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romano31
279 abonnés
1 543 critiques
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4,0
Publiée le 4 janvier 2020
Suite directe du premier film, Hellraiser 2 : Les Écorchés est une excellente suite où l'on découvre le monde des Cénobites ainsi que le fameux Léviathan et son labyrinthe. C'est Tony Randel qui s'occupe de la réalisation (Clive Barker reste néanmoins au scénario et à la production) et je trouve qu'il a fait de l'excellent travail. Les maquillages et costumes des Cénobites sont toujours aussi travaillés, c'est toujours aussi gore et malsain et j'ai trouvé certains visuels vraiment très beaux. Une très bonne suite au film de Clive Barker qui mérite largement d'être vue.
Le premier opus m'avait intrigué avec cette boîte qui ouvre les portes de l'enfer... Ce deuxième volet manque cruellement de mordant et de moyens... Hormis les effets de maquillage bien immondes, le décor et le scénario peine à intéresser...
Alors je ne sais pas si Clive Baker avait pris des trucs plus forts que d'habitude ou si c'est moi qui ai perdu de la hauteur sous plafond, mais j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le scenar de ce "hellraiser 2". On dirait que Clive Baker, très fier d'avoir crée un univers en tous points original, ce qui est une performance dans le cinéma d'horreur, avait voulu prolonger l'aventure avec un film pour "initiés" capables de le suivre dans son monde. Ce n'est pas mon cas. OK les effets spéciaux sont encore au dessus du 1, déjà très satisfaisant pour l'époque, mais quand l'histoire nous perd.... 2 / 5
« Hellraiser 2 : les écorchés » est la suite directe du premier volet écrit et réalisé par Clive Barker. Il laisse la réalisation à Tony Randel. Kristy avait assisté aux monstrueux assassinats de son père et sa belle-mère par des monstres nommés cénobites. Elle est aujourd’hui placée dans un centre psychiatrique. Mais comme par hasard, son docteur est bien au courant de la fameuse boîte et va ressusciter la belle-mère avec de la chair humaine et va ainsi replonger tous les protagonistes dans ce monde pervers et horrifiques. Voici une suite plutôt réussie qui reprend le même casting et qui va creuser un peu plus loin l’univers de cénobites. Les fans de la saga et du sang y trouveront leur compte. Mais trente ans après sa sortie, « Hellraiser 2 : les écorchés » est vieillissant et il ne sera pas simple pour les nouveaux spectateurs d’admettre des effets spéciaux aussi cheap. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Une bien étrange suite à un film d'horreur culte des 80's, Hellraiser II est tout aussi gore, si ce n'est plus, et toujours bien malsain mais contrairement au premier volet, on ne comprend pas un traitre mot de ce qu'il se passe ici ! L'atmosphère est un mélange de fantasmagorie et d'imaginaire lointain, très languissant et répétitif, d'autant plus que la réalisation laisse parfois à désirer dans ce domaine, ces parties ont particulièrement mal vieilli. Pour autant, on retrouve nos personnages récurrents ainsi que nos cénobites préférés pour un max de cauchemars éveillés, puis l'on ne s'ennuie pas vraiment et les tortures sont plutôt bien pensées et bien réalisées. En bref, on sent que Clive Barker n'est plus derrière la caméra mais on retrouve tout de même l'essence de l'oeuvre même si l'ambiance générale peut surprendre, ce n'est pas si mal.
Une suite au cultissime premier opus, bien que pas mal, assez indigne. On y retrouve deux des personnages clés, mais on a du mal à y croire ou à tout comprendre vraiment pourquoi ...
Malgré une mise en route un peu longue (qui rappelle ce qui s'était passé dans le n°1, ce qui n'est pas inutile quand on a vu le film depuis longtemps), la première partie fait plutôt illusion, et on se dit même que cette suite pourrait être meilleure que "Hellraiser" premier du nom (que je n'apprécie pas particulièrement). Hélas, dès que la boîte est ouverte, le scénario perd sa cohérence et les effets spéciaux sont moches. Il reste les méchants à l'aspect dérangeant, mais c'est quand même trop peu.
Pour moi le deux restera l épisode qui explore le mieux le monde de hellraiser du moins l idée de cette saga. L idée de planter la suite dans un hôpital psychiatrique rend le film encore plus fou tordu glauque car on peut ainsi aborder les limites et l infini de l esprit du cerveau de l’âme et de la folie et de ses pathologies.... et quel plaisir que de rentrer dans le monde sans limite de la souffrance et du plaisir des cénobites. On en apprend plus sur eux et leur tourments plaisir le tout est très bien fait pour l époque on faisait pas tellement mieu de beaux décors et une imagination dans la folie qui me fait bien flipper c’est même derengeant. Après le scénario est correct et suit l histoire du premier avec les mêmes acteurs rien a dire. Un bon deuxième volet que je regarde toujours avec plaisir
Après un bon premier film, Hellraiser revient avec un deuxième volet appelé Hellbound et quel deuxième volet. Cette fois-ci exit le huis clos oppressant de la maison familiale, on est dans un asile psychiatrique et le moins qu'on puisse dire c'est que l'ambiance est encore plus impressionnante. Les décors sont horriblement somptueux. Les effets spéciaux sont très très kitschs mais ca n'empêche pas le film d'être réellement impressionnant. Hellraiser 2 comporte beaucoup plus de scènes d'action et de scènes gores et c'est vraiment rafraichissant Le développement des personnages est aussi beaucoup plus poussé. Pinhead subit un développement intéressant tout comme le personnage de Julia.
Attention, Hellraiser 2 a des allures de nanar avec ses effets spéciaux vieillissants mais il n'en reste pas moins un très bon film, extrêmement divertissant.
L'épisode 2 reste une très bonne suite, malheureusement de nombreuses scènes gores ont été coupées chez nous, il faut donc se tourner vers le continent américain pour apprécier réellement cette oeuvre vraiment envoutante...
Il y a de bonnes idées dans cette suite. L'outrance de gore et les effets spéciaux sont très réussis, malheureusement au détriment du scénario qui peine à convaincre. L'ambiance malaisante est, heureusement, toujours de la partie.
Ce deuxième opus de la saga "Hellraiser", réalisé cette fois par Tony Randel et sorti en 1988 n'est pas mal mais est un peu moins original que le premier, forcément. On reprend donc cette suite avec Kristy, internée dans un hôpital psychiatrique, qui veut empêcher Julia de revenir du monde des Cénobites. Vu comme ça, cela sonne tout de suite suite facile alors que le scénario a en réalité beaucoup d'idées et d'imagination. Le fait que Clive Barker soit toujours derrière le projet est rassurant mais le fait que ce soit le réalisateur de "Amityville 1993 : Votre heure a sonné" est peu reluisant. Malgré tout, la réalisation de ce film est très bonne, notamment au niveau des effets spéciaux qui sont très bons, surtout avec un budget comme celui-ci et malgré l'époque et je pense que le fait de l'avoir vu en très bonne qualité (grâce au coffret regroupant les trois premiers en Blu-ray) m'y a aussi un peu aidé. Cependant, ma note n'est pas plus haute car je trouve que, malgré la version director's cut, le film ne va jamais vraiment au bout de ses idées (d'après ce que j'ai pu lire, c'est apparemment à cause du budget et du crash boursier), ce qui nous donne un univers avec beaucoup d’éléments très intéressants et des choses très riches mais qui s’emmêle les pinceaux pour avoir à l'arrivée un côté un peu bordélique. De plus, à côté de ça, nous avons des scènes qui sont trop longues et pas spécialement intéressantes, notamment toutes celles où Kristy et Tiffany courent dans les couloirs, ce qui est clairement une perte de temps par rapport à tout ce qu'il y avait à développer à côté. Les personnages sont beaucoup plus travaillés que dans le premier notamment avec les Cénobites où l'ont spoiler: découvrent leur côté humain mais c'est malheureusement une idée qui fait partie des éléments non réellement développés. Je ne blâme donc pas entièrement ce film car il a dû subir de nombreuses transformations et de nombreux sacrifices avant de pouvoir sortir sur nos écrans. Le côté gore est évidemment présent, même encore plus que dans le premier et si aujourd'hui, ce genre d'effets spéciaux ne nous impressionnent plus tellement, ils restent tout de même assez impressionnants. Du côté des acteurs, nous retrouvons Ashley Laurence, Clare Higgins et Doug Bradley qui sont toujours aussi bons. "Hellraiser II : Hellbound" est donc dans l'ensemble plutôt une bonne suite qui a du potentiel mais qui n'a pas pu assez creuser ses idées.
Erk, vraiment mauvaise cette suite, gros gâchis. Ça commence relativement bien puisque le film fait directement suite au premier épisode à la manière de "Halloween 2", on pourrait donc penser à une histoire qui serai le prolongement logique du premier film sans sombrer dans la redite et exploitant les bases de "Hellraiser" pour nous montrer autre chose. Erreur le film se montre vite être un remake du premier pendant les trois premier quart d'heure, avec en prime un flash back résumant tout le premier film pour bien tomber dans la redondance. Une fois passé les 45 premières minutes, le film nous fait directement entrer en enfer ou, du moins, dans l'univers pervers et malsain des cénobites entièrement dédié à la souffrance et au plaisir. on pourrait croire que cette fois c'est bon, le film va décoller, on arrive sur un nouveau terrain apte à enrichir la mythologie hellraiser. Bah non, c'est pas intéressant et encore moins passionnant, le film multiplie les clin d'œil au premier film et se permet, ultime connerie, d'humaniser les cénobites et réduire leur charisme à néant (chose déjà entamer dans l'intro du film qui nous montre la création de Pinhead). Le dernier acte s'éternise, ça en devient gonflant, on attend donc patiemment le happy-end foireux et l'épilogue servant principalement à faire Plaisir au fan du premier film. En résumé, un métrage qui enchaine les mauvais choix, n'arrive jamais à exploiter correctement l'univers intéressant mis en place par Clive Barker, et qui se permet d'être chiant, on notera quand même des effets gores parfois hardcore ou inventif mais là aussi le bât blesse puisque le film a été victime de la censure et que ça se sent beaucoup dans certaines scènes (le malade mental qui se dépèce avec un rasoir...).