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    Le Violon
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    3,8
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    31 critiques spectateurs

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    nisami
    nisami

    9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2022
    Très beau film, trèsd ur mais si criant de vérité, la guerre dans toute son horreur et sa barbarie, le violon ne soulignant qu'une touche d'humanité devant tant de cruauté, âme sensible s'abstenir.
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2018
    Pas du tout le film États-Unien avec héros qui prévalent d'incroyables difficultés. Pas de pouvoirs supers ici. Seulement des résistants qui souhaitent avoir des armes.
    Loann B.
    Loann B.

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2018
    Un bon film en noir et blanc qui se déroule au Mexique. Dans une ambiance de guérilla dont le but est de renverser le gouvernement, l'histoire évolue autour du personnage attachant Don Plutarco et de son violon. Élément central du film, l'instrument de musique amène une dimension originale, un plus qui fait beaucoup. spoiler: Une fin tragique qui rompt avec la fin classique où "tout est bien qui finit bien" et révèle une réalité plus cruelle
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 août 2010
    J'ai beaucoup aimé ce film, c'est du Rulfo en images, et c'est un film qui parle d'aujourd'hui. J'apprécie l'économie des dialogues (les regards, les attitudes, en disent autant), la sagesse des propos (la traduction hélas ne rend pas compte de ces métaphores paysannes), une histoire vraie comme il en arrive dans les guerres oubliées de l'Amérique latine. Un petit bijou.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mars 2009
    Le réalisateur du Violon a sans doute vu Soy Cuba. Il en reproduit le noir et blanc magnifique et une formalisme assumée qui impressionne certes mais laisse froid
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 mars 2009
    Confrontation ardente entre un vieux violoniste révolutionnaire et un militaire mélomane dans un pays en proie à la dictature. Un film en N&B sublime, hymne à la musique et à la lutte éternelle pour la liberté
    Travis.B33
    Travis.B33

    40 abonnés 724 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2009
    Je l'ai trouvé moyen car le film est bien mis en scène,touchant mais cependant la fin m'a un peu déçu,j'aurai voulu que cela se finie bien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juin 2008
    Ce film avait été présenté en 2007 à Cannes (Un certain regard), il y a été présenté à nouveau cette année (Vision sociale). Entre temps Don Angel Tavira a obtenu le prix du meilleur acteur dans un autre festival. Rien que pour la prestation de ce formidable acteur (musicien professionnel de 82 ans, mais pas acteur professionnel) il faut voir ce film, par ailleurs vibrant hommage à "los olvidados" d'une manière générale puisque le réalisateur, volontairement dit-il, ne situe pas précisément l'action : elle peut se situer n'importe quand durant la période des guérillas des fermiers contre l'armée dans n'importe lequel des pays d'Amérique latine où ces horreurs ont été perpétrées. Un film sombre et terrible où on est pris à la gorge dès la première séquence et dont on ne ressort pas indemne...
    didbail
    didbail

    30 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2008
    Dans un somptueux noir et blanc contrasté, Francisco Vargas nous conte une bien belle histoire où s'entrecroisent poésie et éclairs de violence.
    BURIDAN
    BURIDAN

    21 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2007
    Contrastes violents des noirs et des blancs lorsqu’il s’agit de scruter les visages et la terre brulée! La caméra à l’épaule utilisée comme une arme ! Il faut faire jaillir l’âme de ce peuple asservi, abusé, torturé, violé en toute impunité par une armée cliquetante de breloques, grossière, vulgaire et lourde, lourde, lourde comme une bête féroce. Point n’est besoin de dire la terre où cela se passe… Qu’importe ! L’injustice et l’arbitraire règnent. Des pays dont on ne parle pas au 20 h de TF1 ! Est-ce la nature des hommes ? Que faire sinon se battre ? Sortir les machettes, organiser la défense des plus faibles. Soutenir la guérilla !
    Il y a le peuple et son maigre quotidien. Chassé de son village, pillé et tué encore de son par les fronts butés de l’armée. Il y Plutarco, vieil homme et son violon. Il chemine pour joindre son fils et son village vidé par la soldatesque. Les paysages, en plan fixe, les seuls qui soient emplis des douceurs grisées de l’aube et du soir, voient le vieux musicien et sa mule cheminant. Il y a le capitaine qui confisque le violon de Plutarco. Tête carrée, mussolinienne. Il s’essaie au grattage des cordes : cacophonie… Plutarco accepte de jouer pour lui les jours suivants… Une « casquette» pourrait-elle ressentir quelque chose d’humain ? La musique est aigre, maigre, fragile comme le vieillard qui la fait naître ! La caméra donne à voir l’apparente proximité morphologique et la phénoménale distance psychologique des deux hommes face à face…
    La guerre est plus têtue, plus violente encore que le lien qui semble les unir un moment…
    Qu’importe le petit fils de Plutarco, guitare à la main, chants de révolte à la bouche, accompagné d’une gamine orpheline comme lui, continuera le combat pour la liberté
    Francisco Varga nous offre à voir une réalité absurde, injuste et surréelle illustrée par de magnifiques images et par une musique simple, authentique qui ne nous quitte pas de sitôt. Il y a du Chaplin, du Buñuel chez ce réalisateur! Génial!
    fredhiver
    fredhiver

    28 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2007
    De prime abord nous sommes saisis. Le noir et blanc, on a beau s’y attendre, ça dépayse, à l’heure où les télés racoleuses remisent à des heures nocturnes ces joyaux de la photographie. Un peu de courage au départ nous fait apprécier les ombres et lumières et les contrastes du noir et blanc qui offrit des chefs d’œuvre au cinéma. Mais avec ce « Violon », c’est bien d’une œuvre contemporaine qu’il s’agit, même si volontairement Francisco Vargas ne date pas l’intrigue pour symboliser de manière intemporelle la lutte des paysans mexicains contre un gouvernement arbitraire qui les brime. On nous fait toucher du doigt les injustices dont ils sont victimes. Un peuple est suivi par la caméra dans son errance, femmes, enfants, vieillards sur la route, et le petit-fils de Plutarco nous rappelle que l’histoire continuera. Suivons le pas lent de l’âne du vieillard digne et rusé, Don Plutarco, incarné génialement par Don Angel Tavira. Parfois nous voudrions accélérer le pas de l’âne, le rythme des allées et venues entre le champ et le Q.G. des soldats pour profiter davantage des conversations incroyables du violoniste et du Capitaine faussement jovial. Ces joutes verbales et psychologiques sont un jeu inégal auquel se livrent les deux hommes. Chacun avance ses pions, mais nous avons peur à chaque instant pour le vieil homme. Car la violence de la scène initiale sert d’avertissement et nous emplit de compassion pour ceux qui défient la soldatesque. Si le paysan donne au militaire une leçon de dignité, sa conduite servira d’exemple aux siens. Le film a mérité les prix qu’il a obtenus grâce à la force immense de la confrontation des deux personnages principaux et à leur complexité. Un thème rarement traité au cinéma, le destin des paysans d’Amérique latine, est abordé dans un esprit de solidarité par le cinéaste. Il faut découvrir, malgré quelques longueurs, cette œuvre attachante qui sort de ce que nous offrent habituellement nos grands écrans.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 mars 2007
    Dommage que ce film ne soit pas médiatisé.
    C'est pourtant la triste réalité vécue par les petits paysans du Chiapas, d'Oaxaca, de l'Amérique centrale & du sud, volés par de grands propriétaires terriens appuyés par l'armée, la police, les Etats-Unis & le Canada qui font leur beurre au nom d'un "libre échange"
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 083 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2007
    un film exceptionnel, beau et tragique. les personnages sont attachants, repoussant, ils ne nous laissent pas indifférent. la fin est belle et la dernière réplique du personnage principal nous laisse cloué dans notre siège… un film qui sait émouvoir pour qui sait regarder. il nous montre un mexique brutal et violent. Un grand film qui aurait mérité un plus grand succès.
    Gagor
    Gagor

    27 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2010
    A voir l'affiche, on s'attend plutôt à un drame noir, décousu et violent. On est déjà étonné que l'écran soit en noir et blanc (un problème dans la cabine?), et on se demande pendant les 5 premières minutes ce qu'on fait là parce qu'on ne comprend rien... Mais dès lors, c'est comme un souffle amer qui se serait répandu dans la salle. Et c'est là qu'on accroche, qu'on se sent porté... Francisco Vargas fait un premier film pormetteur, avec Don Angel Tavara au sommet de sa puissance. Tout pourraît laisser penser que les résistants vont gagner, mais on est surpris par la chute qui nous prend de cours. Un drame humain, universel et touchant comme certains devraient l'être plus souvent.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 février 2007
    Sujet interessant mais traiter trop subtilement, décevant pourtant éffleurant le vrai sentiment.
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