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    Mon curé chez les nudistes
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    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 646 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juin 2013
    On approche joyeusement du degré zéro de la comédie, en concurrence avec les films de Max Pécas. En prince du nanar à la française, Paul Préboist brille de mille feux. Il faut le voir imiter le lion, le caméléon, le poisson et la mouche (deux fois dans le film !), coiffer une perruque blonde ou enfiler une salopette rose. Et surtout, il faut l'entendre déclamer son texte comme on lirait une liste de commissions. Seul le spectacle de sa nudité nous est épargné. Pourtant, le nudisme est bien le sujet principal du film. Des seins et des culs nus, on en voit défiler une légion. Les seins de Katia Tchenko sont d'ailleurs loin d'être laids... On se délecte également de la subtilité de certains jeux de mots, du style "culte des seins / culte des saints". Même raffinement pour les gags, qui sont d'une remarquable constance dans la bêtise. Côté personnages, on soulignera la présence d'un Noir surnommé "Banania" et d'un coiffeur très "folle". Sans oublier l'évêque joué par Georges Descrières (Arsène Lupin), magnifique de grandiloquence et de ridicule. Il réussit à caser dans ses dialogues deux répliques cultes sous forme de clins d'oeil discrets : "Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre ?" et "Atmosphère, atmosphère, est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?". Les admirateurs des films de Marcel Carné (Drôle de drame, Hôtel du Nord) apprécieront...
    Robert Thomas, le réalisateur, a commis un an plus tard Mon curé chez les Thaïlandaises. Plus surprenant, il est aussi l'auteur de la pièce Huit Femmes, adaptée au cinéma par François Ozon.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juillet 2012
    "Mon curè chez les nudistes" est le symbole du nanar à la française, une comèdie indigeste et lourde de la première à la dernière minute! D'une affligeante vulgaritè, il faut avouer que l'ensemble est catastrophique nous donnant un vèritable concours de cabotinage! Ce n'est pas la prèsence de Paul Prèboist, Georges Descrière et la nuditè de Katia Tchenko qui a pu amèliorer ce film franchouillard ou seuls quelques gags surnagent dans un ocèan de mèdiocritè (la soirèe costumèe au camp de naturistes dèpasse vraiment tout). Notons - et là on se demande pourquoi - qu'une suite a ètè mis en chantier l'annèe suivante s'intitulant "Mon curè chez les thaïlandaises" sans le père Daniel (ouf!) et rèalisè toujours par Robert Thomas! Un navet destinè aux inconditionnels du "Nanarland"...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 novembre 2013
    Comment apprécier une bouse pareille ? Ce n'est même pas un nanard sympa et drôle à regarder avec des potes, c'est une aberration. On ne peux tomber plus bas. Ça pue l'amateurisme et même pire que ça : l’incompétence. Il n'y a rien dans ce film, même pas un petit bout d'histoire, d'humour ou de réflexion. Une des pires daubes qui existe. A éviter.
    Estonius
    Estonius

    3 470 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2016
    C'est un nanar qui s'assume en tant que tel, alors bien sûr c'est souvent très lourd, mais ça se regarde jusqu'au bout sans déplaisir. C'est franchouillard et godriolesque, ça ne vole pas bien haut, c'est assez inégal, un peu poussif au début et expédié en vitesse à la fin, mais on prend plaisir aux absurdités de Présboist, quant aux charmes de Katia Tchenko et de la très belle Sophie Boudet alias Miquette, ils nous ravissent bel et bien et que ceux qui préfèrent la "Soupe à choux" viennent nous expliquer pourquoi ? Assez curieusement, la fausse suite réalisée l'année suivante, "Mon curé chez les thaïlandaises" sera plus intéressante grâce à un scénario moins simpliste.
    ElAurens
    ElAurens

    82 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juillet 2010
    Cette fois on ne frise pas, on atteint le niveau zéro à son paroxysme. Tout est nullissime du scénario aux acteurs. En fait, je rigole en repensant au film tellement le réalisateur a réussi une daube. On est bien plus loin que le simple navet, on atteint le summum du ridicule. P I T O Y A B L E
    rogertg2
    rogertg2

    31 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mars 2008
    Le navet intégral, uniquement destiné aux adolescents boutonneux car, à part nous montrer des seins et des fesses du début à la fin, il n'y a rien. D'ailleurs, les soi-disant nudistes ne sont jamais nus et ont toujours, hommes comme femmes, quelque chose pour masquer leur sexe. Quant aux soi-disants gags, quel niveau !!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 avril 2007
    Mais quel bon film franchouillard que voilà !!!
    Paul Préboist est complètement sous acides et le film nous offre des séquences incroyables en total free-style.
    4 étoiles pour ce chef d'oeuvre du nanard français bien gras !
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 441 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2015
    Cela faisait longtemps que je voulais voir cette comédie, largement décriée à l’instar des Tropez Comedy de Pécas. Finalement, habitué des comédies franchouillardes, celle-ci est loin d’être aussi terrible qu’attendue, et s’avère certes d’une balourdise certaine, mais naïve et légère, comme il faut.
    Le casting est plutôt consistant. A côté de bons seconds rôles, parmi lesquels un Georges Descrières qui prend un plaisir évident à campé son évêque de pacotille, on trouve en tête d’affiche Paul Préboist. Sorte de Louis de Funès endormi, c’est un acteur capable de bonnes choses parfois, et même s’il traverse le film avec une certaine paresse, sa présence reste sympathique, et le décalage avec les autres interprètes a un côté amusant. Après il est clair qu’il se fait souvent piquer la vedette par des comparses parfois survoltés. A noter la présence de charmantes actrices aussi, plutôt bien choisies, parmi lesquels Katia Tchenko.
    Le scénario est en réalité prétexte à des gags plus ou moins subtils et heureux. C’est clair que ça ne vole pas haut, on ressort les bonnes caricatures, et ça roule. Franchement on peut craindre le pire, mais l’ensemble est tellement naïf, innocent, crétin parfois, que s’en est bien sympathique. Il y a trois types de comédies franchouillardes : les réussites, et Michel Lang en est le maitre, les ratages foireux et ignoblement pas drôles, et puis les maladroites, généreuses, mais boiteuse. Et ce film appartient à cette catégorie. Il y a de l’entrain, on ne s’ennuie pas une seconde, et même si c’est très bête, c’est touchant.
    Visuellement rien de bien miraculeux comme on pouvait s’en douter, mais il est clair que ce n’est pas vraiment une gêne. Reste une mise en scène assez pêchue qui donne du rythme au métrage à défaut d’être très habile, et des décors et une photographie « alimentaire » mais convenables. Petite déception en fait sur une bande son trop tiède pour ce genre de film où l’on attend forcément du son des années 80 emballant.
    En conclusion je dirai que Mon curé chez les nudistes est une comédie bête et naïve, mais pas méchante pour un sou, et qui se montre généreuse. Bien sur ce n’est pas du grand cinéma, mais je dirai que dans son genre, qui reste celui des comédies vacancières populaires, c’est un petit divertissement sans prétention, pas vulgaire, au charme désuet. 3.
    Bardon de Kater
    Bardon de Kater

    14 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2014
    5 étoiles pour les lolos de Katia Tchenko, 0,5 pour le film : Moyenne : 3
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    210 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2010
    Je vais surement passer pour le dernier des couillons, mais j'ai trouvé ce film sympa ! Bien sur, cinématographiquement parlant c'est un désastre total, mais c'est un excellent moment a passer, car c'est si mauvais qu'on en rit ... un vrai bon nanar, considéré comme l'un des plus gros ratages de l'histoire du cinéma français (sachons qu'a l'époque Camping 2 était pas encore sorti...), mais avec le temps on fini par trouver ca drôle ... En fait c'est tellement pas drôle que ca fait rire, parce que en toute franchise, c'est tres tres rare de voir des vannes aussi pourries... on se demande même si on doit se moquer ou donner un coup de bâton sur son écran tellement c'est ridicule ... moi j'ai préféré rigoler, parce que bon, j'ai pas que ca a faire que de racheter un écran voyez-vous. Et les acteurs offrent des performances épiques... et même plus que ca... je sais pas si c'est a cause de leur salaire, ou du fait de se trouver nu devant une caméra, mais on a jamais vu des gens aussi peu convaincants... Admettons que Paul Préboist s'en sort pas trop mal, mais sans être exceptionnel. Bref un film absolument magique qu'il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie, ou pas ... Ah, et j'oubliais, la scene où Jesus (en personne) apparait durant le sommeil du prêtre est mythique !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 décembre 2009
    Grand classique du navet français par excellence, typique d'une vision cinématographique aussi minable qu'archaïque : oui, nous parlons bel et bien de Mon curé chez les nudistes, la bêtise à l'état pur, la nullité à son sommet. Premièrement, pour composer cette apogée de la débilité humaine, rien ne vaut un scénario digne de ce nom, à savoir tout ce qu'il y a de plus mauvais, pour ne pas dire exécrable. Daniel, un curé de village dans une vision de la France la plus reculée de tous les clichés envisageables, est envoyé par son évêque; ce dernier est un "épicurien" sans scrupule, l'incarnation de l'homme d'Église qui utilise la religion pour son bien être personnel. On pourrait en rire tellement la caricature est outrancière; mais non. Le but de cette mission théologique ? Convertir des nudistes. Vous pouvez cette fois en rire, on en conviendra; l'imagination d'un enfant de cinq ans inventerait une synopsis encore mieux que celle-là. Mais le pire est dans la suite. En fait, le film étant réalisé en 1982, les moeurs sur le sexe évaporés ou presque, on se rend compte que ce nudisme là est d'une hypocrisie absolue. Jamais, au grand jamais, vous ne verrez un corps entièrement nu; des feuilles, des objets ou des vêtements cacheront intégralement les deux sexes opposés, surtout celui de l'homme, un peu comme le Gendarme de Saint-Tropez qui date déjà de vingt ans quand le long-métrage est produit. Cette facette dérangeante pourrait même nous faire croire que la réalisation a été soumise à des contraintes éthiques, ce qui est le cas, alors que le sujet porte naturellement à être irrévérencieux. De nos jours, une publicité pour un gel douche passerait pour érotique. Cet aspect pudique, indirectement moraliste, est la personnification du prétentieux qui se dégonfle à la première difficulté venue; la honte, surtout pour l'incapacité à tous les comédiens de se déshabiller entièrement. Paul préboist fait pitié tant son rôle est misérable. Une chose lamentable et calamiteuse.
    Victor G
    Victor G

    8 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2012
    Je vais peut-être passé pour un fou, mais j'ai bien aimé ce film, une comédie légère mais sympathique et agréable à regarder. On passe un bon petit moment devant ce film, bien divertissant. Je mettrais à ce film un 14,5/20.
    rlmtruffo
    rlmtruffo

    4 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Hmmm, hmmm, hmmm. J'ai enfin pu tomber dessus (merci la TNT !)...et bien l'on ne m'avait pas menti. Regarder ce film jusqu'au bout est une épreuve à la fois physique et mentale. Il serait judicieux d'informer le Comité Olympique international que ce film pourrait devenir une compétition à part entière ! Cela fait partie de l'élite du nanar franchouillard, donc assurément culte. Si vous avez l'occasion de voir la bande-annonce, foncez. Mais menottez-vous au fauteuil pour le reste...
    titicaca120
    titicaca120

    390 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 août 2010
    2 étoiles pour l'oie georgette qui nous a fait beaucoup rire,sinon c'est le néant complet.
    Plume231
    Plume231

    3 932 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juillet 2012
    Parfois le cinéphile pour donner un peu de piquant à sa vie de cinéphile est obligé de recourir aux extrêmes. Bien sûr en fréquentant assidûment les hautes cimes de chefs d'oeuvre et des grands films mais quelques fois aussi en allant dans l'excès inverse c'est-à-dire en touchant le fond du fond du fond. Et "Mon Curé chez les nudistes", qui rien que par son titre fait mouiller d'envie les slips ou caleçons des amateurs du nanar dont il est incontestablement le film de ce genre le plus célèbre, le plus légendaire, répond parfaitement à ce besoin. Evidemment le risque en voulant toucher le fond du fond du fond en redoutable kamikaze que le cinéphile des temps modernes est c'est d'y rester mais comme le dit un grand philosophe allemand "Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort." donc le cinéphile féroce et courageux a le devoir de prendre ce risque insensé. Est-ce la peine de s'étendre sur ce film d'une médiocrité abyssale sur tous les aspects de sa mise en scène (je suis pleinement conscient qu'employer le terme de "mise en scène" ici est d'une grande indécence !!!) ??? Non, mais je ne résiste pas au plaisir de vous donner un exemple de dialogue très représentatif de l'ensemble et de sa subtilité : "Mais… En quoi es-tu déguisé, Banania ?" "Ben, en nègre, patron ! Mouahaha !" (mouarf, mouarf, mouarf... je n'ai pas autant ri depuis que je me suis pris un linteau de pierre bien moyenâgeuse en pleine tronche !!!) ou encore de vous parler de la scène où notre cher Père Daniel essaye de communiquer avec Jésus par l'intermédiaire d'un paquet de lessive Saint-Marc (ben oui, Saint-Marc parce que la marque est aussi un nom de saint... non laissez tomber...!!!) ; et que dire de l'interprétation avec une mention toute particulière pour celle de Georges Descrières (pourtant très convaincant Arsène Lupin pour la télé, c'est regrettable de le voir tomber aussi bas !!!) qui cabotine tellement à mort, un véritable festival, dans le rôle de Monseigneur qu'on croirait qu'il a sifflé tout le vin de messe... Et en plus circonstance aggravante, le réalisateur n'a même pas les couilles, euh n'a même pas le courage, d'affronter son sujet en ne montrant jamais une nudité intégrale. Pas la peine de s'étendre plus. Et si le cinéphile se doit de prendre le risque insensé de regarder ce genre d'horreur c'est avant tout pour éviter que le spectateur lambda ne fasse pareil, pour éviter qu'il soit aussi con, le prévenir du danger de toute tentative qu'une vision peut engendrer est son devoir. Tout au plus peut-il recommander de regarder n'importe quelles trente secondes de l'ensemble s'il veut vraiment voir par soi-même, attention pas plus sous peine de détériorer sérieusement sa santé mentale, et s'il veut vraiment se marrer de ce film de lire l'excellent article sur l'excellent site Nanarland qui compte dans ses rangs les cinéphiles les valeureux et kamikazes de tous les temps.
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