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2016 notes
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Votre avis sur Chucky la poupée de sang ?
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Une suite vraiment réussie, avec de nombreuses scènes flippantes et un très bon scénario. De plus, la réalisation est vraiment originale, enchainant plans séquences et plans fixes. Un film que je recommande vivement pour tous les fans du premier.
Bon, c'était assez passable, et j'ai failli mettre pire, je m'explique. Chucky II possède un côté plus sarcastique en particulier sur Chucky, qui n'est pas tout à fait comme le premier, j'avais de l'estime en lui par rapport au premier car il était pas si méchant, mais là il est tout autre et tombe encore plus dans la terreur. Et je me suis fait la réflexion que Chucky à partir du deuxième, devient un antagoniste cruel comme le style de Freddy, c'est-à-dire machiavélique, et pas subtil. Et c'est le charme qui s'enlève du scénario qu'avait le premier, mais dans un autre cas, Myers a toujours gardé son style, fin et implacable sans partir dans le persiflage et la satire burlesque.
Chucky, la poupée de sang est une suite tout à fait honorable au premier film de la saga Chucky.
Certes, le pitch a vraiment un côté redite du précédent volet mais on n'est pas encore au stade de la franchise où les films sont vraiment mauvais, voire nanardesque (stade que franchissent la plupart des séries de slasher movies, de Vendredi 13 à Freddy).
Les effets spéciaux et l'animation de la poupée Chucky sont toujours aussi convaincants. La performance du jeune Alex Vincent dans le rôle d'Andy Barclay passe très bien (alors qu'en général, les enfants dans les films sont insupportables) et Brad Dourif est toujours au top dans ce rôle vocal de Chucky.
Le combat final dans le magasin de jouet n'a pas beaucoup vieilli.
Très franchement, j'ai bien apprécié.
Certes, le pitch a vraiment un côté redite du précédent volet mais on n'est pas encore au stade de la franchise où les films sont vraiment mauvais, voire nanardesque (stade que franchissent la plupart des séries de slasher movies, de Vendredi 13 à Freddy).
Les effets spéciaux et l'animation de la poupée Chucky sont toujours aussi convaincants. La performance du jeune Alex Vincent dans le rôle d'Andy Barclay passe très bien (alors qu'en général, les enfants dans les films sont insupportables) et Brad Dourif est toujours au top dans ce rôle vocal de Chucky.
Le combat final dans le magasin de jouet n'a pas beaucoup vieilli.
Très franchement, j'ai bien apprécié.
Aussi bien que le premier film Chucky , qui porte comme titre de film : " Jeu d' enfant " , auquel j' ai mis également la note de 4 étoiles .
Il s' agit du 2 éme film , de la saga " Chucky " .
Le premier film est un mélange de film d' horreur et de film policier , ce deuxième film , est un mélange de film d' horreur et de comédie dramatique familiale , avec de l' action , du suspens et de l' émotion .
Il s' agit du 2 éme film , de la saga " Chucky " .
Le premier film est un mélange de film d' horreur et de film policier , ce deuxième film , est un mélange de film d' horreur et de comédie dramatique familiale , avec de l' action , du suspens et de l' émotion .
Artriste
Suite de Jeu D'Enfant, sorti trois ans auparavant, Chucky, La Poupée De Sang est un long-métrage dans la lignée de son prédécesseur, malgré le changement de réalisateur, puisque c'est John Lafia qui prend les commandes de ce deuxième volet. L'histoire se déroule quelques mois après la mort de la poupée, et nous fait suivre le jeune Andy Barclay se retrouvant séparé de sa mère qui séjourne dans un hôpital psychiatrique. Il est alors pris en charge par une famille d'accueil, qui hébergent également une adolescente rebelle prénommée Kyle. Dans le même temps, la compagnie qui fabrique les poupées Brave Gars récupère la dépouille grillée de Chucky et décide de la remettre en bon état. Le tueur ressuscite alors et est bien décidé à s'emparer du corps du garçon pour de bon. Ce scénario s'avère prenant à suivre tout au long de sa durée d'un peu moins d'une heure et demie. On assiste pendant tout ce temps à une intrigue reprenant les grandes lignes de son ainé, n'apportant que très peu de nouveauté, si ce n'est des nouveaux personnages et des lieux plus variés. Mais le cœur du récit et l'enjeu restent inchangés. Les scènes tentent tout de même de se renouveler, notamment à travers les mises à morts originales et sympathiques. Car oui, malgré l'ambiance inquiétante très bien retranscrite, l'humour noir est toujours aussi présent et décroche pas mal de sourires malgré la gravité des faits. La satire faite à l'encontre d'entreprises prêtes à tout pour le profit au détriment des risques est pour sa part encore plus développée. Malgré l'impression de déjà-vu général, cette suite est légèrement supérieure au premier grâce aux protagonistes plus intéressants. Des rôles convenablement interprétés par Alex Vincent, Jenny Agutter, Gerrit Graham et Christine Elise. Mais la véritable tête d'affiche est bien évidemment la poupée rousse tueuse qui redouble d'efforts, de roublardises et de cruauté pour parvenir à ses fins. Les relations entretenues par tous ces individus sont appréciables, notamment celle entre les deux plus jeunes. Ils sont soutenus par des dialogues de bonne facture, en particulier quant ils sortent de la bouche en plastique du jouet au langage fleuri toujours plus grossier et amusant dans ses propos. Sur la forme, la réalisation de John Lafia est de qualité. Il reprend les mêmes codes du genre empruntés à Tom Holland. Sa mise en scène fait parfaitement monter la tension dans les séquences avant de déboucher sur une attaque plus ou moins surprise de Chucky. De plus, elle évolue dans des environnements plus variés et bien exploités. Les animatroniques et les effets spéciaux sont eux toujours aussi convaincants, donnant vie au jouet rendu plus vraie que nature. Ce visuel terrifiant est accompagné par une très bonne b.o. signée Graeme Revell. Ses compositions inquiétantes collent à merveille avec les images, même si, une nouvelle fois, il manque d'un thème fort permettant d'identifier immédiatement l'œuvre. Ce cauchemar pourtant bien réel s'achève sur une fin sans surprise mais satisfaisante, venant mettre un terme à Chucky, La Poupée De Sang, qui, en conclusion, est un long-métrage ne prenant aucun risque par rapport à l'opus originel, mais qui s'avère terriblement efficace.
Un très bon film d'horreur avec le retour de Chucky la poupée démoniaque avec Alex Vincent et Christine Elise .
En 1990, les films d'horreur/Slasher commençaient à perdre sérieusement de la cadence. Freddy Krueger, par contre, explose le box-office. Tandis que le réalisateur Jeff Burr proposant son reboot de Massacre à la tronçonneuse fut un échec critique et commercial. Le moins performant de toute la saga de quatre séries. Et puis, il y a Chucky. Qui, au grand étonnement du producteur David Kirschner et de Don Mancini ( Don Mancini a créé le personnage Chucky et contribua aux scénarios des deux films)
Leur premier film, Jeu d'enfant, Chucky, premier du nom fit recette de plus de 44 millions de dollars. Ce qui le pousse dans les rangs, en plus du personnage lui-même. Dans la cour des grands. Emblématique des célèbres et classiques bogeyman des Slasher qui culminait au plus haut de sa gloire entre 1980 et 1986 et descendit vertigineusement jusqu'en 1990. Avec la recette du premier Chucky. Ils se décidèrent de produire une suite logique du premier opus. Le budget est de plus de dix millions de dollars. Cette fois-ci, c'est le réalisateur John Lafia et il était aussi le scénariste dans le premier. La plus grande partie du budget aura été pour les effets spéciaux et surtout, l'animation de la poupée, extrêmement bien faite, même trente ans après. Que ce soit le Chucky deux ou le premier. Les effets comme il se déplace, ces expressions, ces attaques sur tout ceux qui lui barre le chemin sont époustouflantes. Et ne vieillissent pas. Dans son genre, pas de concurrents. Une poupée tueuse, unique dans le monde du cinéma. Il y a eut avant des idées, des séries. Dans Polthegueist, dans la quatrième dimension et dans un ou deux nanar. Mais aucun avaient osé faire un long métrage. Ce qui enchanta les grands producteurs, c'est que l'histoire est tout de même intéressante parce qu'elle parle de Vaudou. Parce qu'on voit et comprend comment avant Chucky était un être humain. Il s'appelle Charles lee Ray et c'est un infect criminel. L'idée de base, et de réveillé nos peurs enfantines telle justement une poupée qui deviendrait vivante et vous veut du mal. C'est ça le tripe !. Personnellement. Je n'arrive pas à tomber sous le charme de la poupée rousse. Je suis un fan incontesté des films d'horreur. J'ai été plus habitué à voir des vrais Slasher, des vrais films d'horreur, des films méchants et ultra-gore. Du Wes Crawen, du Tobe Hooper, du John Carpenter, du George A. Romero. Enfin bref, je suis habitué à voir du lourd. Alors, quand je regarde Chucky, mes yeux expérimentés me fait dire que le scénario est à peu de chose prêt le même que dans le premier. Il ressuscite. Il tue ceux qui sont sur son passage. Il retrouve Andy. Il échoue. Grosse bagarre à la fin. Chucky fini mal. Mais il semblerait qu'il soit éternelle. Le Chucky deux nous montre un Chucky plus sadique que dans le premier. Il y a plus de meurtres, il y a plus d'action. Mais ce que je n'aime pas c'est comment Chucky s'exprime. Étant donné que la poupée Brave gars est possédée par l'esprit d'un psychopathe, elle jure comme un charretier. Ça vient comique. C'est une comédie horrifique ou un gentil film d'horreur qui fait rire. Qui va plaire aux plusieurs spectateurs lambdas. Pour passer un moment sympathique, rien ne vaut Poupée de sang, Chucky 2. Pour vous distraire et rire. On a beau se moquer de la vilaine poupée tueuse mais elle surpassera justement en 1990 le box-office de La fin de Freddy. L'ultime cauchemar ....on peut dire aussi que c'est la fin de ce qui avait les plus années des films d'horreur/Slasher.
Leur premier film, Jeu d'enfant, Chucky, premier du nom fit recette de plus de 44 millions de dollars. Ce qui le pousse dans les rangs, en plus du personnage lui-même. Dans la cour des grands. Emblématique des célèbres et classiques bogeyman des Slasher qui culminait au plus haut de sa gloire entre 1980 et 1986 et descendit vertigineusement jusqu'en 1990. Avec la recette du premier Chucky. Ils se décidèrent de produire une suite logique du premier opus. Le budget est de plus de dix millions de dollars. Cette fois-ci, c'est le réalisateur John Lafia et il était aussi le scénariste dans le premier. La plus grande partie du budget aura été pour les effets spéciaux et surtout, l'animation de la poupée, extrêmement bien faite, même trente ans après. Que ce soit le Chucky deux ou le premier. Les effets comme il se déplace, ces expressions, ces attaques sur tout ceux qui lui barre le chemin sont époustouflantes. Et ne vieillissent pas. Dans son genre, pas de concurrents. Une poupée tueuse, unique dans le monde du cinéma. Il y a eut avant des idées, des séries. Dans Polthegueist, dans la quatrième dimension et dans un ou deux nanar. Mais aucun avaient osé faire un long métrage. Ce qui enchanta les grands producteurs, c'est que l'histoire est tout de même intéressante parce qu'elle parle de Vaudou. Parce qu'on voit et comprend comment avant Chucky était un être humain. Il s'appelle Charles lee Ray et c'est un infect criminel. L'idée de base, et de réveillé nos peurs enfantines telle justement une poupée qui deviendrait vivante et vous veut du mal. C'est ça le tripe !. Personnellement. Je n'arrive pas à tomber sous le charme de la poupée rousse. Je suis un fan incontesté des films d'horreur. J'ai été plus habitué à voir des vrais Slasher, des vrais films d'horreur, des films méchants et ultra-gore. Du Wes Crawen, du Tobe Hooper, du John Carpenter, du George A. Romero. Enfin bref, je suis habitué à voir du lourd. Alors, quand je regarde Chucky, mes yeux expérimentés me fait dire que le scénario est à peu de chose prêt le même que dans le premier. Il ressuscite. Il tue ceux qui sont sur son passage. Il retrouve Andy. Il échoue. Grosse bagarre à la fin. Chucky fini mal. Mais il semblerait qu'il soit éternelle. Le Chucky deux nous montre un Chucky plus sadique que dans le premier. Il y a plus de meurtres, il y a plus d'action. Mais ce que je n'aime pas c'est comment Chucky s'exprime. Étant donné que la poupée Brave gars est possédée par l'esprit d'un psychopathe, elle jure comme un charretier. Ça vient comique. C'est une comédie horrifique ou un gentil film d'horreur qui fait rire. Qui va plaire aux plusieurs spectateurs lambdas. Pour passer un moment sympathique, rien ne vaut Poupée de sang, Chucky 2. Pour vous distraire et rire. On a beau se moquer de la vilaine poupée tueuse mais elle surpassera justement en 1990 le box-office de La fin de Freddy. L'ultime cauchemar ....on peut dire aussi que c'est la fin de ce qui avait les plus années des films d'horreur/Slasher.
Un très bon film d'horreur. Chucky , la poupée diabolique meurtrière est de retour dans ce deuxième volet de cette saga d'épouvante .
Bonne suite directe du 1 ,
L'un des meilleurs de la série .
Kyle superbe .
Les effets de la poupée chucky sont encore réaliste de nos jours , pour l'époque c'était quand même un bel exploit .
L'oncle Charles n'a pas perdu de son phrasé dans cet opus .
Oh dam balaaaaaa
L'un des meilleurs de la série .
Kyle superbe .
Les effets de la poupée chucky sont encore réaliste de nos jours , pour l'époque c'était quand même un bel exploit .
L'oncle Charles n'a pas perdu de son phrasé dans cet opus .
Oh dam balaaaaaa
Meilleur épisode de la saga Chucky la musique, les meurtres, l'image, Chucky, l'histoire est génial y'a rien à dire il est parfait
Il y'a un rappel visuel de la peur assez emblématique du premier "Terminator" dans son climax final : une tentative chez le réalisateur John Lafia de recréer cette même tension mémorable de la scène de poursuite entre Sarah Connor/Kyle et Le Terminator, dans cette usine de fabrication automatisée; couplé à cette même ténacité monstrueuse, ici, de la poupée tueuse maléfique aux prises (dans des scènes de duel) avec une véracité répondante des protagonistes qui ne flanchent jamais dans leur lutte perpétuelle contre le mal. Ce qui permet enfin de compte à son réalisateur d'user de ce même symbolisme sans toute fois chercher à le pâlir.
Un film d'horreur facilement amusant, par son pincé d'humour qu'il distille dans des scènes d'effroi où la magie de ses effets submergent le spectateur d'une bonne dose de légèreté et de naïveté nostalgiques d'une époque fortement enracinée dans la mémoire de l'enfance.
Un film d'horreur facilement amusant, par son pincé d'humour qu'il distille dans des scènes d'effroi où la magie de ses effets submergent le spectateur d'une bonne dose de légèreté et de naïveté nostalgiques d'une époque fortement enracinée dans la mémoire de l'enfance.
Chucky 2, à défaut d'être une très bonne suite, reste un bon divertissement horrifique. On va être sur un long métrage d'horreur qui va se trouver être assez long dans sa première partie, il faudra attendre l'arrivée de Chucky pour que le rythme devienne plus pimenté. Voir la poupée démoniaque ; aussi drôle, grotesque que sadique et gore ; trucider ses pauvres victimes est assez hilarant faut l'avouer ( Brad Dourrif fait ici un excellent travail de doublage). Les personnages sont banales et peu intéressants ;d'autant plus que le jeu d'acteur rendrait jaloux un épisode Grey's Anatomy;si ce n'est Andy, avec son traumatisme dû aux événements du 1er film, qui apporte un touche de consistance sur cet ensemble de vide que représente ces antagonistes. L'univers de l'industrie du jouet est sympa et bien amené, surtout avec le climax final du film. À noté une fin un peu trop expéditive, mais bon, c'est un usage coutumier dans les slahsers movies.
Un petit divertissement sans prise de tête ( ceux qui ont vu le film comprendront le sens de cette phrase...)
Un petit divertissement sans prise de tête ( ceux qui ont vu le film comprendront le sens de cette phrase...)
Une suite honnête mais moins passionnante. Ici, Chucky est plus fun et quelques scènes sont vraiment sympathiques. Malheureusement, le film est un peu plat par moment. Ce Chucky reste un bon divertissement à voir pour les fans de Chucky.
Comment revenir 2 ans après avoir signé un classique. Cette suite ne s'en sort pas si mal. On retrouve Andy donc on sent une continuité. Cela montre une volonté de construction qu'on ne peut qu'encourager. Malheureusement, la première partie nous prive de Chucky donc clairement on s'ennuie. Chassait le naturel, il revient au galop. La poupée démoniaque débarque et ça redevient comme on aime. Elle est toujours aussi fun quand elle décide de faire couler le sang. Le gore est au rendez-vous. Grâce à elle, la seconde partie était géniale. On voit qu'Andy ne sert pas à grand-chose en fait sans Chucky. Ce gamin reste une tête à claques. Il reste fidèle à ce qu'on a connu dans le premier. Cette fois, on va l'accompagner de Kyle qui sera une bonne valeur ajoutée par son côté rebelle.
Suite assez moyenne des péripéties de la poupée possédée (et du pauvre Andy !). Si il résulte de cette suite quelques scènes somme toute sympathiques, l'ensemble est très moyen et ne se suit pas avec le même engouement que son aîné. On déplore ainsi un rythme un peu bâtard et un regain d'intérêt amorcé par le retour de Chucky qui finalement s'estompe petit à petit. Dommage car la poupée doublée par Brad Dourif reste cruelle et cynique à souhait !
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