J’avais vue la nullité du remake de 1997 qui m’a donné envie de voir cet original, je ne peut-être qu’insatisfaite. Une très mauvaise réalisation qui ne vaut pas un clou, la mise en scène a été un défilé en accéléré, le scénario alambiqué objectif ciblé, l’attentat sur la haute personnalité des plus protégés, le président de la république française. Par qui ? Une organisation action top secrète armée nationaliste enragé bleu marin, les ultra-français terribles enfants de cœur comparés à la situation pendant la guerre d’Algérie jusqu’à l’indépendance, avec « du sang et des larmes ». Ils ne supportèrent par que leur colonie départementale imposée suive une voie séparément sans la tutelle France mère patrie laitière. Le tueur pro engagé pour élimer ce président mal aimé, l’histoire du militaire président par sa prestance lointaine mais la ressemblance s’arrête là, un pèlerinage lors du défilé 14 juillet hymne marseillais instrumentalisé, puis à la messe prière en faveur de la cathédrale Notre Dame, gâtée et consolée en compensation des bobos d’actualité, celui qui fit son discours sur la France chrétienne et sa gloire coloniale d’outre-mer. Il y a toujours une similitude entre les deux films, c’est le principe du remake, le personnage du « chacal » français et l’autre joué par Bruce Willis ont ce stéréotype qui leurs collent à la peau, l’équivoque sexualité, froid sans pitié aucun remord pour liquider les belles madames précédemment abordées, la ressource frustrante refoulée des idées claires au bain turc sauna. J’apprends que les français dans cette réalisation franco-britannique molle du genou sont anglophones, même les vielles parisiennes avisées, connaissant leur légende culturelle, des cancres ne sachant manier cette langue internationale, excepté notre cher président qui appris sa leçon divine à l’école financière. Les États-Unis CIA et la France DGSE, l’ingérence d’Amérique du Sud à l’Afrique du Nord, deux poids deux mesures. Les anciennes voitures Peugeot Citroën Renault, les larges rues des années 60-70, j’ai des doutes concernant la sécurité gruyère en ces temps peu éclairés et les policiers gendarmes époque képi appartenant jalousement au général Charles De Gaulle, un nom d’aristocrate tout préparer pour diriger ce pays fait pour l’inscrire dans l’histoire. Un appel radio londonienne dont le pamphlet résistance contre l’occupation soumise sous le régime Vichy l’eau gazeuse salée, viendra patiemment s’effondrer à la libération le propulsant jusqu’au sommet du toit de la vielle France.