Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Passons rapidement sur l'anecdote (...) pour aller directement à l'essentiel : la croyance en un cinéma populaire (...) l'amour des acteurs (...), la propension à la fantaisie qui dérègle le récit au profit de l'incongruité poétique, le goût de la provocation et de l'incorrection tant esthétique que politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
(...) Tout en ruptures, les films de Mocky semblent insensés, et c'est ce qui les rend si vivants. Avec [ici] le plaisir de retrouver un Serrault "à l'italienne" (...) et surtout Charles Berling (...). Vous êtes au-delà du réel; chez Mocky, le dernier apache du cinéma.
Télérama
par Pierre Murat
(...) Les horribles décors de Grabuge ! créent un style et les tenues aux couleurs vomitives de Charles Berling (...) définissent la psychologie et la vie étriquée du personnage. (...) Charles Berling [est] amusant, lui-même visiblement amusé d'en faire des tonnes pour un metteur en scène qui n'aime que ça.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Michel Palmiéri
Lointain écho de ses succès des années 70 et 80 (...), le Mocky nouveau a le charme des démarches obstinées et des passions sourdes au temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Alexis Bernier
(...) Filmé en dix minutes, Grabuge ne réjouira que le mockyfile convaincu mais, lui au moins, sera rassuré. Nouvel avatar de sa veine "politique", Grabuge ne séduit pas à cause de ce qu'il dénonce (...) ou par son habituelle loufoquerie poétique mais, pour une fois, par sa mélancolie. (...) Le crépuscule de la gouaille.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) le film, abrasif et absurde, drôle parfois à force d'être à côté de la plaque, tourné à l'arrache avec des acteurs bénévoles, ne ressemble à pas grand-chose d'autre si ce n'est du Jean-Pierre Mocky.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Grabuge est fait sans y croire, mais sans croire à quoi ? (...) On ne sait pas trop tant l'absence de croyance dans les enjeux du récit et l'absence de désir de filmer paraissent ici redoubler.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mocky continue à avoir des prétentions moralistes qu'il transforme en festival de farces et attrapes (...) Ça a le charme du dérisoire quand le cinéaste fouille bien profond dans son grenier rétro, ou quand il peint un tableau naïf de la prostitution gay. Le reste du temps, c'est plan-plan comme un vieux Derrick.
Les Inrockuptibles
par Viencent Ostria
(...) Grabuge! bien mou, aussi explosif qu'un pétard mouillé. (...) Quoi qu'il fasse, quoi qu'il dise, le cinéaste est toujours à côté de la plaque. (...) Ce décalage permanent avec la vie actuelle a rarement le charme ou la naïveté attendus. La plupart du temps, c'est plat et poussif.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Score
par William Audureau
Grabuge ! aspire aux étiquettes poisseuses, et les rafle toutes à la fois. Dérision du film noir, dérision du cinéma et puis nanar fini, Grabuge ! ne devrait tout simplement pas être regardable (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Monde
Passons rapidement sur l'anecdote (...) pour aller directement à l'essentiel : la croyance en un cinéma populaire (...) l'amour des acteurs (...), la propension à la fantaisie qui dérègle le récit au profit de l'incongruité poétique, le goût de la provocation et de l'incorrection tant esthétique que politique.
TéléCinéObs
(...) Tout en ruptures, les films de Mocky semblent insensés, et c'est ce qui les rend si vivants. Avec [ici] le plaisir de retrouver un Serrault "à l'italienne" (...) et surtout Charles Berling (...). Vous êtes au-delà du réel; chez Mocky, le dernier apache du cinéma.
Télérama
(...) Les horribles décors de Grabuge ! créent un style et les tenues aux couleurs vomitives de Charles Berling (...) définissent la psychologie et la vie étriquée du personnage. (...) Charles Berling [est] amusant, lui-même visiblement amusé d'en faire des tonnes pour un metteur en scène qui n'aime que ça.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Lointain écho de ses succès des années 70 et 80 (...), le Mocky nouveau a le charme des démarches obstinées et des passions sourdes au temps qui passe.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) Filmé en dix minutes, Grabuge ne réjouira que le mockyfile convaincu mais, lui au moins, sera rassuré. Nouvel avatar de sa veine "politique", Grabuge ne séduit pas à cause de ce qu'il dénonce (...) ou par son habituelle loufoquerie poétique mais, pour une fois, par sa mélancolie. (...) Le crépuscule de la gouaille.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
(...) le film, abrasif et absurde, drôle parfois à force d'être à côté de la plaque, tourné à l'arrache avec des acteurs bénévoles, ne ressemble à pas grand-chose d'autre si ce n'est du Jean-Pierre Mocky.
Cahiers du Cinéma
Grabuge est fait sans y croire, mais sans croire à quoi ? (...) On ne sait pas trop tant l'absence de croyance dans les enjeux du récit et l'absence de désir de filmer paraissent ici redoubler.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Mocky continue à avoir des prétentions moralistes qu'il transforme en festival de farces et attrapes (...) Ça a le charme du dérisoire quand le cinéaste fouille bien profond dans son grenier rétro, ou quand il peint un tableau naïf de la prostitution gay. Le reste du temps, c'est plan-plan comme un vieux Derrick.
Les Inrockuptibles
(...) Grabuge! bien mou, aussi explosif qu'un pétard mouillé. (...) Quoi qu'il fasse, quoi qu'il dise, le cinéaste est toujours à côté de la plaque. (...) Ce décalage permanent avec la vie actuelle a rarement le charme ou la naïveté attendus. La plupart du temps, c'est plat et poussif.
Score
Grabuge ! aspire aux étiquettes poisseuses, et les rafle toutes à la fois. Dérision du film noir, dérision du cinéma et puis nanar fini, Grabuge ! ne devrait tout simplement pas être regardable (...)