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Profitant d'une méprise, le gagman Pierre Renaud se fait passer pour le célèbre réalisateur Vallier dont il est le prête-plume afin de travailler avec la vedette Aldo Barazutti (Aldo maccione).
spoiler:
Dans un club de vacances tunisien, les séances de travail tournent court et l'imposture de Pierre est menacée d'être découverte.
C'est une comédie burlesque indigne de Pierre Richard et de son personnage récurrent. spoiler: La Tunisie
-pour l'exotisme ou parce que c'est moins cher?- est le décor carte postale d'une succession assez pitoyable de gags grossiers et pesants, d'effets comiques dont certains sont ratés, les autres tout simplement mauvais. on est dans un registre qui rappelle bien davantage le nanar façon Claude Zidi que le Pierre Richard du "Distrait".
Le réalisateur s'échine en vain à alimenter son personnage gaffeur en postures burlesques. L'inspiration n'y est pas et probablement que la conviction n'y est pas non plus (à ce stade de médiocrité et de complaisance, je soupçonne Pierre Richard d'avoir en tête de payer ses impôts!). Le cinéaste s'enferme dans un pénible vaudeville aux effets éculés et primaires, où l'acteur s'agite et son comparse Maccione cabotine dans le vide.
C'est une comédie burlesque indigne de Pierre Richard et de son personnage récurrent. spoiler: La Tunisie
-pour l'exotisme ou parce que c'est moins cher?- est le décor carte postale d'une succession assez pitoyable de gags grossiers et pesants, d'effets comiques dont certains sont ratés, les autres tout simplement mauvais. on est dans un registre qui rappelle bien davantage le nanar façon Claude Zidi que le Pierre Richard du "Distrait".
Le réalisateur s'échine en vain à alimenter son personnage gaffeur en postures burlesques. L'inspiration n'y est pas et probablement que la conviction n'y est pas non plus (à ce stade de médiocrité et de complaisance, je soupçonne Pierre Richard d'avoir en tête de payer ses impôts!). Le cinéaste s'enferme dans un pénible vaudeville aux effets éculés et primaires, où l'acteur s'agite et son comparse Maccione cabotine dans le vide.
Une comédie bien sympa. Avec un Pierre Richard fidèle à ses habitudes et un Aldo crédible. Le duo s'en sort bien dans une histoire basée sur des quiproquos, pour nous faire garder le sourire.
« Tu veux que je te dise ? Je m’ennuie, moi dans les vaudevilles. »
Pour sa 5ème réalisation et la dernière du cycle « personnage de Pierre Richard », l’acteur s’entoure de professionnel·les avec qui il a déjà tourné : Alain Godard au scénario et aux dialogues, Vladimir Cosma à la musique, Aldo Maccione pour la seconde fois et Danielle Minazzoli, sa femme. Valérie Mairesse et Henri Garcin complètent la distribution principale.
Après le distrait, le malchanceux, le pacifique et le timide, Pierre Richard incarne cette fois le créateur injustement méconnu : son personnage est un nègre de cinéma. Certaines scènes, d’ailleurs, tiennent à la fois de la mise en abyme et de la démonstration par l’exemple, dans une grande leçon sur le « comment faire rire ? »
Hélas, si Pierre Richard ne brille pas par les originalités de sa caméra, il n’est pas non plus un directeur d’acteur·trices et les interprètes font un peu ce qu’ils et elles veulent. Ainsi, Aldo Maccione est en train, en cette fin d’années ’70 de caricaturer son personnage, Valérie Mairesse abuse de sa voix criarde, à la limite du supportable, Henri Garcin est pitoyable et les seconds rôles tout bonnement exécrables. Pour couronner le tout, Pierre Richard est également loin d’être un scénariste de génie et, ce qui est un comble pour un film dont le personnage principal est un scénariste, la plupart des péripéties sont prévisibles, répétitives et parfois même grotesques, voire carrément dégueulasses (la série de gifles comme mécanisme humoristique, ça ne passe pas). On gardera malgré tout quelques gags marrants, comme la scène du miel, hommage à Hergé ou les trop rares moments de mise en abyme (la scène du seau et celle du placard).
Au final, on sent bien l’impuissance du créateur et on a un peu de peine pour Pierre Richard, acteur phare des comédies populaires des années ’70/’80 qui a trop longtemps misé sur son personnage sans réellement pouvoir se reconvertir à temps. Si Francis Veber prolongera encore de quelques années sa carrière en l’associant à Depardieu (La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs), on assiste déjà, avec ce C’est Pas Moi C’est Lui, au chant du cygne, parabole prophétique dansée par sa femme au début de ce film.
Pour sa 5ème réalisation et la dernière du cycle « personnage de Pierre Richard », l’acteur s’entoure de professionnel·les avec qui il a déjà tourné : Alain Godard au scénario et aux dialogues, Vladimir Cosma à la musique, Aldo Maccione pour la seconde fois et Danielle Minazzoli, sa femme. Valérie Mairesse et Henri Garcin complètent la distribution principale.
Après le distrait, le malchanceux, le pacifique et le timide, Pierre Richard incarne cette fois le créateur injustement méconnu : son personnage est un nègre de cinéma. Certaines scènes, d’ailleurs, tiennent à la fois de la mise en abyme et de la démonstration par l’exemple, dans une grande leçon sur le « comment faire rire ? »
Hélas, si Pierre Richard ne brille pas par les originalités de sa caméra, il n’est pas non plus un directeur d’acteur·trices et les interprètes font un peu ce qu’ils et elles veulent. Ainsi, Aldo Maccione est en train, en cette fin d’années ’70 de caricaturer son personnage, Valérie Mairesse abuse de sa voix criarde, à la limite du supportable, Henri Garcin est pitoyable et les seconds rôles tout bonnement exécrables. Pour couronner le tout, Pierre Richard est également loin d’être un scénariste de génie et, ce qui est un comble pour un film dont le personnage principal est un scénariste, la plupart des péripéties sont prévisibles, répétitives et parfois même grotesques, voire carrément dégueulasses (la série de gifles comme mécanisme humoristique, ça ne passe pas). On gardera malgré tout quelques gags marrants, comme la scène du miel, hommage à Hergé ou les trop rares moments de mise en abyme (la scène du seau et celle du placard).
Au final, on sent bien l’impuissance du créateur et on a un peu de peine pour Pierre Richard, acteur phare des comédies populaires des années ’70/’80 qui a trop longtemps misé sur son personnage sans réellement pouvoir se reconvertir à temps. Si Francis Veber prolongera encore de quelques années sa carrière en l’associant à Depardieu (La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs), on assiste déjà, avec ce C’est Pas Moi C’est Lui, au chant du cygne, parabole prophétique dansée par sa femme au début de ce film.
Ce n'est vraiment pas le meilleur de Pierre Richard. Cela met beaucoup de temps à trouver son rythme pour se terminer très rapidement pour cause de fin. Quelques gags sortent du lot, mais à peine.
A réserver aux inconditionnels de Pierre Richard et/ou Aldo Maccione
A réserver aux inconditionnels de Pierre Richard et/ou Aldo Maccione
Aussitôt vue, aussitôt oublié tellement j’ai trouvé cette comédie très mauvaise. Quelle déception. Quand je repense aux rigolades devant LES FUGITIFS, LA CHÈVRE, etc.… je n’arrive pas à croire d’avoir vu ça. Bon, les 20 premières minutes ne sont pas si mal que ça. C’est là où j’ai eu mes seuls rires. Après par contre, ça devient catastrophique. Pierre Richard veut trop en faire. Et il ne faut pas confondre quantité avec qualité. Car à force, ça devient lassant. Les sketchs sont cramés de loin. Pour ne rien arranger, la réalisation fait amateur. Ce qui est dommage, c’est que de base le personnage joué par Pierre Richard est drôle avant de s’autodétruire. Cela est en partie dû à sa difficulté à interagir avec les autres acteurs. Ça ne fonctionne pas du tout. Il faut dire, ceux-ci ne sont pas bons. Bref, à part le début, il n’y a rien de bon à retenir.
Yetcha
On était bien fin 70 début 80... Mais là, NON, ça ne matche plus du tout. j'adore Maccione, j'adore Richard, les duos qu'ils ont fait m'ont plu. Maos là, ce n'est plus possible, c'est plat, pas drôle, lent, mou, parfois même agaçant... Plus jamais...
Vu et revu. Et quand on sait les navets et nanars qui sortaient à cette époque (je viens de me tapper Gros dégueulasse), on doit presque se resigner à considérer ce film de Pierrot comme un chef-d'oeuvre. Une fois de plus Aldo Maccione prouve que bien dirigé il peut être excellent. En plus quand on voit ce qu'il y a à l'affiche en ce moment, on ne peut être que généreux !
un film qui réunie Aldo maccione et Pierre Richard on ce dit cela vaux forcément le détour ?
Et bien non ce film ne veux pas le détour car le film ce regarde mais n'est pas drôle on ritnune fois dans le film dans une scène bien précice mais c'est plutôt faible pour un film qui ce faux comme une grand comédie et qui a plutot marcher au Box office.ce qui montre que la qualité ne marche pas toujours .
Des gags vraiment de faible niveaux voir même nul car si on vois que les 2 acteur ce démène corps et âme pour faire rire et font de leur mieux le film et trop faible même dans les dialogue pour nous faire . donc un petit plus pour le duo qui fonctionne lui bien et qui essaye comme j'ai dit de faire qui n'y parvienne pas . même les plus jeune pourrais ne pas apprécier. Mais a noter l'époque où on pouvais fumer dans les film , ne pas censuré la poitrine féminine comme c'est le cas maintenant ou le moindre petit truc et censurer et choque le monde .
Et bien non ce film ne veux pas le détour car le film ce regarde mais n'est pas drôle on ritnune fois dans le film dans une scène bien précice mais c'est plutôt faible pour un film qui ce faux comme une grand comédie et qui a plutot marcher au Box office.ce qui montre que la qualité ne marche pas toujours .
Des gags vraiment de faible niveaux voir même nul car si on vois que les 2 acteur ce démène corps et âme pour faire rire et font de leur mieux le film et trop faible même dans les dialogue pour nous faire . donc un petit plus pour le duo qui fonctionne lui bien et qui essaye comme j'ai dit de faire qui n'y parvienne pas . même les plus jeune pourrais ne pas apprécier. Mais a noter l'époque où on pouvais fumer dans les film , ne pas censuré la poitrine féminine comme c'est le cas maintenant ou le moindre petit truc et censurer et choque le monde .
Pierre Richard reprend sa casquette de réalisateur pour une comédie d'aventure dans le cadre « exotique » de la Tunisie. Là où Veber excellait en ce style avec « La chèvre », Richard se plante complètement. Richard n'est pas Veber et Maccione n'est pas Depardieu. De bonnes idées cependant, le film s'amuse en se moquant de ses propres codes (visant spécialement la comédie vaudevillesque), on retiendra l'excellente scène dans le placard où le vrai et le faux Georges Vallier s'amusent à deviner les « répliques » du mari jaloux duquel il se cache. En réalité, le spectateur doit se montrer patient car la mayonnaise prend très difficilement mais certaines séquences plus riches se savourent dans la deuxième partie. Quelques scènes que je n'oublierai jamais : Pierre Richard en arabe qui marchande pour finalement casser accidentellement toute la boutique, la scène de l'huissier de justice qui ne parvient pas à saisir car tous les meubles sont collés, la scène du gâteau d'anniversaire que Maccione doit apporter à sa conquête qu'il offre finalement à Pierre Richard remarquant que la fille est accompagnée du mari, etc... Là où le film perd des points (et pas qu'un peu), c'est dans le « too much », ça va beaucoup trop loin et ce « trop loin » a beaucoup vieilli. Le gag des divans gonflables qui se dégonflent les uns après les autres car Richard a un tournevis dans sa poche de derrière par exemple, la scène commençait bien mais finira par le dégonflement d'un type heurté par la fesse de Richard, le type se dégonfle ! Il se dégonfle en faisant des bruits de bouche hyper cheap, ce dernier sous-gag ruinant le gag de base. Et c'est souvent le cas. Le duo fonctionne moins bien que dans le précédent film, Maccione fait du Maccione et souvent ça ne prend pas. Ceci dit, ça nous fait toujours un bien fou de revoir notre blond crollé préféré à l'âge d'or de sa carrière, et la bonne humeur est au rendez-vous ! Un film mineur dans la carrière du cinéaste mais personnel et généreux.
Assez bonne comédie dans l'ensemble, grâce aux gags bien trouvés et bien joués de Pierre Richard. Des histoires de tromperies, de saisie, d'imposture et beaucoup de fuite et de quiproquos. En plus de situations ridicules et de méprise. On regrettera cependant que tout ne soit pas drôle ni forcément bien interprété. Il y a de bonnes idées à piocher, cependant.
AMCHI
Avouez qu'une comédie qui commence par une si sympathique musique signée de Cosma part sous les meilleurs auspices mais malheureusement cette comédie de Pierre Richard n'a rien de bien fameux à nous proposer d'ailleurs dans ses propres souvenirs il avoue que n'étant plus très inspiré pour faire des pitreries il a été peu concerné par ce film qui fit tout de même plus de 2 millions d'entrées à son époque ; il faut dire que comparer à certaines comédies françaises actuelles C'est pas moi, c'est lui n'est pas plus mauvais mais pour autant ce n'est pas du tout une réussite.
Le début du film est pourtant prenante et sans doute la partie la plus amusante notamment la scène ou il rencontre Aldo Maccione avec le coup des canapés gonflables mais le reste du film se passe en Tunisie ou les gags s'enchaînent mais font rarement mouches même si comme celui chez le potier est bien fait. Malheureusement on s'ennuie gentiment devant cette comédie sans véritable grand intérêt, les seconds rôles sont bien tenus notamment par une pétillante et mignonne Valérie Mairesse mais l'ensemble est un vaudeville peu enthousiasmant.
Le début du film est pourtant prenante et sans doute la partie la plus amusante notamment la scène ou il rencontre Aldo Maccione avec le coup des canapés gonflables mais le reste du film se passe en Tunisie ou les gags s'enchaînent mais font rarement mouches même si comme celui chez le potier est bien fait. Malheureusement on s'ennuie gentiment devant cette comédie sans véritable grand intérêt, les seconds rôles sont bien tenus notamment par une pétillante et mignonne Valérie Mairesse mais l'ensemble est un vaudeville peu enthousiasmant.
Yannickcinéphile
Malgré toute la sympathie qu’on peut avoir pour Pierre Richard et Aldo Maccione, force est de constater qu’ici ça ne fonctionne pas. Très peu de choses fonctionnent d’ailleurs.
Déjà, l’histoire ne tient pas du tout. Ok, il y a des comédies qui peuvent s’en passer, mais le concept de Richard, qui ici vire volontiers vers la comédie d’aventure ne le peut pas car c’est le seul liant qu’il pouvait trouver aux facéties désordonnées et sans cohésion auxquelles on assiste. On va dire que pendant 20 minutes ça se tient à peu près, et puis ensuite ça avance au petit bonheur la chance, au gré des gags que nous orchestre Richard.
Le souci c’est que l’humour fonctionne rarement. Répétitifs, souvent très rebattus (Richard cite pratiquement certains de ses propres films !), les gags semblent parfois vouloir parodier des genres comme le vaudeville, mais ça marche tellement peu qu’on dirait que ça se prend au premier degré ! Autant dire que le gag « amant dans le placard » au premier degré c’est plus du cliché ! En clair Richard loupe ses effets, avec de vrais ratages qui laissent parfois gêné car en plus l’acteur-réalisateur insiste volontiers, et s’enfonce d’autant plus (la scène avec les poteries). Pas drôle donc, balourd, et foutraque, là il y a un gros souci.
Le casting n’y peut pas grand-chose. Bien que charmante, Valérie Mairesse est très sous-utilisée, et Richard et Maccione monopolise l’écran. Si le second s’en tire pas mal dans un rôle qu’il connait par cœur (il joue pratiquement son propre rôle d’ailleurs), en revanche Richard n’est pas bon. Il tente de nous servir son personnage lunaire habituel, mais ici c’est forcé, ça manque de fraicheur, d’involontaire en fait. On sent qu’il fait exprès, et c’est très mauvais compte tenu de l’humour qu’il pratique, et qui consiste justement à faire oublier le côté joué. Quelques seconds rôles corrects mais très sous-utilisés là-aussi ne viendront guère rééquilibrer les choses.
Sur la forme, Ce n’est pas moi c’est lui utilise assez bien ses décors exotiques, et c’est là qu’on sent vraiment que le film lorgne vers le genre aventure d’ailleurs. Maintenant, la mise en scène de Richard n’est pas spécialement punchie ou inventive, et on se retrouve donc devant un joli album touristique, servit par une musique assez peu marquante, dans lequel il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent.
En clair, un ou deux gags à retenir, mais Ce n’est pas moi c’est lui est de loin le moins bon film de Pierre Richard qui s’enlise totalement ici, aussi bien comme réalisateur que comme acteur. Dommage pour Maccione et Mairesse, dommage aussi pour lui, mais là ce n’est réellement pas digeste. 1
Déjà, l’histoire ne tient pas du tout. Ok, il y a des comédies qui peuvent s’en passer, mais le concept de Richard, qui ici vire volontiers vers la comédie d’aventure ne le peut pas car c’est le seul liant qu’il pouvait trouver aux facéties désordonnées et sans cohésion auxquelles on assiste. On va dire que pendant 20 minutes ça se tient à peu près, et puis ensuite ça avance au petit bonheur la chance, au gré des gags que nous orchestre Richard.
Le souci c’est que l’humour fonctionne rarement. Répétitifs, souvent très rebattus (Richard cite pratiquement certains de ses propres films !), les gags semblent parfois vouloir parodier des genres comme le vaudeville, mais ça marche tellement peu qu’on dirait que ça se prend au premier degré ! Autant dire que le gag « amant dans le placard » au premier degré c’est plus du cliché ! En clair Richard loupe ses effets, avec de vrais ratages qui laissent parfois gêné car en plus l’acteur-réalisateur insiste volontiers, et s’enfonce d’autant plus (la scène avec les poteries). Pas drôle donc, balourd, et foutraque, là il y a un gros souci.
Le casting n’y peut pas grand-chose. Bien que charmante, Valérie Mairesse est très sous-utilisée, et Richard et Maccione monopolise l’écran. Si le second s’en tire pas mal dans un rôle qu’il connait par cœur (il joue pratiquement son propre rôle d’ailleurs), en revanche Richard n’est pas bon. Il tente de nous servir son personnage lunaire habituel, mais ici c’est forcé, ça manque de fraicheur, d’involontaire en fait. On sent qu’il fait exprès, et c’est très mauvais compte tenu de l’humour qu’il pratique, et qui consiste justement à faire oublier le côté joué. Quelques seconds rôles corrects mais très sous-utilisés là-aussi ne viendront guère rééquilibrer les choses.
Sur la forme, Ce n’est pas moi c’est lui utilise assez bien ses décors exotiques, et c’est là qu’on sent vraiment que le film lorgne vers le genre aventure d’ailleurs. Maintenant, la mise en scène de Richard n’est pas spécialement punchie ou inventive, et on se retrouve donc devant un joli album touristique, servit par une musique assez peu marquante, dans lequel il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent.
En clair, un ou deux gags à retenir, mais Ce n’est pas moi c’est lui est de loin le moins bon film de Pierre Richard qui s’enlise totalement ici, aussi bien comme réalisateur que comme acteur. Dommage pour Maccione et Mairesse, dommage aussi pour lui, mais là ce n’est réellement pas digeste. 1
Rien que le titre, on sait qu'on est en prèsence d'une comèdie avec Pierre Richard! Ce dernier est le « nègre » de ce que signe Georges Vallier, le vaudevilliste en vogue du cinèma français! Qui dit nègre dit esclave! C'est un peu la thèorie du second! Mais le « nègre » se rèvolte et cède à la tentation d'ècrire un scènario de film! Jusqu'ici, on est dans le convenu et le dèjà vu! Très mineur dans l'oeuvre de Pierre Richard, on lui prèfère nettement "Le distrait" ou "Les malheurs d'Alfred" qui avaient au moins le sens du rythme et du gag. "C'est pas moi c'est lui" n'apporte rien d'original mais il y a quelques passages amusants qui font passer la pilule sous le ciel bleu de la Tunisie : les canapès qui se dègonflent, la technique de mèditation au fond d'une piscine, les babouches avec le smoking...Aldo Maccione joue les « vilains clèbards » pour Valèrie Mairesse dont la voix et la bonne humeur font toujours aussi bon mènage! Quant à Vladimir Cosma, il signe une musique à la fois orientale et sympathique! Ne surtout pas en demander plus...
Comedie sympathique,rien de sensas, mais quelques gags qui font tout de meme mouche....Pierre Richard et Aldo Maccione s'en donne a coeur joie. Bien.
slt quelqun a la chanson qu'il ya dans le film a environ 1h16 les paroles je crois ..car tu es la plus belle ma petite isabelle.
merci
merci
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