On se laisse encore une fois prendre par la mécanique bien huilée McClane et ses répliques digne de lui. Ainsi, après Piège de Cristal dont ce film se veut la suite (on y retrouve le copain flic noir et le journaliste avide de scoops), McClane ressort les flingues pour combattre des vilains terroristes. Toujours la même chose mais McTiernan n'est plus de la partie, laissant la place à un réalisateur pas connu pour des grands films (Renny Harlin) voir on s'attend à ce qu'il bousille la série. Mais en fait c'est sans doute son meilleur film car l'ensemble tient la route malgré des scènes invraisemblables au possible et des méchants aux réactions très absurdes. Mais bon on prend tout au second degré et ça devient fun ce qu'il devient et ce qu'il doit être avec un tel scénario...
Ce deuxième volet de la saga Die Hard est dans la continuité du premier. Toujours seul et avec encore plus d'action. Seul le grand final est un peu fini à la rache mais ce film est également sympa.
Voici donc le second volet de la sage Die Hard réalisé cette fois-ci par Renny Harlin et non plus John McTiernan. Il était dur de passer après un premier volet de haut niveau et même si 58 minutes pour vivre reste un film d'action respectable, il n'en souffre pas moins de la comparaison avec son prédécesseur. Ce coup-ci notre héros John McClane devra faire face à la prise d'un aéroport alors qu'il partait fêter noël en famille, de quoi une nouvelle fois emmener Bruce Willis dans des aventures aussi drôles que passionnantes. Mais ce second volet manque d'une chose essentielle: le charme. Car même si les scènes d'actions sont bien filmés et les FX superbes, l'on reste loin -trop loin- du calvaire de notre personnage principal, aucune attache, juste du spectacle, ce qui reste en soit déjà pas si mal même si la caméra de Renny Harlin est beaucoup moins baladeuse que celle de McTiernan. Mais voilà, du spectacle pour du spectacle ce n'est pas forcement suffisant d'autant plus que les personnages secondaires sont fades et le grand méchant très peu charismatique, la photographie beaucoup moins attrayante et le souffle épique en voie de disparition. D'ailleurs ce n'est pas faute d'avoir tout tenter sur les scènes d'actions qui deviennent de plus en plus improbables. Il en reste que ce 58 minutes pour vivre se laisse voir sans difficulté, passer après Piege de cristal était en effet une tâche ardue. Le film remplit son rôle de blockbuster mais pas plus.
Deuxième volet de la quadrilogie John McLane, le film souffre de quelques longueurs mais reste toujours aussi fun que le premier A noter aussi : le film est le premier et dernier bon film de Renny Harlin qui nous "gratifia" par la suite de nanars comme Driven ou Peur Bleue. Merci Renny !
Décidément John McClane ne pourras pas fêter le Noël tranquillement. Sa femme est cette fois-ci sous la menace d'attaques terroristes lancées contre un aéroport afin de libérer un baron de la drogue. Bien décidé à sauver sa femme et arrêter les terroristes une fois de plus, John McClane offre un show d'action époustouflant, tout en restant aussi hilarant et cynique. Ce second volet est tout aussi bon que le premier.
En toutes franchise , ce film n'est vraiment pas decevant , il donne une bonne quantité d'adrénaline dans le sang . C'est vraiment que ce film est bien et ne détruit pas les limites de l'action !
Les frasques d'un super héro peuvent détendre mais si on n'y trouve aucun effet de surprise, en fait si avec le recul,il était à l'époque possible de monter dans un avion avec un taser qu'un avion avec 200 passagers s'écrase sur une piste ne pose aucun problème aux clients qui sont dans l'aéroport ni ne déclenche de secours, PLV : un divertissement dès lors qu'on ne regarde pas trop les détails
De l'action à l'état pur, ce film n'est pas très réaliste mais je prend beaucoup de plaisir à le voir et le revoir. Peut-être plus par nostalgie ? Tout de même, il y a une bonne histoire et des scènes d'action très travaillées.
Pour ce deuxième volet des aventures de John McClane, Renny Harlin a mis le paquet en plaçant l'action dans un aéroport un soir de Noël. Après avoir été piégé dans un immeuble dans "Piège de cristal", John McClane va se coltiner au sein d'un aéroport international un groupe de mercenaires surentrainés. Mais le policier new-yorkais est toujours aussi indestructible malgré les balles, les coups et les explosions dont il est la cible. L'action est totalement surréaliste et tellement centré sur le personnage joué impeccablement par Bruce Willis qu'il ne reste pas grand chose aux autres comédiens pour s'exprimer. Renny Harlin ne fait pas dans la dentelle et multiplie les scènes d'action, donnant au film un rythme soutenu sans perdre le sens de la narration. Un peu moins réussi et moins charismatique que "Die Hard 1", "58 minutes pour vivre" constitue cependant un bon divertissement et plane loin au dessus de pas mal de films d'action, même 21 ans après sa sortie en salles.
1 c’était bien, 2 c’est trop. Plus de Bruce oui, mais moins, beaucoup moins d’action… Une grande heure d’ennui avant que le film ne démarre vraiment. Surtout, John ne se retrouve que très rarement ici dans son rôle de "Caliméro seul au monde", face à la fois à la police et aux Bads Guys. Reste alors les deux trois phrases cultes et 20 dernières minutes plutôt correct pour sauver un ensemble pas terrible… On rigole devant le premier opus, on dort devant le deuxième…
Je conseille vivement ce film ainsi que tous les autres Die Hard aux amateurs de suspens, d'ACTION et qui veulent voir un Bruce Willis de nouveau excellent dans la peau de McClane.