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White Fingers
15 abonnés
1 237 critiques
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4,5
Publiée le 5 mai 2024
Ce film est un véritable trésor du cinéma français des années 80, une pépite de comédie qui brille par son audace et son originalité. Suivant les mésaventures hilarantes d'un prêtre de campagne envoyé dans un camp de nudistes pour une mission ecclésiastique, le film se distingue par sa capacité à transformer ce qui pourrait être un simple divertissement en une exploration jubilatoire de la culture française d'antan, ce que nous appelons affectueusement « a vieille France ». Paul Préboist, avec sa performance exubérante et contagieuse, incarne à merveille son personnage, transmettant un enthousiasme qui fait vibrer toute la salle. Le reste de la distribution ne démérite pas, contribuant avec une énergie communicative à cette farce grandiose. Chaque scène, chaque réplique, même les plus absurdes, sont exécutées avec une telle conviction qu'elles en deviennent instantanément mémorables. Loin d'être un simple « nanar », ce film est une célébration du comique de situation, où chaque gag, aussi raté soit-il selon les standards traditionnels, trouve sa place dans ce tableau hilarant et décalé. La scène où Jésus s'adresse au prêtre en rêve est un moment d'anthologie, provoquant un rire libérateur qui résume à lui seul l'esprit du film : un joyeux chaos orchestré avec maîtrise. Avec plus d'un million de spectateurs conquis en France, ce film n'est pas seulement une réussite commerciale ; c'est un phénomène culturel, un joyau de l'art cinématographique qui prouve que l'humour, même le plus burlesque, peut être une forme d'art sophistiquée et profondément humaine. Voici donc une œuvre incontournable, un hymne à la joie et à la liberté d'expression qui continue de captiver et d'amuser, transcendant le temps et les générations.
Beaucoup de filles nues dans ce nanard français de la grande époque des années 80, sans aucun intérêt cinématographique ni réflexif, a part émoustiller les ados pré-pubères et encore, ils doivent pouvoir trouver mieux aujourd'hui.
Il y a une certaine fascination à regarder ce nanar-navet, qui atteint parfois des sommets jamais atteints dans la nullité et le néant cinématographique. Robert Thomas bat un record de six films, six navets intergalactiques. Non content de "réaliser", il s'inprovise scénariste et nous offre d'autres légumes genre l'insipide "Huit femmes" porté à l'écran. Il faut avoir vu Préboist prier Dieu par l’intermédiaire d’un paquet de lessive St Marc, pour comprendre le niveau atteint par ce monsieur. Il nous donne ici, ce qui peut être considéré comme l'un des films les plus NUL du cinéma français. 0 moins10 étoiles hélas impossible, seraient une juste note pour ce film !!!
Un film qui n'est même pas divertissant: une réalisation pitoyable, des gags vraiment nuls, des répliques pourrites et un Paul Preboist qui fait vraiment pitié. Je me demande pourquoi je prend la peine de faire une critique sur cette comédie grasse.....déplorable...
Alors là je déçois certains. Il ne s'agit pas là d'un nanar. Qu'est ce qu'un nanar ? Un film tellement nul qu'il en devient drôle. Mais là le film est un navet. Il n'est même pas drôle dans sa nullité. Le jeu d'acteur est soit impersonnel, soit ridicule, digne d'un téléfilm au budget au rabais. Si le film a essayé d'attirer certains avec la nudité pour habiller le film (trop drôle.), ça ne fonctionne même pas. Ce film est nul, une purge malaisante qui vous fera vomir vos yeux. C'est un film pitoyable, ridicule, au scénario complétement stupide et ridicule. A éviter à tout prix. Je crois que je ne suis jamais tombé sur un film comme ça. Triste...
"Mon curé chez les nudistes" ou "C'qui faut pas inventer pour mettre des Q à l'écran !"
Dans les 80's les images étaient plus libres et les scénarios plus light...
Cette comédie franchouillarde bien grasse a pour pitch de mettre en situation un puceau au milieu de l'île de la tentation... Mais manque de pot le seul acteur français qu'avait pas encore jeté sa gourme c'était Paul Préboist... Il y joue le rôle d'un curé qui doit évangéliser les profanes dans un camp de nudistes...(très mal à son habitude, mais vu son âge on lui pardonne de ne pas pouvoir se concentrer sur son texte et sur les intentions en même temps).
On remarquera également que Georges Descrières avait le même maître de comédie que Johnny Depp, il en fait des caisses. Enfin on regrettera que la mode du nudisme n'ait pas bien pris en France... Pour peu qu'on ne se retourne pas pour voir à quoi ressemble nos parents dans la tenue d'Eve, notre jeunesse de plagiste aurait sans doute été plus fun...
Du grand n'importe quoi ! Déjà, le point de départ: un brave curé de campagne (qui remplit son église tous les dimanches en imitant les animaux de l'arche de Noé, si si) est envoyé en mission pour évangéliser... un camp de nudistes. Alors là, déjà, fallait avoir fumé un truc pour trouver l'idée.
Avec un scénario aussi bien ficelé, il fallait une brochette d'acteurs à la hauteur. Paul Preboist nous confirme une fois de plus (voir aussi "Le facteur de St-Tropez" pour s'en convaincre) que, s'il peut être plus ou moins bon comme second rôle, il n'a absolument pas les épaules pour porter un film avec le rôle principal. Les autres acteurs sont tout aussi mauvais, à commencer par Marc de Jonge (vous savez, le colonel russe dans Rambo III) en caricature de l'homosexuel totalement allumé, au point de faire passer Michel Serrault pour un modèle de finesse. Les acteurs sont totalement livrés à eux mêmes et partent complètement en roue libre, et on se demande si le metteur en scène n'était pas en vacances au moment du tournage.
Les dialogues, n'en parlons pas, on touche le fond ("T'es déguisé en quoi Banania ? Ben en nègre patron"
Avec ça, on vous sert un plateau de plans fesses et seins (on est quand même dans un camp de nudistes) histoire de rajouter un peu de finesse à l'ensemble, on agite un peu et ça donne un bon gros nanar de derrière les fagots à ne pas regarder avec moins de 3 grammes d'alcool dans le sang.
Dans la série "Je vais au moins regarder ça une fois dans ma vie" voici un film qui aurait pu être très bon : Georges Descrières, en étant un peu freiné par un bon metteur en scène afin de moins surjouer, est plus bon, tout comme Paul Préboist véritablement plausible en curé tolérant, car mis à part quelques scènes moyennes il s'en sort franchement bien, et même le scénario est bien fichu, ça commence même très bien, et je dirais que vers la fin on n'est pas mal non plus. Bon, entre les deux ça varie beaucoup, entre la mise en scène pitoyable, la réalisation au caméscope, les quelques costumes moches (celui de l'évêque mal fini de coudre est collector) et quelques dialogues foireux (je mets à part les petits détails qui paraissent racistes car, pour l'époque, le mec noir a en fait une excellente répartie que je trouve est assez moderne pour l'époque et démonte un peu le racisme ordinaire encore bien installé en 1982, d'ailleurs il n'a aucun accent). Bref, pas assez drôle involontairement pour être un nanard, pas assez nul pour être un vrai navet, pas assez bon pour être un film, presque un ovni, voire une bonne surprise car on passe finalement un moment rigolo en sa faisant plaisir avec quelques effets spéciaux dignes d'un vrai nanard, ou encore les cache-sexe du début faisant penser à des strings couleur chair mal coupés, et quelques trouvailles comme spoiler: le strip-tease à l'envers, où Katia Tchenko démontre, je ne rigole pas, que même à l'envers ça fonctionne, c'est même presque mieux pour moi qui n'aime pas ça du tout . Après, oui, peut-être qu'un ado de l'époque aurait été content de voir des corps féminins dénudés, ok, mais c'est finalement anecdotiques. Score d'affinité AllocIné : un point d'interrogation, je comprends ! Verdict : pile la moyenne.
C'est tellement kitsch, et nul, et mal joué, et mal réalisé, que ça en devient presque drôle! Le seul moment sympa de ce film est la scene dans laquelle Katia Tchenko est toute nue...
Beauf, franchouillard, raciste, nul, fesses, nichons, poils, Patrick Sébastienesque,lourd, stupide, anti-humour, honte aux figurants,acteurs ratés, scénario écrit par un idiot ( peut-être plusieurs?)à voir tout de même (en prévoyant quelque chose à faire pendant ce temps)pour ne pas mourir épargné par la pauvreté du cerveau humain.
une honte pour le cinéma français, quize minutes de film et vous ètes déjà endormi.je ne critique pas les acteurs qui devaient survivre, mais le scénariste et le réalisateur qui auraient pu faire un effort: un tambour et des cimbales pour nous réveiller.
1 étoile pour que ce " super-navet" trouve le chemin du ciel où il aurait dû rester pour ne pas polluer la pellicule utilisée pour tourner cette pantalonade sans saveur, goût ou n' importe quelle autre qualité...