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Votre avis sur La Délicatesse ?
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La Délicatesse : Une comédie romantique/dramatique qui au départ on a du mal a accroché car c’est on dirait que c’est fade, sans vie, il y a pas d’émotion et on dirait que c’est sur la retenu, on a du mal a si faire et a ressentir les émotions des personnages. Bon, plus on avance dans le film, plus ça devint intéressant, surtout la partie entre Audrey Tautou et François Damiens qui est assez original et surprenant mais c’est le but, c’est le thème et je trouve ça ben et intéressant. Mais au début, j’ai trouvé long a démarré et puis, cette fameuse premier partie, qui devrait être riche en émotion, bah rien du tout et ça a cause d’une réalisation fade et un montage des plus mal foutu, car on passe plusieurs années a une seconde, en un plan et je trouve que ça ressort rien niveau émotion et ressenti pour le spectateur. Bon, je vous apprends rien, au début, l’héroïne perd son mari qui c’est fait fauché par une voiture, et pas rien, rien du tout, même leur petit histoire qui est pourtant toute mignonne, ça dégage aucune chaleur : quelle dommage. Bon après, voila la deuxième partie qui est bien meilleur, avec une histoire romantique qui change des sentiers battues, c’est simple, subtile et assez juste et authentique et assez fou fou en même temps car le duo est assez inhabituel et même l’entourage des personnages le voit et c’est ça la bonne critique du film. Car, l’héroïne est celle que tout le monde apprécie, elle est belle, travaille responsable… alors que lui, c’est le timide, discret, que on ne remarque pas, pas très beau (pour le film car je n’oserai pas dire que il est moche dans le film, mais c’est la vision du film) mais voila, ce le couple ou tout le monde hallucine car ils ne vont pas ensemble et pourtant… Donc voila, chose intéressante dans ce film, des fois mal montré et c’est dommage. Sinon, les acteurs sont très bien : Audrey Tautou est juste et François Damiens est surprenant et authentique, ça fait plaisir de le voir dans un autre registre. Donc voila, dommage car il y avait du potentiel qui est plus ou moins exploité mais la direction d’acteur/personnage, la réalisation… fait que mais en général, on sent les qualités du film.
benoitG80
"La délicatesse" repose sur un duo d'acteurs qui nous ravit crescendo !!! Avec un début un peu mou et convenu, le film prend un départ sur les chapeaux de roue avec l'arrivée de François Damiens qui réveille ainsi complètement Audrey Tautou !
À partir de là, l'histoire oscille agréablement entre humour, légèreté et gravité ! La complexité des rapports humains est très drôle tout en étant très bien dépeinte et se révèle pleine d'enseignements !
François Damiens en être délicat, sensible, est excellent comme souvent... Quant à Audrey Tautou, elle est bien en accord et se trouve ainsi très
à l'aise dans son rôle !
On ressort de la salle le soutire aux lèvres avec la tête pleine de sensations...
À partir de là, l'histoire oscille agréablement entre humour, légèreté et gravité ! La complexité des rapports humains est très drôle tout en étant très bien dépeinte et se révèle pleine d'enseignements !
François Damiens en être délicat, sensible, est excellent comme souvent... Quant à Audrey Tautou, elle est bien en accord et se trouve ainsi très
à l'aise dans son rôle !
On ressort de la salle le soutire aux lèvres avec la tête pleine de sensations...
il faut savoir que pour ce joli film en conte de Noël David Foenkinos a adaptè lui-même son roman èponyme et l'a rèalisè avec son frangin Stèphane Foenkinos! De plus "La dèlicatesse" est un tout premier long-mètrage qui ne dècevra pas les inconditionnels de ce best-seller qui retrouveront sur grand ècran son ton pudique, sensible, fin! Difficile d'imaginer une autre comèdienne qu'Audrey Tautou pour incarner Nathalie, cette jeune femme à qui tout sourit, jusqu'à la disparition brutale de l'homme qu'elle aime (sèduisant Pio Marmai). Elle va alors s'investir dans son boulot et mettre sa vie en parenthèse jusqu'au jour où elle embrasse l'atypique Markus (François Damiens), un collègue, dans une sèquence surrèaliste! Ce couple improbable va même susciter une certaine agressivitè au sein de son entreprise! Audrey Tautou apporte donc toute sa grâce, sa justesse, sa fantaisie et aussi sa force à ce personnage! Le duo peut surprendre mais il est ètonnant avec un François Damiens, touchant dans un rôle à contre-emploi! Renaître à la vie est possible, "La dèlicatesse" nous le fait savoir! Et puis surtout Audrey Tautou a une classe folle dans une galerie d'habits haut en couleurs! Un dèluge d’èlègance en somme...
un joli film tout en poésie et délicatesse comme l'actrice, qui reste cantonnée à ce genre de rôle depuis amélie poulain.
En fait cela lui va comme un gant
belle découverte de françois damiens qui montre qui sait faire autre chose que le comique et cela lui va bien
un duo qui fonctionne bien finalement
En fait cela lui va comme un gant
belle découverte de françois damiens qui montre qui sait faire autre chose que le comique et cela lui va bien
un duo qui fonctionne bien finalement
A l'image de son titre, une histoire toute en velours, portée par l'image de la douceur incarnée; Audrey Tautou. Un film d'amour simple, trop simple peut être d'ailleurs pour intéresser au delà des intéressé du genre, mais juste et touchant.
Un conseil : Davis Foenkinos doit s’en tenir à la plume, qu’il a fort talentueuse, et oublier la caméra. Voilà l’exemple de la mauvaise adaptation d’un roman… et, le plus curieux, par l’écrivain lui-même ! Qui, aidé de son frère, transforme un livre léger, habile, drôle et émouvant, en feuilleton ringard, fade et balourd. C’est nian-nian, benêt, ennuyeux. On ne croit pas une minute à l’histoire, elle ne suscite ni émotion ni sourire, elle est mal interprétée — surtout par Audrey Tautou, actrice surfaite — par tous sauf François Damiens qui écope comme un malheureux en plein naufrage. Oubliez vite cette pochade et courez acheter le livre !
Très agréable surprise que cette comédie romantique bien écrite et bien jouée, Damiens et Tautou sont parfait. Certes la mise en scène est classique, mais l'amour après la mort est magnifiquement abordée.
Alain D.
Écrite, adaptée, scénarisée, et réalisée par les frères Foenkinos, cette comédie romantique au ton léger nous conte une histoire emplie de poésie, avec quelques brides d'humour et un joli brin de fantaisie. Ce premier long métrage des frères réalisateurs est une réussite ; la mise en scène est efficace, bien secondée par une délectable BO d'Émilie Simon ; elle comble parfaitement les scènes sans dialogues. Audrey Tautou est parfaite dans un rôle à multiple facettes. A l'affiche également, François Damiens se révèle, lui aussi, très bon dans le rôle de la délicatesse. Remarquées pour les seconds rôles : Audrey Fleurot, que l'on voit trop peu, et Joséphine de Meaux excellente dans le rôle de Sophie, l'amie de Nathalie.
Un peu longuet, quelques stéréotypes mais un sujet sur le deuil bien abordé. Les acteurs sont très bons. Audrey Tautou m'agace parfois un peu mais a un certain charme. François Damiens a l'allure ingrate et hilarante est touchant et drôle. L'histoire est assez classique dans le sens où, comme beaucoup de films et de romans, les deux opposer s'attirent. Ce film a comme sujet de base la reconstruction d'une femme veuve qui ne sait pas si elle a le droit d'aimer à nouveau. On passe un bon moment.
Si vous avez aimé le livre, passez votre chemin et si vous ne l avez pas lu économisez le prix de la séance pour vous l offrir. On a rarement fait film aussi mauvais. Tout sonne faux, des personnages à l histoire Qu ils racontent. Tautou incarne Nathalie comme elle fait la pub pour Chanel, insipide et sans saveur.
Très beau film, très agréable, d'excellents acteurs. A voir !!
certainement l'un des films les plus ennuyeux qui soit tout est prévisible à éviter .
Ennuyeux, lent, mièvre, plein de maladresses. Film sans grand intérêt plat, morne, bref je ne trouve plus d'adjectifs.
Rien, pas une étincelle, c'est finalement pesant.
Rien, pas une étincelle, c'est finalement pesant.
La délicatesse s’inscrit dans la mode des films d’écrvains. Un bouquin dans l’air du temps, qui parle de préférence d’amour et qui va jouer la carte de l’identification. Deux acteurs connus, un contre-emploi si possible, on met une caméra entre les mains de l’écrivain en question, et on roule, avec l’espoir de faire de concurrence en cette période de fêtes pour ceux qui ne veulent pas donner dans le grand spectacle yankee.
Mais le principal problème du film, c’est que les réalisateurs chaussent des sabots de plusieurs tonnes chacun pour poser leur cadre, puis développer leurs situations. On veut intégrer de fantaisie en rendant l’entreprise suédoise ? C’est en utilisant chaque cliché possible sur le pays, d’Ikea à Bergman jusqu’à une assiette de Krisprolls posée sur le bureau. (mouarf, mouarf). On veut faire comprendre au spectateur que le personnage de François Damiens n’est pas au top de son sex appeal ? On l’habille comme un plouc et on le fait habiter en banlieue (la honte, il prend même le RER). On veut se donner un air poétique ? On alourdit correctement l’ensemble avec des citations pseudo-poétiques, brouillons rejetées d’Amélie Poulain (« il fait disparaître les jeudis. Le bonheur, c’est quand les jeudis n’existent pas »)
L’ensemble du film va ainsi , en chargeant considérablement une barque qui coule régulièrement sous le poids des clichés et de la maladresse de ses auteurs. Mais cela, c’est après l’introduction du fil qui dure déjà une très grosse demi-heure. C’est à la fois long et expédié. Long pour ouvrir sur le vrai film car quiconque a vu la bande annonce attend avec impatience que la parfait mari se prenne une voiture au coin de la rue pour que l’on puisse passer à autre chose. Expédié parce qu’on sent bien que les auteurs mêmes ne prennent pas le temps d’aller au-delà de l’icône de l’amour fou pour pouvoir enfin faire passer François Damiens devant la caméra. Cela rajoute à l’inconsistance d’un film mal fichu qui ne doit au final de n’être regardable qu’au talent de ses interprètes principaux, les seuls à dégager un tant soit peu de délicatesse dans ce très désagréable produit packagé.
Un produit qui nous rappelle que la mort, c’est dur, surtout pour les autres. Que chez mamie à la campagne, on est quand même mieux qu’en ville avec des ses potes. Que ce n’est pas une bonne idée de se laisser draguer par son patron vieux-beau. Qu’en Suède, il fait froid et qu’ils mangent des biscottes. Et que quand même, la vraie beauté est intérieure. Ouf. Si vous savez déjà tout ça, ne prenez pas la peine de vous déplacer et allez voir Hugo Cabret ou Mission Impossible.
http://dh84.over-blog.com/
Mais le principal problème du film, c’est que les réalisateurs chaussent des sabots de plusieurs tonnes chacun pour poser leur cadre, puis développer leurs situations. On veut intégrer de fantaisie en rendant l’entreprise suédoise ? C’est en utilisant chaque cliché possible sur le pays, d’Ikea à Bergman jusqu’à une assiette de Krisprolls posée sur le bureau. (mouarf, mouarf). On veut faire comprendre au spectateur que le personnage de François Damiens n’est pas au top de son sex appeal ? On l’habille comme un plouc et on le fait habiter en banlieue (la honte, il prend même le RER). On veut se donner un air poétique ? On alourdit correctement l’ensemble avec des citations pseudo-poétiques, brouillons rejetées d’Amélie Poulain (« il fait disparaître les jeudis. Le bonheur, c’est quand les jeudis n’existent pas »)
L’ensemble du film va ainsi , en chargeant considérablement une barque qui coule régulièrement sous le poids des clichés et de la maladresse de ses auteurs. Mais cela, c’est après l’introduction du fil qui dure déjà une très grosse demi-heure. C’est à la fois long et expédié. Long pour ouvrir sur le vrai film car quiconque a vu la bande annonce attend avec impatience que la parfait mari se prenne une voiture au coin de la rue pour que l’on puisse passer à autre chose. Expédié parce qu’on sent bien que les auteurs mêmes ne prennent pas le temps d’aller au-delà de l’icône de l’amour fou pour pouvoir enfin faire passer François Damiens devant la caméra. Cela rajoute à l’inconsistance d’un film mal fichu qui ne doit au final de n’être regardable qu’au talent de ses interprètes principaux, les seuls à dégager un tant soit peu de délicatesse dans ce très désagréable produit packagé.
Un produit qui nous rappelle que la mort, c’est dur, surtout pour les autres. Que chez mamie à la campagne, on est quand même mieux qu’en ville avec des ses potes. Que ce n’est pas une bonne idée de se laisser draguer par son patron vieux-beau. Qu’en Suède, il fait froid et qu’ils mangent des biscottes. Et que quand même, la vraie beauté est intérieure. Ouf. Si vous savez déjà tout ça, ne prenez pas la peine de vous déplacer et allez voir Hugo Cabret ou Mission Impossible.
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defleppard
Une jeune cadre parisienne tombe amoureuse d'un de ses subordonnés. Réalisation qui se veut rafraichissante mais qui fait pchittt!!!!!!!! au final . J'ai arrêté avant la fin. Décevant. 1 étoile.
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