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Votre avis sur Dark Angel ?
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Nicothrash
Encore un film culte de mon enfance ! Plutôt méconnu, ce Dark Angel offre un rôle sur mesure au géant Dolph Lundgren, l’occasion de le découvrir avec sa chevelure brune, tout comme pour The Punisher. Ce drôle de mélange entre policier, action et SF a pris un bon coup derrière la tête avec les années, notamment avec cet aspect buddy movie qui ne fonctionne qu’à moitié et ce script bien pauvre. Néanmoins, ça tabasse pas mal et le méchant, façon T1000, est plutôt efficace même si 35 après on se demande toujours ce qu’il voulait dire avec sa réplique culte : « Je suis venu en paix ». Courses poursuites, mandales, gunfights et punchlines moisies sont tous de la partie pour un divertissement qui a fait son temps mais qui reste regardable par nostalgie.
Excellent, on se marre bien, les gadgets sont innovants pour l’époque. Bonne action humour duo presque parfait .
"I Come in Peace !"
Du haut de son mètre quatre-vingt-seize, Dolph Lundgren a pourtant toujours évolué dans l'ombre des Sly ou Schwarzy.
Il aura fallu attendre la fin des années 80 ("Punisher") et le début des années 90 ("Dark Angel"), pour que le "géant suédois" trouve enfin le chemin des premiers rôles. Oublions "Les maîtres de l'Univers" et "Scorpion Rouge", qui n'étaient que des nanars alimentaires (avis perso). Dans "Dark Angel", un mix entre "Alien Nation" et "Terminator" à la sauce Dealers du cosmos, le détective Jack Caine (Lundgren), un flic un tantinet violent et taciturne au look rebelle, doit faire équipe avec un flic en costard un tantinet constipé (Brian Benben), aux méthodes plus que conventionnelles, pour mettre la main sur un alien vénère venu extraire de ses victimes, une hormone liquide, l'ingrédient principal d'une drogue spatiale. À l'aide d'un dispositif muni d'une tige d'acier et d'une seringue, notre E.T. psychopathe en récolte sa substance, laissant derrière lui, moult cadavres. Cet extraterrestre au doux sobriquet de Talec (Matthias Hues), se voit poursuivi par Azeck (Jay Bilas), un flic de l'espace. Celui-ci croisera le chemin des 2 flics et l'improbable trio partira à l'assaut du méchant humanoïde sans pour autant en oublier de foutre une bonne raclée à la mafia autochtone. Cette série B, testostéronée jusqu'à la moelle, aux dialogues philosophiques et aux scènes d'action ébouriffantes, se laisse voir ou revoir avec la douce sensation du petit palisir coupable !
Du haut de son mètre quatre-vingt-seize, Dolph Lundgren a pourtant toujours évolué dans l'ombre des Sly ou Schwarzy.
Il aura fallu attendre la fin des années 80 ("Punisher") et le début des années 90 ("Dark Angel"), pour que le "géant suédois" trouve enfin le chemin des premiers rôles. Oublions "Les maîtres de l'Univers" et "Scorpion Rouge", qui n'étaient que des nanars alimentaires (avis perso). Dans "Dark Angel", un mix entre "Alien Nation" et "Terminator" à la sauce Dealers du cosmos, le détective Jack Caine (Lundgren), un flic un tantinet violent et taciturne au look rebelle, doit faire équipe avec un flic en costard un tantinet constipé (Brian Benben), aux méthodes plus que conventionnelles, pour mettre la main sur un alien vénère venu extraire de ses victimes, une hormone liquide, l'ingrédient principal d'une drogue spatiale. À l'aide d'un dispositif muni d'une tige d'acier et d'une seringue, notre E.T. psychopathe en récolte sa substance, laissant derrière lui, moult cadavres. Cet extraterrestre au doux sobriquet de Talec (Matthias Hues), se voit poursuivi par Azeck (Jay Bilas), un flic de l'espace. Celui-ci croisera le chemin des 2 flics et l'improbable trio partira à l'assaut du méchant humanoïde sans pour autant en oublier de foutre une bonne raclée à la mafia autochtone. Cette série B, testostéronée jusqu'à la moelle, aux dialogues philosophiques et aux scènes d'action ébouriffantes, se laisse voir ou revoir avec la douce sensation du petit palisir coupable !
début assez intéressant comme je les aiment, avec ses aliens, pour une fois ce qui m'étonne beaucoup vue l'époque de ce film, il n'y avait pas de grande lumière aveuglante, ni de quelconque vaisseau spatiale pour la descente de ses aliens, ce qui était très populaires a l'époque, qui m'as fait pensé a des pseudos anges surtout avec la phrase ironique, et Dolph super mignon dans sa jeuneuse et son coéquipier Arwood Smith du FBI assez minuscule, barbant et intéressant a la fois, sa fidélité et son honnêteté envers ses supérieurs lui ont failli coûté la vie, la divergence entre eux donne l'air d'un vieux couple😂🤣😅 on dirait Goliath et David vu sa hauteur face a Dolph,😅🤣😂 j'adore Diane avec ses gifles que je trouve assez sexy! OMG ce docteur Bruce m'a fait beaucoup rire avec ce cris et son style, le Bad Alien j'adore son style, il est hyper bien dans le rôle, avec sa phrase super ironique "je viens en paix" la fin assez spectaculaire, l'alien est parti en éclat!
pierrre s.
Une série B très sympathique dans laquelle Dolph Lundgren a fort à faire face à un dealer extraterrestre. Ça se regarde avec plaisir et une certaine nostalgie.
Mignonne petite série B vintage à coupe mulet, un peu foireuse et nanardesque, cherchant à surfer sur le gros succès d'une autre série B de cette époque, finalement pas beaucoup mieux avec le recul. Hidden de 1987. Le tout remixé avec Alien Nation, une pointe nocturne de Terminator, et du buddy movie tendance Lethal Weapon, encore très en vogue à cette période. Coté scénario, ça ne casse vraiment pas trois patte à un canard. Mais sinon, c'est plutôt pas déplaisant à l’œil. Au contraire même. L'image peut arriver à certain moment, à dégager un gros cachet. L'histoire est bien rythmé. Bourré d'action explosive en boule de feu, et de destruction de bagnole à l'ancienne. Pour les connaisseurs, sachez que le score est du célèbre Jan Hammer. Et cerise sur le gâteau, l’ensemble baigne pour notre plus grand plaisir, dans une VF pittoresque et vulgaire comme on les aime, aussi gratuite et hilarante que bête à bouffer du foin. Au final un petit divertissement sans prétention. Inoffensif mais pas sans saveur ni rugosité. Pour peu que l'on soit de ces dernières générations de boomer, encore sensible aux séries B décérébrés et un peu fauché, de gros bourrin anabolisé des années 80. Bref, une bonne petite soirée Kro en perspective. Sans plus. Mais c'est déjà pas mal.
AMCHI
Je revois avec un certain plaisir cette série B que j'avais trouvé navrante lors de ma première vision, Dark Angel dont le titre original est I Come in Peace "Je suis venue en paix" phrase que répète inlassablement un dealer d'une autre galaxie débarquant sur Terre pour se fournir en drogue de manière particulière...il doit tuer pour cela mais il est poursuivi par un flic qui vient aussi d'une autre planète.
Seulement entre eux il y a Dolph Lundgren qui va se mêler de tout cela, il incarne un flic comme on en voyait à la pelle dans les années 80 (le film date de 1990) avec des méthodes bien lui à lui d'ailleurs à un moment donné il dit clairement à son nouveau coéquipier très porté sur la procédure qu'il s'en cogne du mandat d'arrêt et va foutre son pied et son coude dans la gueule des dealers.
Certains considèrent ce film comme un nanar mais ce n'est pas du tout le cas, il n'est pas assez médiocre pour être vu ainsi.
C'est du bis divertissant, surtout la dernière demi-heure très chargée en action, un film sans prise de tête pas du tout désagréable à mater le temps qu'il dure.
Seulement entre eux il y a Dolph Lundgren qui va se mêler de tout cela, il incarne un flic comme on en voyait à la pelle dans les années 80 (le film date de 1990) avec des méthodes bien lui à lui d'ailleurs à un moment donné il dit clairement à son nouveau coéquipier très porté sur la procédure qu'il s'en cogne du mandat d'arrêt et va foutre son pied et son coude dans la gueule des dealers.
Certains considèrent ce film comme un nanar mais ce n'est pas du tout le cas, il n'est pas assez médiocre pour être vu ainsi.
C'est du bis divertissant, surtout la dernière demi-heure très chargée en action, un film sans prise de tête pas du tout désagréable à mater le temps qu'il dure.
Un film sympathique où il y a de l'humour et des idées avec un mélange science fiction et policier assez réussit. Mais le tout baigne dans un déluge d'explosions et de violences d'armes à feu ce qui en fait un troisième aspect qui aurait pu être atténué à mon sens pour en faire un film vraiment original.
Film d'action où l'on suit un flic et son coéquipier de circonstance traquer un extra-terrestre traquant lui-même un extra-terrestre. Les répliques sont parfois lourdes, mais le film, années 90 oblige, se visionne tranquillement et sans prise de tête. Rien de terrible, ça se regarde.
Bonne petite série B bien encrée dans les années 80, le film a particulièrement mal vieillit aujourd'hui et beaucoup d'éléments (les 2 extra-terrestres par exemple) paraissent bien ridicule. Néanmoins pour les aficionados de cette époque ça reste un film sympa à regarder et Dolph Lundgren n'est pas si mauvais.
Loin d'être un film parfait, Dark Angel est un mélange entre Terminator et l'Arme Fatale assez farfelue. Le film a été doublé dans une approche remarquablement vulgaire avec des dialogues injurieux et gratuits qui tendent à donner une identité ancrée à la sauce nanard et années 80. Dark Angel ne laisse pas indifférent pour rigoler de plans ratés, de musiques au synthétiseur et de certains passages quand même bien barges. Bref un film au charme assez sympathique.
Léger, mais vu que c'est de la SF et qu'il y a Dolph qui joue, je serais clément. Je comprends ceux qui ont mis 1 étoiles ."Je suis venu en paix" : la phrase qui fait rire ! Le géant dealer tue les humains mais il est venu en paix d'après lui ! Bizzarre, non ?
Yannickcinéphile
Dark Angel c’est un de ces films un peu ancien maintenant, toujours sympa à regarder par sa roublardise, sa générosité, son côté bourrin et bon enfant que n’aurait pas renié un Mark L. Lester. Pas un grand film, mais la certitude de passer 1 heure 30 plaisante.
Le casting oppose deux géants, Dolph Lundgren et Matthias Hues. Moins connu que Lundgren, ce dernier est néanmoins efficace dans son rôle d’alien méchant, vu qu’il lui faut surtout jouer de sa carrure et qu’il n’en manque pas ! Lundgren a un rôle bien plus consistant, et il trouve ici un de ses rôles les plus sympas, épaulé par un Brian Benben qui contraste fort avec lui. Clairement Dark Angel a des allures de buddy movie, comme c’était la mode à l’époque. Autour de ces acteurs on regrettera un rôle féminin faiblard, mais pas forcément à cause de l’actrice, surtout car on ne lui laisse pas une bien grande place pour s’exprimer.
Le scénario est surtout porté par son rythme. Dark Angel c’est la certitude d’avoir beaucoup d’action, quelques répliques qui font mouche, un peu d’humour, et cela sans se prendre la tête avec une histoire plus rigolote que franchement crédible. Un peu redondant parfois et pas très finaud, Dark Angel a cependant le mérite de la générosité et de ne pas s’embarrasser de scènes qui s’étirent en longueur.
Visuellement le film retient l’attention par quelques curieuses idées, notamment le fameux frisbee décapitant de l’affiche ! C’est fait avec du petit budget manifestement, mais l’action est bien là, avec quelques très bonnes scènes pyrotechniques, c’est vigoureux, Baxley signant une mise en scène pertinente, étonnement dynamique pour quelqu’un qui, par la suite, s’est un peu trop enlisé dans les mini-séries interminables ! Dark Angel a une certaine esthétique un peu punk par certains aspects, et surtout très urbaine qui saura séduire les amateurs, et la bande son aurait même pu être plus rock and roll pour convaincre davantage.
Au final, Dark Angel est un film punchie et divertissant. A mon sens c’est l’une des meilleures séries B des années 90, qui aurait mérité d’être plus fluide, un peu plus consistante, et de disposer d’un budget un peu supérieur. 4.
Le casting oppose deux géants, Dolph Lundgren et Matthias Hues. Moins connu que Lundgren, ce dernier est néanmoins efficace dans son rôle d’alien méchant, vu qu’il lui faut surtout jouer de sa carrure et qu’il n’en manque pas ! Lundgren a un rôle bien plus consistant, et il trouve ici un de ses rôles les plus sympas, épaulé par un Brian Benben qui contraste fort avec lui. Clairement Dark Angel a des allures de buddy movie, comme c’était la mode à l’époque. Autour de ces acteurs on regrettera un rôle féminin faiblard, mais pas forcément à cause de l’actrice, surtout car on ne lui laisse pas une bien grande place pour s’exprimer.
Le scénario est surtout porté par son rythme. Dark Angel c’est la certitude d’avoir beaucoup d’action, quelques répliques qui font mouche, un peu d’humour, et cela sans se prendre la tête avec une histoire plus rigolote que franchement crédible. Un peu redondant parfois et pas très finaud, Dark Angel a cependant le mérite de la générosité et de ne pas s’embarrasser de scènes qui s’étirent en longueur.
Visuellement le film retient l’attention par quelques curieuses idées, notamment le fameux frisbee décapitant de l’affiche ! C’est fait avec du petit budget manifestement, mais l’action est bien là, avec quelques très bonnes scènes pyrotechniques, c’est vigoureux, Baxley signant une mise en scène pertinente, étonnement dynamique pour quelqu’un qui, par la suite, s’est un peu trop enlisé dans les mini-séries interminables ! Dark Angel a une certaine esthétique un peu punk par certains aspects, et surtout très urbaine qui saura séduire les amateurs, et la bande son aurait même pu être plus rock and roll pour convaincre davantage.
Au final, Dark Angel est un film punchie et divertissant. A mon sens c’est l’une des meilleures séries B des années 90, qui aurait mérité d’être plus fluide, un peu plus consistante, et de disposer d’un budget un peu supérieur. 4.
Caine78
La scène d'introduction a de quoi légèrement surprendre, et bien que tout cela reste souvent ô combien basique, ne serait-ce que pour son pitch foncièrement improbable (euphémisme), « Dark Angel », malgré toutes ses limites, délivre une sorte de charme étrange, son visuel typique des années 90 et ses sonorités électro lui donnant quelque chose de rigolo et même assez sympathique, ne serait-ce qu'à travers ce duo de flics qui, aussi prévisible soit-il, provoque quelques sourires. Après, difficile de faire l'impasse sur ce côté assez fauché et un « bad guy » extraterrestre finissant par sombrer dans le ridicule, mais bon, pour les amateurs de nanar pas prise de tête, cet état d'esprit très « B » force l'indulgence, même le lourdaud Dolph Lundgren devenant de plus en plus à l'aise sur la durée. Ce n'est pas du bon cinéma (le plagiat de « Terminator » n'est parfois pas loin!), mais pour une soirée sans prise de tête entre potes, les amateurs devraient s'y retrouver.
Cet ange sombre est pas mal du tout, j'ai rigolé sur certaines scènes et dialogues, mais il remplit son rôle de divertissement, Dolph Lungren et la copie conforme de Kevin Costner/Mark Harmon s'en sortent bien !
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