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    La Vie est belle
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    Game-Of-Television
    Game-Of-Television

    30 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2014
    Vu pendant la période des fêtes de Noël, pour la toute première fois et bien entendu dans sa version originale sous-titrée. Je comptais vraiment le voir, ce fameux ''Wonderful Life'', et je n'ai pas été déçu une seule seconde, il est magnifique de A à Z. Malgré l'époque de sa sortie en salle (1946 quand même...), la réalisation, la musique, la puissance des acteurs, la magie du scénario, la vérité, l'horreur et l'amour développés talentueusement dans ce film on provoqué un raz-de marré dans mes yeux, jusqu'à en être ému aux larmes tellement le final est indescriptible de beauté et de bon sens. Bref, des scènes et des répliques inoubliables et cultes accompagnées par un humour charmant et accessible pour tout le monde, ''It's a Wonderful Life'' est bel et bien .. et restera, un chef d'œuvre du septième art, et dorénavant l'un de mes films préférés un grand bravo à Frank Capra pour cette merveilleuse pépite.
    Daniel C.
    Daniel C.

    133 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    Voir ce film le 24 décembre à l'ultime séance, c'est une sorte de happening, un peu comme si les spectateurs présents s'inscrivaient dans un décalage par rapport à l'institution du réveillon de Noël. Quelle magnifique aventure que cette histoire de lien, de transmissions, de solidarités. La cupidité est incarnée par un infirme, qui méprise la populace et entend l'asservir en les maintenant dans des taudis, dont les loyers l'enrichissent. Cela a l'air un peu caricatural énoncé ainsi, mais la subtilité, c'est cette banque solidaire, coopérative, qui permet aux habitants modestes d'accéder à la propriété. Une banque à l'abri du profit, où l'épargne enrichit chacun. Le profit est collectif, c'est le crédit accordé à chacun, crédit numéraire, mais aussi crédit au sens de la confiance accordée lors de la contractualisation d'un crédit. L'un est mû par l'appât du gain, l'autre par la joie de voir la condition humaine s'améliorer. Le projet de vie de Georges Bailey (James Stewart) n'était pas celui là, mais la mort de son père et le caractère tordu d'Henry Potter, vont le conduire à remanier sa trajectoire. Georges s'implique dans sa vie sociale, conjugale, puis familiale, il en prend le risque et en paye le prix. Merci monsieur Capra pour ce beau moment de cinéma.
    alain-92
    alain-92

    308 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    Vu, revu à revoir. Un de mes films préférés. Un véritable chef d'œuvre réalisé par le maître Frank Capra. Tout est synonyme de génie dans ce film. L'histoire, les dialogues, la musique, la magie des décors. Un casting magnifique. Avec en tête le couple James Stewart et Donna Reed. Une réalisation inoubliable. Ne vous privez d'un grand bonheur de cinéma. Un magnifique cadeau en cette période de fêtes !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 décembre 2014
    Réalisateur talentueux mais habitué aux films de commande, Frank Capra allait subir un échec commercial, en 1946, avec La vie est belle, le premier de ces films à être produit par sa propre maison de production, Liberty Films. Les films suivants ne fonctionneraient pas davantage et marquerait la fin de carrière du cinéaste. Ironie du sort, La vie est belle est aujourd’hui considéré comme un véritable classique, le mètre-étalon de la comédie américaine. Le Mardi 16 Décembre, La vie est belle était rediffusé en version restaurée dans les cinémas Pathé. Retour sur un chef d’œuvre mêlant drame, comédie et fantastique avec la virtuosité des grands maîtres.

    George Bailey (James Stewart) est un homme bon et honnête qui ne souhaite qu’une seule chose, devenir ingénieur, créer de grandes et belles choses aux services des hommes et parcourir le monde. Malheureusement pour lui, dans sa ville natale de Bedfords Falls, tout concourt à l’en empêcher.Son père, Peter Bailey (Samuel S. Hinds) est un petit entrepreneur de construction qui octroi des prêts très avantageux aux habitants de sa ville et qui est très libéral avec les impayés. À sa mort, le magnat de la finance, M. Potter (Lionel Barrymore) tente de racheter la société. Pour ne pas laisser la ville aux mains de ce requin, George abandonne ses ambitions et reprend l’affaire familiale. C’est grâce au soutien sans faille de sa femme, Mary Hatch (Donna Reed), de son ange-gardien Clarence Oddbody (Henry Travers) et de toute la communauté que George surmontera toutes les difficultés.

    D’emblée, le film s’ouvre comme une fable fantastique. Dieu et Joseph, symbolisés par des étoiles distinctes sur la voûte stellaire discutent du sort de ce brave George Bailey. Ils convoquent Clarence Oddbody, un ange de deuxième classe et lui confie la mission d’aller aider le pauvre hère. Celui-ci pourra gagner ses ailes s’il réussit son objectif, prouver à George à quel point sa vie simple est spectaculaire. Par une série de flash-back successifs, Clarence est mis au courant, ainsi que le spectateur, des événements marquants de l’enfance de l’héritier Bailey. En toutes circonstances, George aide son prochain sans jamais y rechercher un avantage, juste comme ça, parce que c’est un chic type. C’est après la mort de son père que le récit fait une éclipse pou revenir dans le dernier quart du film avec l’arrivée de l’ange-gardien. Nous suivons désormais George dans son histoire d’amour avec Mary Hatch et dans sa lutte contre M. Potter, le financier cynique.

    La vie est belle, c’est d’abord une magnifique romance. Capra parsème son scénario de moments terriblement touchants, insistant sur une certaine prédestination amoureuse des deux tourtereaux. Lorsqu’il est enfant, sauvant son petit frère Harry (Todd Karns) des eaux glacées d’un lac gelé, George perd l’audition d’une oreille. N’importe qui fondra sous l’émotion lorsque la jeune Mary lui susurre à l’oreille qui n’entend pas « je t’aimerais pour toujours, George Bailey » ou lorsque George, juste avant le départ de Mary pour l’université, lui promet d’attraper la lune au lasso pour lui offrir. Dans l’amour même qui unit George et Mary se niche la plus pure des noblesses. C’est un amour désintéressé qu’aucun tracas de la vie ne pourra rompre. Dans les moments les plus durs ou les plus tristes, le couple trouve toujours le moyen de rebondir, de trouver de la beauté dans les plus petits choses. C’est une véritable célébration de la vie.

    La vie est belle, c’est aussi l’histoire des vingt années qui séparent la grande crise de 1929 des premières années post-seconde guerre mondiale. C’est sûrement ce qui a valu à Capra un désamour certain à la sortie du film. Quelques-uns le taxèrent de communisme tant il dénonçait avec vigueur l’amoralité et la corruption des élites capitalistes. Toutefois, l’opposition qui habite La vie est belle n’est pas celle du communisme contre le capital, mais celle de petits entrepreneurs honnêtes contre celle de trusts accumulant des richesses confisquées aux plus pauvres et inutiles à la société. C’est sur le plan de la morale que se situe le combat, c’est celui du pot de terre contre le pot de fer. Capra énonce que seul le travail doit-être rémunéré et non pas le capital. Par une pirouette assez marrante, il fait dire à son héros qu’il ne comprit jamais comment un homme bon comme son père avait pu monter une affaire fonctionnant sur l’usure.

    Capra, par contre, raconte une histoire que l’Amérique d’après-guerre capitaliste voudrait oublier et que les puissants voudraient réécrire. Cette Histoire écrite par les vainqueurs qui a longtemps minimisée le rôle de la finance déjà folle à l’époque, car mécaniquement inique, dans les malheurs du monde dans les années trente et la seconde guerre mondiale. Sans les malversations d’une poignée de traders, de financiers et de banquiers crapuleux, les nationalismes européens auraient-ils étaient aussi exacerbées ? N’est-ce pas à la faveur d’une nouvelle crise, de nos jours, toujours instrumentalisée par la même caste, que nous voyons l’extrème-droite phagocyté nos démocraties ? Comme pour la crise des surprimes et l’éclatement de la bulle immobilière, M. Potter n’essaie-t-il pas de racheter à prix d’or les dettes des citoyens de Bedfords Falls ?

    Sortie à une époque où les États-Unis voulaient oublier les heures sombres de son histoire et où les politiciens désignait déjà de nouveaux boucs émissaires préparant une guerre pas si froide, La vie est belle tentait de rappeler à ces contemporains que le salut n’était pas dans les illusoires solutions de M. Potter mais dans la droiture, la solidarité et la fraternité. Il redonnait par là, son sens premier à un message chrétien galvaudé par la bourgeoisie paternaliste. Aujourd’hui, plus que jamais, La vie est belle résonne comme un hymne à la vie et à la dignité mettant en avant la valeur inestimable de chaque vie là où d’autre voudraient n’y voir que des monnaies d’échanges.

    Retrouvez nos autres critiques sur Une Graine dans un Pot :
     Kurosawa
    Kurosawa

    525 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Avant de délivrer sa morale au caractère universel, "It's a Wonderful Life" est d'abord la vie d'un homme, celle de George Bailey. Courageux, sympathique et dévoué aux gens qu'il aime, il représente les grandes vertus humanistes prônées par Capra. Il est celui qui lutte face au cynique Henry Potter (ce dernier illustrant à la perfection le capitalisme à outrance et son échec) en maintenant à flot l'entreprise familiale de son père ; celui qui tente de séduire la belle Mary Hatch; et enfin celui sans qui la vie aurait été un cauchemar pour un bon nombre d'habitants de Bedford Falls. Ancré dans une réalité socio-économique très forte (avec notamment une évocation de la Grande Dépression), le film se ressert petit à petit sur son héros, interprété par un James Stewart bouleversant qui sait autant nous faire rire dans des scènes euphorisantes à souhait que nous bouleverser dans des moments beaucoup plus graves. La magie de Capra opère donc à merveille, nous mettant dans un état émotionnel parfois indescriptible, avec cet optimisme qui nous donne envie de croire que, plus que jamais, la vie est belle.
    Tavsan
    Tavsan

    3 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Je n'y peux rien, mais ce film magnifiquement construit me fait pleurer à chaque fois. Il y a une superbe émotion. Les acteurs sont formidables. Je me lasse pas de le voir et de le revoir.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    231 abonnés 2 809 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2014
    Un grand film de Capra, dont le propos déborde d'optimisme (largement compréhensible vu le contexte de l'époque). Si l'on peut regretter quelques longueurs, il faut en revanche souligner la performance majuscule des acteurs du film, à commencer par James Stewart, impeccable d'un bout à l'autre. Bâti sur des idées simples, le scénario progresse sans à-coups, jusqu'à un final tout en émotion. On ne compte pas le nombre de séquences et d'astuces scénaristiques qui seront repompées jusqu'à plus soif par tous ceux qui aborderont le genre. Une référence incontestable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2014
    Dans mon top 10 de mes films préférés ! Incontournable dans une cinémathèque ! Le genre de film qui honore Le Cinéma et son rôle dans la société,le genre de film qui vous rend meilleur, qui vous font devenir cinéphile,....Frank Capra est surement le plus humaniste de tous les cinéastes.
    Cinememories
    Cinememories

    448 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 décembre 2018
    De toutes les majestueuses œuvres qui composent la filmographie de Frank Capra, celle-ci est de loin la plus personnelle et la plus touchante. C’est un soir de Noël, un soir de fête et un soir de retrouvaille qui aura pour objectif de nous réconcilier avec tout ce que l’on possède, mais plus important encore, avec tout ce que l’on représente pour autrui. Il véhicule ces valeurs avec une qualité artistique irréprochable dont il a le secret. Il n’y a pas de mouvement inutile du cadre qui nous sortira de cette aventure féérique, pleine d’amour et d’espoir. Le modeste conte de Noël amène ainsi des leçons de vie universelle qui mette à profit l’âme et la raison qui alimente notre aura.

    La sagesse et la bonté sont deux qualités et défauts qui feront basculés George Bailey dans la souffrance. Mais avant d’en arriver là, il est important de souligner son parcours méticuleux. Il est comme tous ces hommes qui sont généreux et qui ne cherchent rien d’autre qu’à partager. Il ne demande rien à retour, si ce n’est la confiance. James Stewart l’interprète alors avec tout ce qu’il fallait en nuance afin que l’empathie nous saisisse immédiatement. Ses maladresses et sa naïveté sont communes à tous et bien que son lyrisme finisse par atteindre sa tendre et bien-aimée Mary Hatch (Donna Reed), il ne devient pas une caricature du peuple ou alors d’un personnage pour qui la vie se doit d’être vécu. On nous l’introduit non pas comme un bienfaiteur, mais comme un innocent, comme chacun à sa naissance. Et la magie prendra peu à peu forme dans sa vie. Son parcours s’avère logique et ses ambitions semblent intouchables. Mais le drame viendra interrompre ces moments de comédie et de romantisme, qui nous conviendrait presque à une fermeture de rideau.

    Toute la justesse passe par cette étape qui mélange les genres. Il ne sera pas difficile de comprendre les enjeux, car même le premier enfant qui ne sait ni lire ni écrire, aura l’ingéniosité et la subtilité d’apprendre comme fonctionne l’œuvre. Habile dans cette démarche, le metteur en scène italien saisit le contre-pied qui enferme le personnage dans son passé. Et à ce moment-là, c’est le présent du spectateur qui est cristallisé et qui est inconsciemment confronté à celui du héros. Lui-même est confronté à l’absence d’une paternité protectrice et devra se remettre en question, d’où certains nœuds scénaristiques qui n’hésiteront pas à nous provoquer afin de mieux nous émouvoir. Il sera aisé de se placer derrière les bonnes intentions de ce père de famille, de cet homme de tous les jours, de cet homme de « toujours ». Le « système » ne doit alors plus avoir d’impact sur l’humanité et c’est à la croyance de se manifester afin de sauver ce soir de Noël, où George fera face à ses propres démons et ses propres anges gardiens. La peur de quitter le meilleur des mondes est un risque à courir si l’on souhaite préserver l’instant.

    « La Vie Est Belle » est comme son nom l’indique. Le film évoque et rassure dans son discours. Aucun homme n’est un raté, quel que soit sa classe sociale, ses problèmes, ses opinions, car il faut parfois savoir chérir ce qu’il n’est plus possible de rattraper. Le travail de toute une vie est d’atteindre ce bonheur qui conquit par sa justesse et son dénouement tire-larme. Le bonheur est un sentiment que Capra adoube avec fierté et sans concessions. Il s’agit de notre cadeau de Noël, à nous spectateur qui sommes là en train de regarder le destin d’un homme malmené par des situations de vie qui nous sont voisines. On nous fait prendre conscience du plus important en ce monde et il suffisait juste d’être là pour être heureux.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    687 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 août 2014
    Au dire de certaines personnes, "La vie est belle" est le meilleur film de Frank Capra et vu le résultat final j’ai bien envie de les croire bien que ce soit seulement le troisième film que je visionne de ce metteur en scène. Car une chose est sûr, c’est que ce film nous donne le sourire et une certaine joie de vivre après le générique de fin. L’histoire est vraiment très belle, le couple que forme James Stewart et Donna Reed est particulièrement attachant grâce évidemment aux formidables prestations des deux comédiens et la mise en scène de Frank Capra fait preuve d’une justesse comme on en voit malheureusement presque plus aujourd’hui. A noter aussi la très bonne prestation de Lionel Barrymore dans le rôle de cet homme avide d’argent et de pouvoir et la présence d’une superbe BO de Dimitri Tiomkin. Bref, cette comédie dramatique s’impose comme étant un des chefs-d’œuvre du cinéma américain des années 1940.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 juillet 2014
    Un film à portée philosophique qui nous fait prendre conscience de la richesse et de l'opportunité qu'est la vie. Si ce film possède une dimension religieuse, les athées se réjouiront tout de même car l'intervention divine est ici sans importance, puisqu'elle permet simplement à George Bailey de se rendre compte de la chance d'être en vie malgré tous ses ennuis financiers ou sociaux. C'est la prise de conscience qui compte et non le moyen d'y parvenir. Frank Capra est en fait notre ange Clarence car son film remplace le rôle de l'intervention divine en nous montrant la voie vers le Bonheur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 mai 2014
    En regardant ce film je découvrais "le génie Capra" et je dois bien avouer que j'ai été profondément déçu. J'ai trouvé ce film finalement assez mièvre et très convenu (un gentil héros qui surmonte tous ses petits malheurs grâce à son ange gardien, le bon soldat américain qui revient tout heureux de la Seconde Guerre Mondiale et qui est accueilli comme un héros). Et surtout j'ai aussi était très déçue par la performance de Stewart que je n'ai pas trouvée exceptionnelle...
    _domimi_
    _domimi_

    8 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 avril 2014
    Un conte humaniste par essence (parti pris assumé par Capra). Performance majuscule de J. Stewart.
    S'il ne vous redonne pas espoir en la bonté de l'Homme (au moins le temps du film), on ne peut plus rien pour vous :) !
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    244 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2014
    "La vie est belle" est un beau conte de Noël, drôle et léger. Un classique immanquable signé Franck Capra, qui vaut surtout pour sa dernière partie, à partir du moment où l'ange apparaît. James Stewart campe un personnage atypique, un banquier altruiste rongé par la tristesse quand arrive un petit malheur. La fin est très très belle, bien qu'un peu naïve.
    antony Z.
    antony Z.

    68 abonnés 1 038 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2014
    Sublime fable sociale et fantastique sur fonds mélodramatique. Certain diront que c'est une utopie que de croire en un tel dévouement envers les autres et de ce fait prendront le film comme une farce et le considéreront comme une guimauve. D'autres, comme moi, se laisseront emportés par l'émotion et le message d'espoir qu'apporte ce film. La beauté de cette fable et la réponse à qu'est-ce que la vraie richesse? elle dépend de tout à chacun. Qu'est-ce le plus important? S'enrichir (seul) à défaut des autres en étant dépourvu de moral,de scrupules, d'amour et de tout ce qui fait la "richesse" d'un être humain ou faire le bien autour de soi et être accompagné? Avoir la possibilité de transformer des vies par sa propre influence, de les rendre meilleures, d'apporter à sa communauté... Ce film nous rappel cela et nous suggère de savoir apprécier la vie tout simplement et de tout ce dont on bénéficie! Les acteurs y sont excellent dans leurs rôles et le montage très intéressant notamment sur la manière de raconter l'histoire. De très nombreux films ou séries font références à ce grand classique du cinéma. Il figure dans le top 100 de l'American Film Institute. Le propos du film est d'autant plus vrai de nos jours où au contraire d'avoir évolué positivement, le contexte sociale s'est gravement dégradé. La cupidité, la vanité ont pris le dessus sur les valeurs de partage, d'entraide...
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