Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Télérama
par Jacques Morice
C'est d'un désespoir profond mais d'une humanité incroyablement consolante. Ça rigole, ça invective, ça pleure, ça beugle, ça roupille, dans le chaudron d'une réalité primitive que Bartas représente en poète et en peintre, d'un autre temps sans doute, d'un temps d'avant le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Désastre contemplé dans une indifférence totale et cruelle, beauté délirante et crevante d'un ballet nihiliste et alcoolisé où s'établit à jamais la puissance mortifère de ce cinéma radical.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
La plupart de ce qui est à l'image est inutile à la dramaturgie mais indispensable à la scansion. Il y a là du cinéma à fleur de peau, une caméra fascinée par l'introversion de gens incapables d'exprimer leurs sentiments, de passer de l'être au paraître.
Libération
par Gérard Lefort
(...) Seven Invisible Men n'est pas un film de la tristesse et le voir n'est surtout pas une consolation. Car sa dépression mue sans cesse en son pire ennemi : un stoïcisme qui nous dit que dans les bas-fonds du monde la bête humaine rugit encore. Belle bête.
Première
par Sandrine Guioc
Bartas filme ce chaos sensuel, portrait d'une ex-URSS exsangue, sans concessions. Creusant avec superbe son inimitable sillon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Artiste assurément, Sharunas Bartas appuie son art sur un mélange de confiance dans les puissances du monde à alimenter ses oeuvres et d'incompréhension et de dégoût affichés envers ce même monde. Pas étonnant que le résultat, prometteur au début, si impressionnant parfois, demeure aussi instable.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Face à l'indifférence grandissante du monde, ne serait-il pas temps, tout au contraire, de renoncer à abandonner le spectateur en rase campagne, avec le cadavre du film sur les bras ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Maintes fois, impressionné par la composition et la lumière des scènes, on se sent mis à distance du contenu même du film pour regarder la beauté douloureuse de cette atmosphère déliquescente comme un spectacle où le vain touche de trop près le vide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) figures stylistiques et théoriques [sont] perdues dans un scénario trop abstrait. Reste la beauté crépusculaire de la mise en scène, encore une fois superbement maîtrisée.
Zurban
par Olivier Pélisson
Malgré la beauté de certains plans, on s'ennuie ferme, face à un travail qui n'est qu'une démonstration esthétique. Et manque d'émotion ?
Ciné Live
par Xacvier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Télérama
C'est d'un désespoir profond mais d'une humanité incroyablement consolante. Ça rigole, ça invective, ça pleure, ça beugle, ça roupille, dans le chaudron d'une réalité primitive que Bartas représente en poète et en peintre, d'un autre temps sans doute, d'un temps d'avant le cinéma.
Chronic'art.com
Désastre contemplé dans une indifférence totale et cruelle, beauté délirante et crevante d'un ballet nihiliste et alcoolisé où s'établit à jamais la puissance mortifère de ce cinéma radical.
L'Humanité
La plupart de ce qui est à l'image est inutile à la dramaturgie mais indispensable à la scansion. Il y a là du cinéma à fleur de peau, une caméra fascinée par l'introversion de gens incapables d'exprimer leurs sentiments, de passer de l'être au paraître.
Libération
(...) Seven Invisible Men n'est pas un film de la tristesse et le voir n'est surtout pas une consolation. Car sa dépression mue sans cesse en son pire ennemi : un stoïcisme qui nous dit que dans les bas-fonds du monde la bête humaine rugit encore. Belle bête.
Première
Bartas filme ce chaos sensuel, portrait d'une ex-URSS exsangue, sans concessions. Creusant avec superbe son inimitable sillon.
Cahiers du Cinéma
Artiste assurément, Sharunas Bartas appuie son art sur un mélange de confiance dans les puissances du monde à alimenter ses oeuvres et d'incompréhension et de dégoût affichés envers ce même monde. Pas étonnant que le résultat, prometteur au début, si impressionnant parfois, demeure aussi instable.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Face à l'indifférence grandissante du monde, ne serait-il pas temps, tout au contraire, de renoncer à abandonner le spectateur en rase campagne, avec le cadavre du film sur les bras ?
Les Inrockuptibles
Maintes fois, impressionné par la composition et la lumière des scènes, on se sent mis à distance du contenu même du film pour regarder la beauté douloureuse de cette atmosphère déliquescente comme un spectacle où le vain touche de trop près le vide.
TéléCinéObs
(...) figures stylistiques et théoriques [sont] perdues dans un scénario trop abstrait. Reste la beauté crépusculaire de la mise en scène, encore une fois superbement maîtrisée.
Zurban
Malgré la beauté de certains plans, on s'ennuie ferme, face à un travail qui n'est qu'une démonstration esthétique. Et manque d'émotion ?
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr