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jthuil
13 abonnés
317 critiques
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4,0
Publiée le 27 janvier 2021
Tout comme Chucky, poupée maléfique et sacrément impayable il faut bien le dire, on s'amuse comme des petits fous ici ! Au point que ce deuxième opus, qui met au premier plan toute la méchanceté, le mauvais esprit et l'humour noir de ce personnage devenu mythique, avec son final rocambolesque dans l'usine à poupées, est peut-être bien le plus réussi de la série. A conseiller vivement aux amateurs du genre.
Que dire sur ce film ? bien sûr l important est plutôt de quantifier le plaisir pris à sa projection car pour le côté technique il reste très ancré dans les productions à la chaîne des années 90 assez impersonnel. Il y a de belles trouvailles néanmoins surtout sur la dernière demi-heure. Pas désagréable quand on peut apprécier le genre sans atteindre l inoubliable.
Ces films fonctionnent tous de la même façon, on sait comment ça va finir et on sait qu'un certain nombre d'acteurs vont "y passer". Le film fonctionne donc sur deux arc :Qui va se faire zigouiller et comment ? Or ici ce cahier des charges est très bien respecté, les meurtres étant très inventifs avec une belle teinte d'humour noir. Côté interprétation, le gosse s'en tire assez bien, sa grande copine aussi même si le personnage aurait pu être davantage approfondi. On retrouve la belle Jenny Agutter qui n'a malheureusement pas assez d'espace pour s'exprimer. Un bon film dans sa catégorie
Téléphoné. C'est tout ce qui ressort de ce 2ème volet de Chucky. Pour commencer, on retrouve le même problème que dans le 1er : les acteurs sont très mal dirigés. Andy, le gamin, est toujours aussi mou, emprunté et inexpressif alors qu'il est à nouveau menacé d'être possédé par le fantôme de Charles Lee Ray. Comme quoi, n'est pas Spielberg qui veut pour diriger des enfants dans un film. L'ado, Kyle, est fade et robotique. Au final, ce sont les caricaturaux parents adoptifs qui s'en sortent le mieux alors qu'ils sont censés être des personnages secondaires! Comme la réalisation est banale, les mises en scènes hyper prévisibles et la bande son inoffensive, il ne reste plus que les animatroniques (toujours aussi réussis) et la folie meurtrière de Chucky pour ne pas s'endormir. Par ailleurs, un Chucky beaucoup moins corrosif et malsain que dans le 1er. Il manque autant de créativité que de talent dans cette suite. Ca fait beaucoup pour espérer faire un bon film de série B... .
Evidemment, après le succès du premier Chucky, la suite était inévitable (on aurait pu se passer de 152 autres ...) et le délire est toujours au rendez-vous, on rigole bien, c'est sanglant, parfois absurde malheureusement et les effets spéciaux toujours amusants. Bon, on a perdu la surprise forcément et l'ensemble commence à être tiré par les cheveux mais cette suite nous réserve de bons moments. A peu près au niveau du premier finalement, la surprise en moins.
Difficile de noter ce film. Je lui met la même note que le premier, pourquoi : Le point faible : l'histoire est à 95% la même, on change deux trois personnage, Chucky is back et hop on est reparti dans la même intrigue, et vous vous en douterez vite, le même dénouement. Ce film est donc trop prévisible (qui va mourir, quand....) Le point fort : Oui la même histoire mais en mieux ! Plus rythmé, plus drôle, plus angoissent et même peut être une touche d'empathie pour les personnages qui vient s'ajouter aux autres qualités de ce film. De plus contrairement à son prédécesseur, cet opus semble mieux supporter le passage du temps et semble indémodable. Bilan : alors qu'un remack sort en 2019, on pourrait presque dire que ce deuxième volet était à l'époque déjà un remack, une amélioration au moins de son grand frère.
Venant à l'instant de le terminer via CanalVod, je n'avais encore jamais vu un épisode de la saga horrifique. Et contrairement aux vendredi 13 ou Halloween, dès le deuxième volet l'action et scène de tensions sont présentes. Bien qu'ayant lu intégralement le résumé du film sur Wikipédia, j'en est de suite conclu que j'allais adoré de part le fait des nombreux événements y étant présent. La qualité visuelle est digne des films "Gremlins" et "Freddy Krueger" et peu donc se hisser facilement parmi les meilleurs films d'horreur/fantastique. Mais j'attend d'abors de découvrir le 3 pour en être pleinement certains. L'interprétation est géniale et chaque réactions est au rendez-vous, notre Chucky est lui dantesque même s'il ne nous montre pas encore son agressivité totale. Je peux toutefois noter qu'il s'agit du même commencement que pour un "Vendredi 13", le personnage est mort et enterrer mais il est de suite ressusciter mais dans cette saga, j'ai l'intime impressions que ce n'est pas du tout pour les mêmes raisons. Une référence donc certainement. Puis aussi, la scène ou Chucky enterré son semblable dans le jardin familiale, il utilise une pelle en plastique, un vrai jouet, preuve que le réalisateur à voulu pour cette seule scène et une autre dans le reste du film, tous mettre à l'échelle d'une poupée, en gros l'échelle de l'enfance. Une vrai réussite. Et le décor entier de la fabrique de jouet pour le final était juste grandiose.
Exit Tom Holland pour ce deuxième épisode de la saga "Chucky", John Lafia, scénariste sur "Jeu d'enfant", passant derrière la caméra avec toujours Don Mancini le créateur du personnage à ses côtés pour l'écriture. Les deux compères restent complètement fidèles à l'esprit du film initial qui fit leur succès mais tenant compte du phénomène "Freddy" qui en est déjà à son troisième épisode, ils décident de miser davantage sur les facéties de Chucky qui s'il a la taille d'une poupée n'en manque pas moins d'énergie et de ressources diaboliques. Dans cette suite, cherchant toujours à habiter un autre corps, le terrible étrangleur poursuit le jeune Andy Barclay (Alex Vincent) qu'il avait martyrisé et terrorisé ainsi que sa mère dans le premier épisode. C'est cette fois-ci une famille d'accueil (sa mère est en soins psychiatriques) qui va faire les frais des retrouvailles. Bien sûr une fois de plus, personne ne peut croire qu'une poupée en celluloïd puisse être autonome et criminelle. Le combat s'engage donc seul pour le petit garçon qui finira par trouver une alliée avec Kyle (Christine Elise), une adolescente placée dans la même famille. Le scénario ne sort pas des bornes narratives définies dans "Jeu d'enfant" mais les interventions de Chucky plus fréquentes et l'inventivité des scènes chocs font de ce second opus une réelle réussite, notamment la scène finale dans l'usine de fabrication des poupées "Brave Gars" tout à fait jouissive. "Chucky la poupée de sang" constitue une suite extrêmement logique au premier opus, et les deux films vus comme un tout se complètement parfaitement. Le premier film nous bluffait avec ce nouveau type de serial killer et était plus axé sur la présentation de Chucky et le potentiel des poupées tueuses. Cet épisode ressemble beaucoup plus à un film d'horreur comme on l'entend généralement, l'ambiance est bien plus sombre et le film lui-même est nettement plus gore : maintenant qu'on connaît Chucky, il faut le faire passer aux choses sérieuses. La réalisation, plus précisément les mouvements de caméra, permet de donner à ce film toute son atmosphère et bien que les situations et meurtres sont téléphonés et prévisibles, on sent la tension véritablement s'installer. John Lafia prend son temps et nous laisse de faux indices, et ça devient un régal. Point négatif, inhérent au principe même du film : ce qui pourrait être effrayant perd nettement de son impact lorsque c'est une poupée rousse faisant dans l'ironie qui est dans l'action. Bien que ça soit parfaitement malsain. Bref, une très bonne suite ainsi qu'un très bon film d'horreur
Exit Tom Holland pour ce deuxième épisode de la saga Chucky, John Lafia, scénariste sur "Jeu d'enfant" passant derrière la caméra avec toujours Don Mancini le créateur du personnage à ses côtés pour l'écriture. Les deux compères restent complètement fidèles à l'esprit du film initial qui fit leur succès mais tenant compte du phénomène Freddy qui en est déjà à son troisième épisode, ils décident de miser davantage sur les facéties de Chucky qui s'il a la taille d'une poupée n'en manque pas moins d'énergie et de ressources diaboliques. Cherchant toujours à habiter un autre corps, le terrible étrangleur poursuit le jeune Andy Barclay (Alex Vincent) qu'il avait martyrisé et terrorisé ainsi que sa mère dans le premier épisode. C'est cette fois-ci une famille d'accueil (sa mère est en soins psychiatriques) qui va faire les frais des retrouvailles. Bien sûr une fois de plus, personne ne peut croire qu'une poupée en celluloïd puisse être autonome et criminelle. Le combat s'engage donc seul pour le petit garçon qui finira par trouver une alliée avec Kyle (Christine Elise) une adolescente placée dans la même famille. Le scénario ne sort pas des bornes narratives définies dans "Jeu d'enfant" mais les interventions de Chucky plus fréquentes et l'inventivité des scènes chocs font de ce second opus une réelle réussite, notamment la scène finale dans l'usine de fabrication des poupées "Brave Gars" tout à fait jouissive.
Deux ans après un premier film qui trouvait le succès, la poupée la plus sadique du cinéma d'horreur est de retour ! Traumatisé par les événements du premier opus, pris pour fou, le jeune Andy se voit placé dans une famille d'accueil tandis que sa mère est en hôpital psychiatrique. Mais toujours animé par l'âme de Charles Lee Ray et remis à neuf, Chucky décide de retrouver Andy et de mettre à exécution son plan diabolique. Les bases de la saga étant posée, cette suite se montre plus convaincante que son aînée. Elle fait montre d'un certain sadisme tout en ayant la bonne idée de nous montrer les conséquences sur Andy de sa première rencontre avec Chucky. Bien que classique dans sa construction, "La poupée de sang" se montre donc plus inventive, plus réussie et un brin plus dense, conservant une part d'humour noir particulièrement féroce. On retiendra surtout la réussite du climax du film, véritable morceau de bravoure bourré de surprises.
Un cran au dessous que le premier opus, c'est dommage, mais bon film quand même. On retrouve le petit Andy qui a grandi avec sa nouvelle famille d'accueil. Le scénario se tient dans la maison de la famille pour se finir dans l'usine de fabrication des poupées.
Retour de la poupée tueuse pour notre plus grand plaisir dans une suite inégale mais divertissante. Le scénario ne brille pas par son originalité et se contente d’une intrigue prétexte à la réinsertion de Chucky dans un foyer à décimer ; la relation qui s’établit entre les deux jeunes accueillis – Andy et Kyle, très bien interprétés au passage – est touchante et réagit parfaitement avec cette poupée, symbole de mort malgré ses apparences enfantines, pour ces orphelins en quête d’une famille à aimer et avec laquelle se construire. Aucune vraie surprise ne vient ponctuer le visionnage qui, sans pour autant s’avérer déplaisant, peut parfois frôler l’ennui. Il n’empêche que le film se rattrape dans un final réjouissant à la violence aussi perverse que jubilatoire. Un deuxième volet correct mais qui ne marquera pas les esprits.
Chucky est de retour, et part à la recherche d'Andy, son précédent propriétaire, pour posséder son corps. Cette suite joue le même air que son prédécesseur : Chucky commet des méfaits (souvent sanglants !), et comme personne ne gobe qu'une poupée peut tuer, le jeune Andy en fait les frais. Peu d'originalité donc, mais le film est court, et se laisse suivre. Si la mise en scène demeure basique, la prestation vocale de Brad Dourif est amusante, et les tueries comportent une touche appréciable d'humour noir. Par ailleurs, la présence de Christine Elise en grande sœur rebelle apporte un plus à l'intrigue.
mouvement de chuckie irrégullier (un coup bien fait un coup mal fait) . Un supebe travail de Alex Vincent et de Guerrit Graham. à noté un modificateur de voix utilisée sur Brad dourif ,qui assure quand même!