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Un visiteur
4,0
Publiée le 27 avril 2007
Un trou paumé et on sattache à quelques habitants, à leur quotidien, pauvre et triste, à leur bataille pour gagner quelques dollars, en moyenne deux jobs pour tout le monde et de lentraide pour sen sortir, jusquau jour où tout bascule pour chavirer et sortir les personnages de leur routine. La grande réussite tient dans ce grain de sable qui fait tout dérailler. Court, percutant, efficace, impeccable quant à la mise en scène, les acteurs Juste sur toute la ligne. Sinon, pas drôle cest sûr et un peu déprimant de voir ce quotidien pathétique (mais cest la vraie vie, oui je sais, cest ça le pire). Nécessaire ?
Premier film d'une série de 6, Soderbergh n'en finit pas de surprendre son public ! Exit le clinquant et la classe de ses films hollywoodiens (Ocean 11 & 12) il signe là interssant à bien des égards. La solitude, le mal être, bref la vie de "petites gens" dans un coin paumé des E.U. Ennuyeux ? Pas vraiment car le real a en plus la bonne idée de faire court (1h09) et d'y coller un polar en plus d'un constat assez déprimant sur une catégorie de gens dont on ne parle pas ou peu. Les acteurs jouent juste (même si le jeune est un peu à baffer tellement il est mou) parce que tout ceci fait très peu fiction. On dirait un ait divers comme on en lit dans les journaux ou voit à la télé. A voir donc.
Ca y est ,ils ont osés : adapté l'inspecteur Derrick au cinema mais je comprends pas pourquoi il ont pas gardé le titre original sans doute un probleme de copyright ; ah y a aussi un souci avec le type qui jour Derrick ,il lui ressemble pas du tout mais bon pas grave l'important est que l'on retrouve le rythme trepidant de la serie et des dialogues toujours aussi percutant du genre : t'aurais pas vu mon briquet? Non sans blague Monsieur Soderbergh,c'est franchement pas la peine de gaspiller votre argent (et notre temps par la meme occasion) pour nous pondre une enquete policiere tellement soporiphique qu'elle devrait etre remboursé par la secu ou bien alors vous avez cherché a adapter le rythme de l'enquete a celui de cette petite ville US dont le taux de suicide doit etre un des + elevés au monde.Les comediens (tous amateurs) ont bien du merite a jouer des personnages si insignifiant au milieu de ce doc sur la vie d'usine.
Film sans prétention, réalisé en partie par des amateurs et qui s'articule sur 3 acteurs, quelques molesses et une amplitude plate. Le suspens est cependant présent jusqu'au terme, où l'on espère, hélas, en vain, un rebondissement qui aurait fait l'effet d'un trait de génie...
70 minutes terne sans prétention. Juste moyen, pouvait mieux faire ...
Un exercice intéressant de la part de Soderbergh, probablement lassé de faire des grosses productions insipides comme les Ocean's... L'histoire est assez classique, mais on la suit tranquillement jusqu'au dénouement final. Les acteurs, inconnus, sont tous excellents. "Bubble" reste malgré tout un film mineur.
Une expérience étrange et fascinante, un brillant exercice de style : Soderbergh dépeint dans ce film atypique et inhabituel (et plutot trivial) la monotomie d'un groupe de gens, qu'il accentue avec un rythme lent. Soderbergh prouve qu'il excelle autant dans ce genre de film indépendant que dans les blockbusters.
Une expérience cinématographique fort intrigante grâce à limmense talent de Steven Soderbergh. A travers une mise en images très lente et une direction dacteurs impressionnante, Bubble envoûte le spectateur de la première à la dernière seconde, notamment grâce à des dialogues ciselés et à un déroulement plutôt bien foutu se permettant même quelques intrusions fantastiques. Une très bonne surprise !
heureusement cela ne dure que 71 minutes... démarrage pénible, montage pénible, dialogues pénibles... ou est donc passé le soderbergh de Traffic ? à oublier très vite, une étoile pour son oeuvre.
Un film qu'on pourrait qualifier de "moue" une histoire très lente, et les trois acteurs principaux sont 2 de tensions. Un film vraiment sans intéret...
merci pour ce moment de rigolade tellement les dialogues sont risibles. attendre 1h10 pour voir une poupéee assemblée ! quel supsense!, dialogues hors du commun "elle a été assassinée. réponse : ha ?". fabuleuse bande sonore à la guitare. film nul à ne pas regarder entre amis...déps ressifs s'abstenir....
Si lon pense très vite à "Lonesome Jim" de Steve Buscemi, dans la manière de monter les américains dans leur misère (précarité dans le travail, pas de sécu, vie dans des mobile-home ), le film prend une autre direction après le meurtre et offre ce que le cinéma indé sait faire de mieux : un film ramassé, âpre, concis, à hauteur dhomme et foncièrement passionnant.
Il doit surement s'agir d'une blague?!! J'ai rarement eu l'occasion de voir un film aussi mauvais, aussi lent, avec des plans interminables qui ne servent à rien... Il ne se passe rien (ou comment tenir 1h15 avec 2minutes d'histoire), les personnages n'ont aucun relief (ils ont tous le même rôle), les acteurs sont inexpressifs. Je le classe sur le podium des plus belles daubes que j'ai vues (et pourtant j'en ai vu des croûtes!). C'est le genre de film gauche-caviar et pseudo intello pour lesquels "on" s'efforce de trouve une signification philosophique. PS: N'empêche que je n'en reviens pas de ces critiques dithyrambiques!
j'ai rarement vu un film aussi plat ! ah ! parce que c'est du Soderbergh ca doit forcément plaire ? mais arrétez donc ! ce film n'a pour moi aucun intéret ! autant regarder une vache se faire traire !
des acteurs vraiment amateur une histoire vraiment abracadabra
voulant se prendre au serieu, mais au final il n'en sort qu'une seule chose :
Tout paraît faussement froid comme les poupées de celluloïd fabriquées dans l'usine où travail le personnage joué par Dustin Ashley, lequel est curieusement maquillé avec du rose aux joues, et avec sa coiffure et sa démarche, il ressemble un peu lui-même à une poupée ou plutôt renvoie le côté féminin de sa personnalité masculine, soit réel soit pour la mise en scène. Sa collègue de travail, qui semble être attiré par la belle gueule de "poupée" du jeune homme, recherche sa compagnie exclusive, et c'est bien là la source des complications qui vont arriver. Malgré tout cet aspect froid des poupées sans vie car encore en usine et non vendues à des futures petites clientes, ce drame humain dégage une grande émotion, renforcé par la mise en scène du réalisateur : Steven Soderbergh. Bravo pour ce bon film, et bravo pour l'excellente bande sonore, qui enfin, n'est pas en pléonasme par rapport à l'image ; croyez-moi, c'est assez rare, surtout dans le cinéma américain.