLintock reste un western assez divertissant par son traitement comique et assez décomplexé du genre qui tranche à la fois avec le western plus classique et les formes plus modernes et violentes du genre à venir (nous sommes un an avant Pour une poignée de dollars qui lancera véritablement le western spaghetti et Sam Peckinpah n’en est qu’au début sa carrière).
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 720 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2019
    2 étoiles - Le grand McLintock

    C'est un long film d'un autre temps. Virilité masculine et et machisme affiché comme principe morale pour une vie de couple heureuse ... Il y a de l'humour dans ce film ; mais un humour ... comment dire ... simpliste car forcé et caricatural. Les acteurs ne sont pas mauvais. La mise en scène - classique - est propre et nette. Le scénario est très faiblard. Bref, pas d'originalité. Un film long, qui frôle l'ennui, mais qui se laisse regarder. C'est très bon enfant.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2019
    M. OH n’avait pas autre chose à faire que de jouer ce tromblon ridicule???!
    On zappe direct ces scènes de ménages complètement datées pour voir le sublime « homme tranquille » irlandais.
    Plutôt ennuyeux et cabot. Des scènes potaches et ridicules......
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 mars 2015
    Comme à son habitude, John Wayne campe un homme rustaud et macho. Riche propriétaire terrien, McLintock possède de nombreuses têtes de bétail et il impose le respect de tous les gens de la contrée, y compris de la part des indiens qu'il gratifie gracieusement de quelques vaches pour se nourrir. Malgré cette apparente sérénité, McLintock a un gros problème à résoudre, sa femme Katherine est de retour et son tempérament de feu ne va apparemment pas arranger la situation. Katherine est interprétée par Maureen O'Hara, cette grande actrice qui est une habituée des westerns et des rôles de femme au caractère bien trempé. Elle a également tourné plusieurs fois avec John Wayne (Rio Grande, L'homme tranquille, L'Aigle vole au soleil …) et joué avec les plus grands. C'est un plaisir de la retrouver dans ce long métrage d'Andrew Victor McLaglen. Ce dernier, d'origine britannique, fait partie des meilleurs réalisateurs hollywoodiens. Il a fait ses débuts sous la houlette de John Ford, l'un des maîtres du western, ceci explique cela. Il aborde ce récit sous un angle inhabituel en jouant sur plusieurs registres : le comique de situation parfois irrésistible, les dialogues à l'emporte-pièce, des bagarres mémorables. Il esquisse également le problème des indiens dont les terres ont été confisquées par le gouvernement. C'est aussi l'occasion de revoir le fils de John, Patrick Wayne, la charmante Stefanie Powers (Rebecca), la talentueuse Yvonne de Carlo et quelques seconds rôles connus dans le milieu westernien tels Edgar Buchanan ou Bruce Cabot. D'ailleurs, il s'agit plus d'une comédie familiale que d'un véritable western et ce n'est pas l'un des meilleurs du genre, notamment à cause de certaines longueurs et quelques séquences vaudevillesques qui tournent à la grosse farce. Cependant, il offre un spectacle drôle et divertissant. Petite anecdote, le grand Mc se prénomme George Washington, est-ce volontaire ? A propos du metteur en scène, certains le trouvent médiocre, notamment sur cet opus. Pour ma part, j'ai visionné plusieurs de ses films, et, si l'on peut admettre qu'il a eu du mal à se détacher de l'influence de son mentor John Ford, ils sont pour la plupart de très bonne facture (cf. Chisum, Bandolero, La Loi de la haine, La route de l'Ouest, Les Cordes de la potence, La percée d'Avranches et bien d'autres encore).
    NeoLain
    NeoLain

    5 051 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2014
    John Wayne et Maureen O'Hara se chamaillant tout le long de ce western qui reste cependant en repos. On regarde l'ensemble dans une détente en tenant compte que l'on y trouve peu de moment épatant surtout lorsque le film avance de plus en plus vers sa fin de durée et seul quelques petits passages sont jubilatoire, notamment au début avec une baston et chute festive dans un trou de boue et de flotte. Soulignons l'apparition de l'actrice Stefanie Powers ici encore toute jeune et déjà toute belle. Si elle vous dis pas grand chose, elle joua dans la célèbre série Pour l'amour du risque.
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