Disons le tout de suite, j'ai vu ce film pour Elisha. Par ce que sinon, je ne vais voir ce type de film. Par contre, ce long-métrage d'horreur ne vaux rien, une sorte d'énième remake de Saw à la sauce Cuthbert donc sans intérêt au-delà de mettre en avant la plastique de rêve de la déesse blonde. Pour l'anecdote, on retrouve le vilain obèse moche et très méchant d'Identity. Un film qui nous rappelle qu'il est souvent difficile de sortir du carcan des films d'horreur pour ado libidineux quand on est une très belle femme, à l'instar de Jessica Alba ou Jessica Biel. Mais bon, je n'irai pas non plus pleurer sur leur sort...
Que c'est-il donc passé dans la tête de Roland Joffé, habitué aux drames épiques et historiques (Mission, La déchirure, Vatel), pour mettre en scène cet ersatz de Saw surfant sur la vague des récents torture-porns sans scénarios. Pourtant réalisateur talentueux, ce manque de savoir-faire se constate de suite à l'écran : Joffé n'est pas du tout l'homme de la situation, Captivity n'ayant clairement rien de neuf à proposer pour peu que l'on ai vu au moins trois ou quatre films d'horreur dans sa vie. Scénario prévisible et peu intéressant et séquences gore soft contrastent avec une photo glauque bien inspirée (par Fincher et James Wan, cela va de soit) et une idée originale hélas balancée aux oubliettes pour laisser place à une séquestration peu éprouvante voire complètement énervante, les cris incessants de la sexy Elisha Cuthbert, habituée au genre depuis le pourtant très bon La maison de cire, ne faisant qu'alourdir la tension déjà maladroitement installée... Cette idée de travailler sur ces personnes qui disparaissent du jour au lendemain n'est donc pas du tout exploitée, Joffé se concentrant sur une succession de scènes de tortures plus bêtes les unes que les autres, dont celle du caniche de notre héroïne, un passage dramatique intense risquant fortement de provoquer un hurlement de rire incontrôlé. Heureusement, le long-métrage se boucle sur une révélation finale classique, pas surprenante pour un sou et trop vite expédiée. Si vous en avez assez vu avec la saga Saw et autres torture-porns, passez votre chemin. Si vous avez quatorze ans et que vous voulez des sensations fortes, passez également votre chemin.
Captivity est un film d'horreur (il paraît) terriblement vide, sans scénario. C'est une accumulation de scènes gores (il paraît) surfant sur des thèmes plus ou moins déjà vus. Nul !
DU NIMPORTE QUOI, des dialogues pourris et des acteurs carrément a coté de la plaque!! ON ne se croit pas a un seul moment dans un film dhorreur c minable... On a rajoute a ca des faits improbables ( le mec qui est enfermé depuis 3jrs arriv a sortir par enchantement et se retrouve dans un garage avc une voiture HUM!)
Un pur navet comme on aime bien les descendre: ça démarre plutôt pas mal mais très vite, le film s'enlise et devient de plus en plus ridicule. Le dernier quart d'heure est à ce titre un grand moment de n'importe quoi, j'étais dépité de voir cela et on se dit que l'héroine blonde, ce n'est pas pour rien qu'elle l'est (blonde). Il faut tout de même savoir qu'il y a eu des reshoots sur ce film qui ne sont pas aux crédits de Roland Joffé mais des producteurs pour rendre le film plus gore, plus violent. Et quand c'est le cas, c'est rarement bon. On résume, un scénario bidon, des acteurs mauvais (Elisha Cuthbert est une actrice largement sur estimée) saupoudré le tout d'incohérence, laissez moisir et c'est prêt.
Houlala, je viens de me faire gronder par ma femme qui s'est vu infliger une daube monstrueuse un dimanche soir a cause de son idiot de mari qui n'a pas pris le temps de lire les critiques desastreuses sur ce film. SVP, evitez cette horreur a tout prix!
Que ce film surfe sur la vague des "Saw" est une évidence même... Mais qu'est allé faire Roland Joffé ("Mission" et "La déchirure quand même !) dans ce petit film alimentaire qui nous laisse sur la faim ! Le scénario pioche tellement sur "Saw" qu'on se demande pourquoi on regarde celui-ci. Scénario convenu et linéaire qui oublie qu'il faut nous faire un minimum trembler. Faussement gore donc, le spectateur est trompé sur la marchandise. A oublier !
Hyper mauvais. Pourtant le film commence très bien mais dès qu'on a droit à la révélation qui est censé tout bouleverser le film en devient très mauvais. Au final c'est pas un film d'horreur c'est à peine un petit thriller prétentieux. Les acteurs sont sympa mais rien de plus. Ils ont essayés de faire une sorte de Saw mais c'est vraiment raté parce que sa n'en a pas le scénario ni la consistance. Poubelle.
Tourné par Rolland Joffé avant d'être reshooté et remonté par Courtney Solomon, un torture-porn banal et prévisible, où la mise en abîmes du star-system sûrement voulue au départ laisse vite la place à un produit purement mercantile, complaisant et d'une laideur incroyable.
On veut faire un film en s'inspirant des plus grands mais on arrive pas à rivaliser ? Bah alors Roland ? Faut mettre sa propre pâte, ses propres tripes dans son propre film sinon la sauce ne prend pas et c'est ce qui se passe ici. A part la jolie frimousse de l'actrice ya pas grand chose que je retiendrais de ce film. En effet tout est prévisible, rien n'est choquant...même la scène du sablier est naze alors qu'elle aurait put être sympa. Quant à la fin bon bah c'est quand même bien d'la merde hein... En gros ce film n'est pas bien "Captivant"...
Alors là, c'est vraiment nul. Rien de passionnant de cette pâle copie de Saw et consorts. On s'ennuie sec et rien ne peut relever le niveau. Dommage, car Elisha "Kim Bauer" est magnifique dans le film et mérite mieux.
oh mon dieu que c'est mauvais .Ca part dans tout les sens , c'est pas credible une seule seconde . L'interpretation est desastreuse .bref prenez tout ce qu'on doit eviter dans un film et vous le retrouverez dans celui la
Scénario convenu, mise en scène désastreuse, scènes répétitives à souhait, interprétations assez mauvaise... Bref on nous ressert la même soupe côté style et ambiance poisseuse (version bas de gamme) comparé à ses faux-semblables SAW et HOSTEL finalement incomparables côté qualité (pour ne parler que des premiers). Par conséquent que reste t'il à sauver ? Quasiment rien si ce n'est qu'un final plus rythmé mais qui peine à installer un suspense avec cette sensation de déjà-vu plutôt agaçante à force.