Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Ce conte simple méritait d'être traité simplement. David Ferrario l'a donc tourné avec des comédiens peu connus (...) et en caméra haute définition. Ce petit film léger comme des cendres jetées au vent est une belle confirmation de la part du réalisateur du sulfureux Guardami (...).
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Entièrement commenté en voix off, truffé de clins d'oeil, cet hommage aux soupirants muets, aux caméras à manivelle et aux fermetures à l'iris assume sa naïveté et recèle quelques moments de grâce, en particulier la scène où l'amoureux fait sa déclaration en images d'autrefois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Score
par William Audureau
De mises en abyme espiègles en plans-séquences papillonnants, de citations cinématographiques amoureuses en dialogues croustillants (...), il donne vie à une oeuvre légère, malicieuse et euphorisante. Pourrait-on lui reprocher sa dernière demi-heure un peu forcée ? Sûrement.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
MCinéma.com
par Camille Brun
Le cinéaste italien Davide Ferrario veut prouver en s'amusant que non seulement le 7e art n'est pas mort, mais qu'il a toujours un avenir.Pourquoi pas mais c'est raté sur tous les plans.Il n'y a, et c'est peu, que les comédiens, globalement sympathiques, et quelques scènes bien vues pour se dire que même dans les films peu inspirés, le cinéma n'est, effectivement, pas complètement mort.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Léger, habile et lisse.
Zurban
par Olivier Pélisson
Sur fond de vie urbaine tristounette et de solitude désoeuvrée, le cinéaste filme la jeunesse, ses désillusions et ses promesses.
aVoir-aLire.com
par La rédaction
"Doppo mezzanotte" est une véritable déclaration d'amour au cinéma. (...) un petit film sans grande ambition affichée. Une histoire toute simple, parmi tant d'autres, comme le dit justement le narrateur. Rien de plus. Et c'est justement ce qui fait sa faiblesse...
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Après minuit est un film régressif pour trentenaires de gauche en duffle-coat. Film climatisé, moelleux, claquemuré dans la mythologie rance de la "magie du cinéma".
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Chez l'auteur de "Cinéma paradiso", l'hommage passait par une mélancolie ripolinée, chargée de sucre et miel, un cri d'amour passéiste de gros patapouf. Légère nuance pour Ferrario, tout de même plus fin et moderne, qui inscrit son film dans un monde actuel et discerne parfaitement l'ancien du nouveau (...) une rêverie de rat de cinémathèque, mal fagotée et blafarde, mais assez saine dans son rapport au passé.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Intrigue faiblarde - un vague triangle amoureux. (...) la réflexion sur le cinéma éclipse le reste.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
En rejouant ses histoires, en reproduisant, assez mal, ses gestes emblématiques (le burlesque), Davide Ferrario ne rallume pas la "petite étincelle" du cinéma, mais souffle à pleins poumons sur sa flamme vacillante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
C'est raté sur tous les plans. La voix-off (partie intello décontractée) noie tous les plans et agace à force de s'écouter parler. Les gags (partie grand public) tombent systématiquement à plat tant n'est pas Buster Keaton qui veut. Et la romance qui donne ses bases à l'histoire est trop plan-plan et longuette pour faire rêver.
Ouest France
par La rédaction
Des citations et des références, mais le réalisateur en oublie de raconter ses personnages.
Première
par Gaël Golhen
Ce "Jules et Jim" italien, pétri de cinéphilie un peu triste, multiplie les propos assommants sur le cinoche et fait du surplace scénaristique. La stylisation très maîtrisée bute sur un script glacial.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Un brin mollasson, le film frôle l'absurde à la toute fin, lors de l'apparition involontaire de Silvio Berlusconi, vision cauchemardesque que l'un des personnages refuse d'emporter dans un monde dit meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Ce conte simple méritait d'être traité simplement. David Ferrario l'a donc tourné avec des comédiens peu connus (...) et en caméra haute définition. Ce petit film léger comme des cendres jetées au vent est une belle confirmation de la part du réalisateur du sulfureux Guardami (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Entièrement commenté en voix off, truffé de clins d'oeil, cet hommage aux soupirants muets, aux caméras à manivelle et aux fermetures à l'iris assume sa naïveté et recèle quelques moments de grâce, en particulier la scène où l'amoureux fait sa déclaration en images d'autrefois.
Score
De mises en abyme espiègles en plans-séquences papillonnants, de citations cinématographiques amoureuses en dialogues croustillants (...), il donne vie à une oeuvre légère, malicieuse et euphorisante. Pourrait-on lui reprocher sa dernière demi-heure un peu forcée ? Sûrement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
MCinéma.com
Le cinéaste italien Davide Ferrario veut prouver en s'amusant que non seulement le 7e art n'est pas mort, mais qu'il a toujours un avenir.Pourquoi pas mais c'est raté sur tous les plans.Il n'y a, et c'est peu, que les comédiens, globalement sympathiques, et quelques scènes bien vues pour se dire que même dans les films peu inspirés, le cinéma n'est, effectivement, pas complètement mort.
TéléCinéObs
Léger, habile et lisse.
Zurban
Sur fond de vie urbaine tristounette et de solitude désoeuvrée, le cinéaste filme la jeunesse, ses désillusions et ses promesses.
aVoir-aLire.com
"Doppo mezzanotte" est une véritable déclaration d'amour au cinéma. (...) un petit film sans grande ambition affichée. Une histoire toute simple, parmi tant d'autres, comme le dit justement le narrateur. Rien de plus. Et c'est justement ce qui fait sa faiblesse...
Cahiers du Cinéma
Après minuit est un film régressif pour trentenaires de gauche en duffle-coat. Film climatisé, moelleux, claquemuré dans la mythologie rance de la "magie du cinéma".
Chronic'art.com
Chez l'auteur de "Cinéma paradiso", l'hommage passait par une mélancolie ripolinée, chargée de sucre et miel, un cri d'amour passéiste de gros patapouf. Légère nuance pour Ferrario, tout de même plus fin et moderne, qui inscrit son film dans un monde actuel et discerne parfaitement l'ancien du nouveau (...) une rêverie de rat de cinémathèque, mal fagotée et blafarde, mais assez saine dans son rapport au passé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Intrigue faiblarde - un vague triangle amoureux. (...) la réflexion sur le cinéma éclipse le reste.
Les Inrockuptibles
En rejouant ses histoires, en reproduisant, assez mal, ses gestes emblématiques (le burlesque), Davide Ferrario ne rallume pas la "petite étincelle" du cinéma, mais souffle à pleins poumons sur sa flamme vacillante.
MCinéma.com
C'est raté sur tous les plans. La voix-off (partie intello décontractée) noie tous les plans et agace à force de s'écouter parler. Les gags (partie grand public) tombent systématiquement à plat tant n'est pas Buster Keaton qui veut. Et la romance qui donne ses bases à l'histoire est trop plan-plan et longuette pour faire rêver.
Ouest France
Des citations et des références, mais le réalisateur en oublie de raconter ses personnages.
Première
Ce "Jules et Jim" italien, pétri de cinéphilie un peu triste, multiplie les propos assommants sur le cinoche et fait du surplace scénaristique. La stylisation très maîtrisée bute sur un script glacial.
Télérama
Un brin mollasson, le film frôle l'absurde à la toute fin, lors de l'apparition involontaire de Silvio Berlusconi, vision cauchemardesque que l'un des personnages refuse d'emporter dans un monde dit meilleur.