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Alexarod
279 abonnés
1 867 critiques
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1,5
Publiée le 21 novembre 2011
Dommage, dans mes souvenirs la saga était géniale, et le 3 faisait parti des meilleurs, 20 ans plus tard ça fait mal aux yeux. Un retour aux sources pour les anciens maladroits c'est pas mal, à leur tour de former des nazes, ça partait bien, surtout si les nouveaux sont des anciennes connaissances aussi. Tout parait bon mais c'est tout, les caractéristiques de nos flics préférés sont sous exploitées, on les voit peu, leur particularisme se voit à 1 ou 2 occasions et ça semble là pour tenir un cahier des charges, quand aux nouveaux c'est assez sommaire et caricatural (ça tient beaucoup au physique). Seul bon point : l'ancien d'une bande, le rockeur, très marrant, mais on ne le voit que 10 minutes sur 1h30, et son style peut lasser à force. Je note aussi que le film est peu marrant, pas assez long pour savoir ce que devient Mahoney et sa copine, ainsi que les autres, mais trop de longueurs notamment à la fin avec la poursuite interminable et minable en jetski. Néanmoins le thème principal des Police Academy est là, Leslie aussi et les acteurs ne changent pas, tant mieux, mais ça a trop mal vieilli pour que l'humour épisodique du film nous touche, dommage.
Troisième opus de la florissante saga des Police Academy, toujours réalisée par Jerry Paris et interprétée par la même équipe de bras cassés. Sorte de retour aux sources, Police Academy 3 fait revenir nos maladroits en uniformes à leur première école où, pour sauver celle-ci, ils vont devoir devenir les instructeurs de nouvelles recrues toujours aussi improbables. On prend les mêmes et on recommence donc pour une aventure très proche du premier volet. On y retrouve ainsi Steve Guttenberg, David Graf, George Gaynes et Leslie Easterbrook, absente du deuxième opus, redevenir les officiers de police les plus drôles des États-Unis. Mais on y retrouve aussi la femme de Flacker déjà aperçue en train de courser son mari dans le premier film ainsi que des personnages civils de Police Academy 2 : Sweetchuck, le petit binoclard, Bud le petit frère de Tackland, et Zed qui était le grand méchant déjanté du deuxième long-métrage. Un scénario sympathique, aux gags déjà vus mais à la bonne humeur toujours aussi contagieuse, les éléments des deux premiers films étant toujours présents, du bizutage de leur supérieur Mauser aux bruitages fantastiques de Jones en passant par le fameux bar gay The Blue Oyster, rien n'est laissé au hasard pour que le spectateur ne soit pas dépaysé. On regrettera cependant un manque évident d'originalité, la série commençant à tourner petit à petit en rond.
Dire que j'ai fait la queue pour aller voir ce film à l'époque !! plus de 1 millions d’entrées ... en France ..incroyable ! pour le coté nostalgique, je peux encore retrouvé quelque chose mais pour la qualité de l'humour ... quand je le revois aujourd'hui .. cela n'a aucun rapport avec le fait qu'il ai vieilli, l'humour est vraiment très très mauvais et pourtant il a cartonné !! le premier encore est sympa ... dire que ce film a battu en recettes en France '' piège de cristal'' '' vampire vous avez dit vampire '' '' 9 semaines 1:2'' '' after hours'' ... OO... mais bon .. critique : humour nul, scènes d'action débile,acteur au ras de pâquerettes, ...
Jerry Paris avait déjà réalisé un Police Academy, le deuxième, qui était assez moyen quoique sympathique dans l'ensemble, surtout grâce à Bobcat Goldwaith qui avec son cabotinage avait sauvé le film de l'ennui.
Pour ce film, on retourne à l'académie de police avec les cadets du premier opus qui passent sergents instructeurs sur cet opus. Le film n'en est que meilleur comparé au mauvais précédent et attire notre interêt grâce au duo Goldwaith - Kazurinsky, qui à défaut d'être original, reste quand même drôle. Le spectateur n'a pas un grand interêt au film, mais n'est pas non plus ennuyeux et finalement, l'heure et demie que dure le film se passe sans déplaisir. Le thème musical de la saga est en plus assez génial et les acteurs ne sont pas mauvais. Michael Winslow est un peu moins présent, Steve Guttenberg est invisible, mais Marion Ramsey reste toujours aussi hilarante.
Au final, les gags sont simples, mais ne restent pas trop lourds et Jerry Paris arrive quand même à instaurer une sorte de rythme pas trop déplaisant au film, sans doute dû au bon scénario de Gene Quintano qui réalisera l'excellent Alarme Fatale plus tard. Bon film.
Après un premier opus médiocre et un deuxième pas trop mal qui remonte la pente, la Police Academy nous revient en forme, prêts à former une nouvelle équipe. Dans cette nouvelle équipe, nous avons des frères et sœurs d’officiers de police des précédents opus, d’autres personnages issus des précédents épisodes, quelques nouvelles têtes, ... Bref, c’est un peu un retour aux sources, car dans le premier opus, nous suivions aussi l’entraînement de nouvelles recrues. Sauf que ces nouvelles recrues du premier épisode forment les nouvelles recrues de ce troisième opus. Vous suivez ? Dommage que Police Academy 3 n’atteint pas le niveau du prédécesseur, qui était drôle sans tomber dans le lourd. Ce troisième film devient lassant, et pour être franc, on n’est pas fâché que le film se termine. Et dire qu’il y en a encore quatre qui suivent ...
Version BluRay: encore là, il est propre et le sons est encore trés années 80. Un ratage complet, malgrer une scène final sur l'eau qui est assez sympa.
Troisième épisode de cette saga qui remet en scène les principaux acteurs en rajoutant de nouveaux qui sont eux aussi bien drôle. Par contre on commence a sentir un petite lassitude dans les répliques qui se répètent.
Ce troisième opus des aventures des policiers has-been complètement à la rue est comparable aux deux précédents. Un scénario quasiment inexistant oscillant entre le genre comédie et le genre action. Parfois on a même l'impression que le film est monté sous forme de films à sketchs où tout le monde y va de sa scène comique. L'apport comique du flic loubard déjanté avec une voix stridente amène du peps au film et décroche quelques sourires.
Ce troisième volet a battu tous les records aux USA et même en France et une forme de retour aux sources, on garde le même délire avec les personnages principaux. Le filon reste usé et sans grande nouveauté.