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totoro35
102 abonnés
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4,0
Publiée le 25 juillet 2010
Délaissant totalement le groupe en lui-même pour mieux s'évertuer à désacralisé l'image iconique de Morrison avec la subtilité d'un pachyderme, Oliver Stone signe un biopic mal-aimé à réévaluer d'urgence, ne serais-ce que pour le tableau dantesque et théâtrale d'une Amérique et d'une époque complètement folle et pour la prestation incroyable de Val Kilmer.
mon groupe préferé =)et j ai beaucoup aimer le film qui même si il n'ai pas une biographie éxact il reste asser proche de la vérité (du moin la vérité que je connai qui na peut etre rien a voir avec la vérité)
Film retraçant la vie du groupe "Doors", et de Jim Morrison en particulier. Seul les fans trouveront leurs compte dans ce film romancé, et certainement trop long a mon goût. Mention special toutefois pour Val Kilmer, Meg Ryan et Kyle MacLachlan. Pour les inconditionnel seulement...
the doors est un film très surprenant. du pur Oliver Stone des succession d'image très psychedelique melangé a la musique alternative des doors donne au film un style bien particulier et extremement enrichissant car cela nous plonge plus ou moins dans l'esprit torturé qu'était celui de Jim Morrison. on peut aussi noté que Mr Stone est encore une fois influencé par la culture indienne qui tient une part très importante dans la filmographie du realisateur. en effet il utilise des references a cette culture oublié dans beaucoup de ces long metrage tels que le très controversé "tueurs nés" ou encore son road movie "U-turn" avec sean penn. Bref pour en revenir au films "the doors" je le conseil vivement a tout les fans de rock et tout les nostalgique des années woodstock car ce film retranscrit à merveille la facon de pensée de cet epoque.
Surprenant ! Il s'agit très certainement du meilleur film d'Oliver Stone, réalisateur n'ayant jamais vraiment brillé par sa fantaisie si l'on se penche d'un peu trop près sur sa filmographie. Pourtant, force est de constater que ce biopic a dépassé mes espérances. En plus d'être incroyablement fidèle à la carrière du groupe de rock californien, The Doors s'affirme comme le portrait passionnant d'un écorché vif, d'un esprit libre et insatiable. Val Kilmer, météorique, trouve sans nul doute son plus beau rôle en la personne de Jim Morrison : avec un mélange d'animalité et d'évanescence bien dosé, l'acteur nous fait remarquablement oublier les Tombstone et autres Batman Forever dont lui seul a le résistible secret. Agrémenté d'extraits musicaux tour à tour planants, euphorisants et mystiques ( on retiendra la séquence de la version live de The End, mais aussi l'organisation par les quatre artistes du célèbre Light My Fire ), The Doors est un film puissant. Comme le groupe, Oliver Stone a su - pour cette fois - dépasser les limites. A voir d'urgence.
Oliver Stone fait revivre le mythique groupe de rock des années 60/70 avec une rare maîtrise. The Doors est un passionnant laboratoire du cinéma hollywoodien, un champ de forces envoûtant, déstabilisant, où les articulations du récit et de la technique, de l'écrit et de l'image, s'exposent en pleine intelligence. A cela s'ajoute une interprétation magistrale de Val kilmer qui marque l'aboutissement d'un acteur que l'on savait réellement brillant mais qui révèle ici sa maturité en s'imposant capable de plier son style à la cohésion d'un projet. Inoubliable.
Je suis jeune, et je ne connaissais rien sur cette époque avant de voir le film : ça a été une révélation. La révélation d'une époque, d'un mode de vie, et d'un groupe mythique, que j'avais entendu des milliers de fois sans m'en rendre compte, et qu'aujourd'hui je réécoute avec plaisir. Val Kilmer tient son rôle comme un chef, et le réalisateur retranscrit avec justesse, il me semble, la vie de l'icône qu'est Jim Morrison. Merci pour ce film instructif et divertissant.
On ne peut être qu'admiratif devant la performance de Val Kilmer, Jim Morrison plus vrai que nature qui nous immerge totalement dans la vie de ce "Poète Maudit". Le scénario, très bien ficelé, nous raconte sa gloire, du début à la toute fin, et la musique grisante des Doors nous balade tout le long du film. Les seconds rôles sont bluffants, avec une mention spéciale à Meg Ryan (l’ancienne Meg, avant retouche). Ce film aurait du être un chef d’œuvre. Pourtant on s'ennuie un peu. Premièrement il faut être fan, je ne le suis pas (excepté quelques morceaux). Deuxièmement il faut aimer les "trips" hallucinogènes avec effets multicolores, musiques lancinantes et discours absurdes. Pour finir il faut idolâtrer un drogué alcoolique, égoïste, infidèle, narcissique et lâche. Un génie dans sa musique et dans ses textes, mais un être humain bien pathétique. Bref, un film de fan.
Oliver Stone met l'accent plus sur Jim Morrison que sur les Doors et réalise un film envoutant, témoin d'une époque contestataire dont Morrison devient l'incarnation jusqu'à sa mort prématurée. Le montage, l'utilisation de la musique, le cadrage et le propos du film en font un film inoubliable. Un chef d'oeuvre !
Voici l’époque bénie où Oliver Stone savait conduire un film de manière progressive et cohérente dans son atmosphère. Je ne suis vraiment pas fan des Doors en tant que groupe et pourtant la manière dont est mis en dynmaique la vie de l’ami Morrisson me parle ici, peut-être parce que justement elle est à la fois un questionnement sur l’humain et sur l’époque. Enfin bref, moi en tout cas j’apprécie beaucoup.
Excellent film biographique sur le vie Jim Morrison. Le film retrace la montée en popularité de la star. Superbement réalisé, on peut entendre les plus gros succès du groupe et faire la corrélation avec le contexte de l'époque et l'état d'esprit du groupe. J'adore le groupe et j'ai adoré ce film que je conseille vivement aux fans.
Je ne connais pas assez la vie des Doors et de Jim Morrison pour juger de la pertinence de la biographie d'Oliver Stone. Je suis cependant un grand amateur de leur musique qui est très bien employée dans ce film agrémenté du jeu époustouflant de Val Kilmer, la réalisation sans être géniale est propre. Je regrette particulièrement que le film se concentre sur les manies autodestructrices de Morrison, pas assez sur l'oeuvre de celui qui se considérait avant tout comme un poète.
oliver stone n'a rien comprit a l'univers des doors il ne depeint que ses fantasmes à lui.Jim était peut etre exubérant à des moment est c'est vrai qu'il avais beaucoup de tempérament mais c'était avant tous un poète et le réalisateur n'a pas montrer un seul coté de cette facette.quand à val kilmer il ne cabotine plus qu'il ne joue tous est caricatural et sans personnalité!oliver stone aurait mieux fait de garder son premier choix harry hamlin.