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Pour qui n'aurait encore jamais vu un film d'Ozu et souhaiterait l'approcher à cette occasion, il suffira de quelques plans pour se convaincre qu'il y a là du cinéma (...) À l'occasion, on ne manquera pas de mémoriser le découpage de la dernière séquence pour le restant de ses jours. Il n'est pas interdit de la considérer, dans sa sobriété, comme une des plus éblouissantes de l'histoire du septième art.
Certes, Il était un père est un film inédit d'Ozu, mais il n'en est pas pour autant une oeuvre mineure. Bien au contraire. (...) C'est aussi une oeuvre bouleversante sur un thème bien occidental : l'incommunicabilité des êtres.
(...) on est face à quelque chose que le cinéma, en 1943, n'avait pas encore filmé : un père et un fils qui se parlent, d'égal à égal (...) Leurs obsessions ne tiennent qu'à un fil (le temps qui passe). Mais la façon dont Ozu les regarde tous les deux échanger ce lien essentiel n'a pas d'égal.
Avec une stupéfiante économie de moyens, il décrit la trajectoire de ce père qui, peu à peu, lâche prise, passe d'adulte triomphant à vieillard effacé. Parcours dont tout le monde peut avoir été le témoin, et que quelques-uns d'entre nous s'apprêtent à vivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce film fut tourné en pleine Seconde Guerre mondiale. Le gouvernement exigeait alors des sujets patriotiques. Mais Ozu n'en fit qu'à sa tête, livrant une première version de son sujet préféré: les rapports d'un être vieillissant avec son enfant unique. (...) Les copies restaurées sont loin d'être parfaites, mais les vrais amateurs d'Ozu ne manqueront pas l'évènement.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Pour qui n'aurait encore jamais vu un film d'Ozu et souhaiterait l'approcher à cette occasion, il suffira de quelques plans pour se convaincre qu'il y a là du cinéma (...) À l'occasion, on ne manquera pas de mémoriser le découpage de la dernière séquence pour le restant de ses jours. Il n'est pas interdit de la considérer, dans sa sobriété, comme une des plus éblouissantes de l'histoire du septième art.
Le Figaroscope
Certes, Il était un père est un film inédit d'Ozu, mais il n'en est pas pour autant une oeuvre mineure. Bien au contraire. (...) C'est aussi une oeuvre bouleversante sur un thème bien occidental : l'incommunicabilité des êtres.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) on est face à quelque chose que le cinéma, en 1943, n'avait pas encore filmé : un père et un fils qui se parlent, d'égal à égal (...) Leurs obsessions ne tiennent qu'à un fil (le temps qui passe). Mais la façon dont Ozu les regarde tous les deux échanger ce lien essentiel n'a pas d'égal.
TéléCinéObs
Du grand cinéma, et ça fait du bien.
Télérama
Avec une stupéfiante économie de moyens, il décrit la trajectoire de ce père qui, peu à peu, lâche prise, passe d'adulte triomphant à vieillard effacé. Parcours dont tout le monde peut avoir été le témoin, et que quelques-uns d'entre nous s'apprêtent à vivre.
Zurban
Ce film fut tourné en pleine Seconde Guerre mondiale. Le gouvernement exigeait alors des sujets patriotiques. Mais Ozu n'en fit qu'à sa tête, livrant une première version de son sujet préféré: les rapports d'un être vieillissant avec son enfant unique. (...) Les copies restaurées sont loin d'être parfaites, mais les vrais amateurs d'Ozu ne manqueront pas l'évènement.