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23 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
C'est bien à Hou, cinéaste taïwanais, que le studio nippon Shochiku a confié le soin de réaliser un film en hommage du maître (Ozu). Alors, plutôt que de jouer la surenchère dans la composition du plan, il a commencé par désamorcer la commande en examinant tout ce qu'elle pouvait contenir sinon de drôlerie, du moins de plaisir de la vignette. Passant de la minutie à la miniature, ce glissement l'a libéré comme le premier mouvement d'appareil libère le spectateur.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Café Lumière a été conçu par le cinéaste comme un hommage au maître japonais, mais il importe assez peu que l'on connaisse ou non les films de celui-ci. Le regard de Hou est assez fort pour que l'on se passe de la référence (...) Un film splendide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Luc Douin
La réussite de ce projet tient à la rare complicité qui unit les deux cinéastes et, surtout, à l'intelligence avec laquelle le Chinois de Taïwan a rempli son contrat. Hou Hsiao-hsien, en effet, ne s'est pas appliqué à fabriquer un film "à la manière de" Ozu. Fidèle à son propre style (...) plutôt qu'aux choix formels de l'auteur du Voyage à Tokyo (...), il a transposé l'esprit de son maître dans son propre univers et dans son époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Avec Café Lumière, on voit simplement mieux. On voit le monde comme dans une loupe, plus profondément, plus intensément que dans n'importe quel autre film (...) Hou Hsiao-Hsien ne fait que passer au Japon, comme un usager des transports en commun. Et peut-on rêver d'un meilleur transport en commun au Japon que ce film, qui nous plonge dans la fascination du "vierge, du vivace et du bel aujourd'hui" ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Un cinéaste comme Hou Hsiao-Hsien est un inestimable trésor. (...) Les thèmes du maître japonais Ozu se marient à merveille avec ceux d'Hou Hsiao-Hsien. Le film est maîtrisé avec un art du charmant décalage, une fraîcheur qui évite tous les clichés. (...) Le film trouve un équilibre miraculeux avec une forme légère (les " plans séquence " techniquement ardus se font totalement oublier) mise au service d'une profondeur jamais appuyée.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Le tout compose une mélodie d'une telle douceur, d'un tel naturel; la ligne du film est si claire, si pure que le réel suscite un effet de stupéfaction, voire de fascination. (...) Hou Hsiao-Hsien, qui aurait pu se sentir en exil au Japon, y a fondé un royaume.
Télérama
par François Gorin
Prosaïque dans ses moindres détails, Café Lumière ne cesse de gagner, au fil du temps et des trajets de Yoko, en poésie irradiante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Comme chez Ozu, la pudeur et la violence des sentiments cohabitent dans un même plan et sans un mot, tout est dit de la difficulté de communiquer avec ceux qu'on aime.
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Contemplatif et réaliste à la fois, Café lumière est, derrière ses airs de balade japonaise, une merveille de mise en scène, et la preuve définitive (s'il en fallait une) du talent de Hou Hsiao-hsien. (...) Café lumière est un film touchant, profondément humain, drôle même parfois. Intelligent.
Aden
par Philippe Piazzo
Alors qu'Ozu privilégie toujours les mouvements du coeur, et s'attache à les faire éclore pour les rendre perceptibles au spectateur, Hou Hsiao-hsien préfère rester, dans un esprit plus contemporain, dans une description distante dont l'opacité est, finalement, la vraie beauté. Café Lumière est ainsi un film sophistiqué, à l'esthétique souveraine, où l'humanité semble presque un accident.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
L'expérience de Hou semble venir achopper ici sur un abîme culturel et social paradoxalement assez proche des univers habituels du cinéaste. (...) Il y a là une humilité, une sagesse, une douceur qui envoûtent et magnétisent plus qu'elles ne cherchent à décrire ou expliquer. Film de topographe halluciné (...) Café lumière refuse ainsi toute profondeur au profit d'une surface si sensible et si pleine qu'elle ouvre mille perspectives passionnantes (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Un film ample, (...), qui marque une volonté de faire discours mais sans imposer de message, un constat finement dressé comme quoi cette partie de l'Asie s'universalise et que le nouveau l'emportera de toute façon sur l'ancien. C'est dit d'une voix douce, presque distante, sans effet d'accroche. Hou n'a plus rien à prouver.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
En hommage à Ozu, voici un film sensible et délicat, tout entier consacré à la présence quotidienne des êtres dans la ville et dans la vie, à leurs solitudes attentives, aux liens ténus qui se tissent entre eux. La mise en scène de Hou Hsiao-hsien, rigoureuse et limpide, crée un charme très pur.
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Olivier Seguret
La surface si lisse du film ne le prive pas d'une profondeur presque romantique (...) Café Lumière est un hommage à Ozu sans doute décalé mais d'une complicité humaine infinie avec son cher sujet.
Synopsis
par François-Guillaume Lorrain
Un film parfois hermétique et aussi ramifié que le réseau ferroviaire de Tokyo. Au final, Hou Hsiao-Hsien n'a pas à rougir de cette confrontation courageuse avec un des très grands du cinéma mondial (Ozu).
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Hou Hsiao-Hsien renoue ici avec la simplicité. (...) Un hommage réussi.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Ouest France
par La Rédaction
Une démarche plastique et formelle poussée jusqu'à l'extrême. Des partis pris radicaux pour un cinéma hors normes qui a ses exigences.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Gérard Delorme
Le résultat peut se résumer à deux adjectifs et un adverbe: beau mais chiant. A moins que ce ne soit chiant mais beau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Leno
Ronfleurs s'abstenir.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
C'est bien à Hou, cinéaste taïwanais, que le studio nippon Shochiku a confié le soin de réaliser un film en hommage du maître (Ozu). Alors, plutôt que de jouer la surenchère dans la composition du plan, il a commencé par désamorcer la commande en examinant tout ce qu'elle pouvait contenir sinon de drôlerie, du moins de plaisir de la vignette. Passant de la minutie à la miniature, ce glissement l'a libéré comme le premier mouvement d'appareil libère le spectateur.
L'Obs
Café Lumière a été conçu par le cinéaste comme un hommage au maître japonais, mais il importe assez peu que l'on connaisse ou non les films de celui-ci. Le regard de Hou est assez fort pour que l'on se passe de la référence (...) Un film splendide.
Le Monde
La réussite de ce projet tient à la rare complicité qui unit les deux cinéastes et, surtout, à l'intelligence avec laquelle le Chinois de Taïwan a rempli son contrat. Hou Hsiao-hsien, en effet, ne s'est pas appliqué à fabriquer un film "à la manière de" Ozu. Fidèle à son propre style (...) plutôt qu'aux choix formels de l'auteur du Voyage à Tokyo (...), il a transposé l'esprit de son maître dans son propre univers et dans son époque.
Les Inrockuptibles
Avec Café Lumière, on voit simplement mieux. On voit le monde comme dans une loupe, plus profondément, plus intensément que dans n'importe quel autre film (...) Hou Hsiao-Hsien ne fait que passer au Japon, comme un usager des transports en commun. Et peut-on rêver d'un meilleur transport en commun au Japon que ce film, qui nous plonge dans la fascination du "vierge, du vivace et du bel aujourd'hui" ?
MCinéma.com
Un cinéaste comme Hou Hsiao-Hsien est un inestimable trésor. (...) Les thèmes du maître japonais Ozu se marient à merveille avec ceux d'Hou Hsiao-Hsien. Le film est maîtrisé avec un art du charmant décalage, une fraîcheur qui évite tous les clichés. (...) Le film trouve un équilibre miraculeux avec une forme légère (les " plans séquence " techniquement ardus se font totalement oublier) mise au service d'une profondeur jamais appuyée.
Positif
Le tout compose une mélodie d'une telle douceur, d'un tel naturel; la ligne du film est si claire, si pure que le réel suscite un effet de stupéfaction, voire de fascination. (...) Hou Hsiao-Hsien, qui aurait pu se sentir en exil au Japon, y a fondé un royaume.
Télérama
Prosaïque dans ses moindres détails, Café Lumière ne cesse de gagner, au fil du temps et des trajets de Yoko, en poésie irradiante.
Zurban
Comme chez Ozu, la pudeur et la violence des sentiments cohabitent dans un même plan et sans un mot, tout est dit de la difficulté de communiquer avec ceux qu'on aime.
aVoir-aLire.com
Contemplatif et réaliste à la fois, Café lumière est, derrière ses airs de balade japonaise, une merveille de mise en scène, et la preuve définitive (s'il en fallait une) du talent de Hou Hsiao-hsien. (...) Café lumière est un film touchant, profondément humain, drôle même parfois. Intelligent.
Aden
Alors qu'Ozu privilégie toujours les mouvements du coeur, et s'attache à les faire éclore pour les rendre perceptibles au spectateur, Hou Hsiao-hsien préfère rester, dans un esprit plus contemporain, dans une description distante dont l'opacité est, finalement, la vraie beauté. Café Lumière est ainsi un film sophistiqué, à l'esthétique souveraine, où l'humanité semble presque un accident.
Chronic'art.com
L'expérience de Hou semble venir achopper ici sur un abîme culturel et social paradoxalement assez proche des univers habituels du cinéaste. (...) Il y a là une humilité, une sagesse, une douceur qui envoûtent et magnétisent plus qu'elles ne cherchent à décrire ou expliquer. Film de topographe halluciné (...) Café lumière refuse ainsi toute profondeur au profit d'une surface si sensible et si pleine qu'elle ouvre mille perspectives passionnantes (...).
L'Humanité
Un film ample, (...), qui marque une volonté de faire discours mais sans imposer de message, un constat finement dressé comme quoi cette partie de l'Asie s'universalise et que le nouveau l'emportera de toute façon sur l'ancien. C'est dit d'une voix douce, presque distante, sans effet d'accroche. Hou n'a plus rien à prouver.
Le Figaroscope
En hommage à Ozu, voici un film sensible et délicat, tout entier consacré à la présence quotidienne des êtres dans la ville et dans la vie, à leurs solitudes attentives, aux liens ténus qui se tissent entre eux. La mise en scène de Hou Hsiao-hsien, rigoureuse et limpide, crée un charme très pur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
La surface si lisse du film ne le prive pas d'une profondeur presque romantique (...) Café Lumière est un hommage à Ozu sans doute décalé mais d'une complicité humaine infinie avec son cher sujet.
Synopsis
Un film parfois hermétique et aussi ramifié que le réseau ferroviaire de Tokyo. Au final, Hou Hsiao-Hsien n'a pas à rougir de cette confrontation courageuse avec un des très grands du cinéma mondial (Ozu).
TéléCinéObs
Hou Hsiao-Hsien renoue ici avec la simplicité. (...) Un hommage réussi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ouest France
Une démarche plastique et formelle poussée jusqu'à l'extrême. Des partis pris radicaux pour un cinéma hors normes qui a ses exigences.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Le résultat peut se résumer à deux adjectifs et un adverbe: beau mais chiant. A moins que ce ne soit chiant mais beau.
Score
Ronfleurs s'abstenir.