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Les tribulations de Johnny 5, un robot
attendrissant qui échappe à ses créateurs et à l’armée. Une comédie très 80’s assez niaise et très kitch mais sympathique qui se regarde (surtout) avec nostalgie. 2,25
attendrissant qui échappe à ses créateurs et à l’armée. Une comédie très 80’s assez niaise et très kitch mais sympathique qui se regarde (surtout) avec nostalgie. 2,25
Nicothrash
Une sympathique comédie d'aventure qu'il vaut mieux avoir découvert à l'époque parce que les années se font méchamment sentir. Les effets spéciaux y sont amusants et numéro 5 est des plus attachant mais le manque de rythme plombe sacrément l'ensemble, la faute notamment à un script assez faiblard, ce n'est pas toujours hilarant. Malgré tout les scènes d'action passent bien et le final est bien trouvé. Sa suite directe Appelez moi Johnny 5 sera, selon mes souvenirs, plus dynamique.
Shawn777
Après "WarGames", John Badham revient sur le thème de l’intelligence artificielle avec une comédie familiale nous présentant Johnny 5, un robot de l'armée qui, après un court-circuit, devient autonome et apprend de plus en plus de choses. Un film qui a bien vieilli forcément, les technologies ayant énormément évoluées depuis les années 80 mais qui n'a jamais été autant d'actualité ! Effectivement, avec l'avènement de l'IA que l'on voit partout, sur YouTube, sur les réseaux sociaux etc. depuis ces dernières semaines, il est intéressant de se pencher sur un film comme celui-ci qui n'est pas spécialement visionnaire mais qui propose tout de même pas mal de similitudes avec les IA que nous connaissons aujourd'hui. Sauf que si "WarGames" était bien sympa, ce film est quant à lui bien mou ! Effectivement, le film propose une histoire assez convenue, qui reste très familiale quoi et qui ne passionne jamais vraiment ! Si le début démarre à la manière d'un "E.T. L'Extraterrestre" low cost assez sympathique (notamment toute la partie lorsque Stéphanie apprend des trucs à Johnny), on se contente ensuite de suivre une espèce de course-poursuite entre l'armée et le robot qui n'arrête pas de faire des pitreries, qui n'en finit plus ! Le film étant de plus prévisible, nous ne sommes même pas captivés par l'histoire. De plus, les personnages sont assez insupportables, notamment Fisher Stevens et sa VF insupportable (je crois d'ailleurs que l'acteur est Blanc, ce qui la fout un peu mal). "Short Circuit" est donc un film qui avait un certain potentiel mais qui peine à divertir à cause de son scénario bien trop pauvre.
Un plaisir nostalgique coupable que de revoir ce 1er volet de ce qui lui ressemblera bien plus tard Wall_E
Certes ça a vieilli et il aura fallu le voir à l'époque pour l'apprécier pleinement
Je recommande aux petits et grands
Certes ça a vieilli et il aura fallu le voir à l'époque pour l'apprécier pleinement
Je recommande aux petits et grands
Artriste
Mélangeant comédie et science-fiction, Short Circuit est film familial sympathique. L'histoire nous fait suivre un robot destiné à des fins militaires, qui après avoir été frappé par la foudre, va se découvrir une conscience et un sens de l'humour très développé. Complètement déboussolé, il va faire la rencontre d'une femme, alors que dans le même temps l'armée le recherche. Ce scénario intrigant est plaisant à suivre de bout en bout sur toute sa durée d'une heure et demie, forte d'un rythme soutenu par cette chasse au robot, malgré une intrigue sans réelle surprise. Si le ton se veut amusant, au fond il traite d'un sujet complexe et passionnant. Une thématique abordée d'une belle manière grâce à ce robot devenant rapidement attachant. Un superbe personnage, bien plus humains que les Hommes eux-mêmes, qui entretient une relation grandement appréciable avec sa protectrice interprétée par Ally Sheedy. Les autres personnages sont un peu moins agréables, notamment les antagonistes. La machine est tellement géniale que les scènes sans elle perdent de leur saveur. Car si les répliques sont si marrantes, c'est en grande partie grâce à numéro cinq, qui balance ses pensées sans filtre, sa crédulité le rendant très drôle et même touchant. L'ensemble est convenablement réalisé par John Badham et les environnement ou se déroule l'intrigue sont variés. Les effets-spéciaux sont eux convaincants et le robot paraît plus vrai que nature. La b.o. pour sa part se veut dans le ton en accompagnant bien l'action. Reste une fin satisfaisante venant mettre un terme à Short Circuit, qui au final s'avère être un long-métrage méritant d'être découvert.
Encore un film intelligent et pourtant tout public pourtant sous noté sur allo circuit.... Un film drôle, qui nous pousse à comprendre que quelque chose de pourtant impossible, peut se révéler vrai.... comme un robot qui devient vivant... et que nous devons garder l'oeil ouvert sur les mystères non résolus de la nature.... particulièrement en ces temps de triple crise... un film tout public, même pour les plus jeunes qui poussent à l'ouverture d'esprit au lieu d'une efficacité et puissance aveugle.... Bien que vieux, ce film de 0 à 77 ans n'a pas pris une ride....
Short circuit est une production sympathique et pleine de bonne humeur. Même si le film souffre clairement de son age, l'on notera la qualité de ses effets spéciaux et de sa réalisation. La direction d'acteurs n'est pas bonne et c'est kitch à souhait, mais l'on prend un certain plaisir a suivre les aventures de numéro 5.
Film qui a très mal vieilli, l'histoire est très décousue et part dans tous les sens. Le scénario ne sait pas où il va, il n'y a pas de véritable fil conducteur, et les personnages humains ne sont pas intéressants.
Je comprends que ça ait plu à l'époque, le robot est super bien fait et a je crois inspiré celui de Wall-E. Donc à voir comme une curiosité, ou par nostalgie si vous l'avez connu enfant (ce qui n'est pas mon cas). Mais si vous débarquez comme moi 30 ans plus tard, vous allez vous ennuyer grave.
Je comprends que ça ait plu à l'époque, le robot est super bien fait et a je crois inspiré celui de Wall-E. Donc à voir comme une curiosité, ou par nostalgie si vous l'avez connu enfant (ce qui n'est pas mon cas). Mais si vous débarquez comme moi 30 ans plus tard, vous allez vous ennuyer grave.
Voilà un film que je n'avais plus vu depuis 30 ans et dont je n'avais presque plus de souvenirs... Film très sympa, des bonnes vannes, des effets spéciaux sympas pour l'époque et une bonne réalisation, étant donné qu'il n'a pas trop mail vieilli.
spoiler:
Le passage où il danse et chante sur les Bee Gees est tout simplement magnifique
. Un grand film que je recommande à tous les parents de montrer à leurs enfants.
. Un grand film que je recommande à tous les parents de montrer à leurs enfants.
Après avoir regardé Short Circuit dans son intégralité en tant qu'adulte je n'ai malheureusement pas été impressionné par le film. Il met beaucoup de temps à prendre de l'ampleur si tant est qu'il en prenne et il n'y a pas vraiment d'intrigue juste le numéro 5 qui se lie d'amitié avec Stéphanie alors que Nova veut l'avoir. Il n'y a pas de rebondissements ni de moments imprévisibles. Je pourrais regarder des films dont l'intrigue de base est simple ou inexistante s'il y a des qualités rédemptrices telles que de l'humour ou des personnages sympathiques et de l'action. Ce film pour moi ne répond à aucune de mes exigences. La soi-disant comédie n'est pas drôle l'action est ennuyeuse et les personnages sont extrêmement ennuyeux...
Roub E.
Quelques années après l’excellent Wargames John Badham refait un film avec une création de l’armée qui échappe à ses créateurs. Dans Short Circuit c’est un robot qui suite à un court circuit se retrouve doué d’une pensée propre, s’échappe de sa base et trouve refuge auprès d’une jeune écologiste. Le ton est plus familial voir enfantin que dans Wargames et clairement ça fait partie des films que j’ai vu trop tard. Ça m’aurait certainement éclaté si j’avais six-huit ans, la j’ai passé un moment sympa très eighties mais qui du coup paraît vieillot dans certains aspects. Les personnages sont un peu trop caricaturaux, c’est un peu trop manichéen pour mes yeux d’adultes, mais on peut clairement féliciter les créateurs de Numéro 5 qui ont plus qu’influencés les créateurs de Wall -E. Un film à ranger dans la série de ceux que j’ai découvert trop tard.
🎬 RENGER 📼
John Badham, capable du pire (Tonnerre de feu - 1983 & Drop Zone - 1994), comme du meilleur (La fièvre du samedi soir - 1977 & WarGames - 1983), réalisait ici un ersatz d’E.T., l'extra-terrestre (1982). Si le film emprunte beaucoup à l’œuvre culte de Spielberg, il sera lui-même très largement copié/inspiré à travers le film d’animation Wall-E (2008) des studio Pixar.
Short Circuit (1986) narre l’histoire d’une arme militaire (sous les traits d’un robot de combat) mise en place dans le cadre d’une expérience scientifique & militaire. Numéro 5 (c’est son prénom) se retrouve pourvu de la parole, d’une intelligence artificielle et des caractéristiques humaines lorsque la foudre lui tomba dessus. Complètement chamboulé, il trouve refuge chez Stéphanie avec qui, il va essayer d’échapper à sa condition de robot (et par la même occasion, en pièces détachées).
Imaginez un robot en lieu et place d'un extra-terrestre, qui est recueilli chez une nana (écolo à ses heures perdues) qui finira vieille fille à force d'accueillir tous les animaux errants d’Astoria. Comme dans le film de Spielberg, ils sont poursuivis par des militaires. Là où les enfants faisaient barrage aux forces de l'ordre, cette fois-ci, c'est la nana qui va s'efforcer de venir en aide au robot. Voilà pour les similitudes.
Si vous avez eu (quand vous étiez enfant) un robot en guise de jouet et si par chance, vous étiez tombé sur ce film étant gosse, impossible pour vous ne pas succomber aux charmes et à l’humour de Numéro 5, ce gentil robot doté d’une conscience. Maintenant, si vous n’avez jamais joué avec des robots et que vous découvrez ce film sur le tard, vous risquez fort de vous y ennuyer. En effet, Short Circuit (1986) accuse le poids des années, il jongle entre l'action et la comédie mais à trop vouloir verser dans la comédie familiale, il devient rapidement lassant, pour ne pas dire lourdingue. Avec ses inévitables personnages stéréotypés à outrance, entre les vilains militaires et les gentils (et parfois benêts) scientifiques. L’anthropomorphisme poussé à outrance, avec des gags qui n’en sont pas, des personnages fatigants (l’immonde VF de Fisher Stevens avec son ignoble accent pakistanais et Ally Sheedy, plus fatigante qu’autre chose).
Sous couvert de réaliser un film familial donneur de leçon (d’humanité et de tolérance), au final, le film accuse lourdement le poids des années, voir cette boîte de conserve sur chenilles se dandiner pendant 90min, s’avère bien long et lassant. Autant voir ou revoir le chef d’œuvre de Pixar ou le film culte de Spielberg.
A noter qu’il existe une suite intitulée Appelez-moi Johnny 5 (1988) et réalisée par Kenneth Johnson.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Short Circuit (1986) narre l’histoire d’une arme militaire (sous les traits d’un robot de combat) mise en place dans le cadre d’une expérience scientifique & militaire. Numéro 5 (c’est son prénom) se retrouve pourvu de la parole, d’une intelligence artificielle et des caractéristiques humaines lorsque la foudre lui tomba dessus. Complètement chamboulé, il trouve refuge chez Stéphanie avec qui, il va essayer d’échapper à sa condition de robot (et par la même occasion, en pièces détachées).
Imaginez un robot en lieu et place d'un extra-terrestre, qui est recueilli chez une nana (écolo à ses heures perdues) qui finira vieille fille à force d'accueillir tous les animaux errants d’Astoria. Comme dans le film de Spielberg, ils sont poursuivis par des militaires. Là où les enfants faisaient barrage aux forces de l'ordre, cette fois-ci, c'est la nana qui va s'efforcer de venir en aide au robot. Voilà pour les similitudes.
Si vous avez eu (quand vous étiez enfant) un robot en guise de jouet et si par chance, vous étiez tombé sur ce film étant gosse, impossible pour vous ne pas succomber aux charmes et à l’humour de Numéro 5, ce gentil robot doté d’une conscience. Maintenant, si vous n’avez jamais joué avec des robots et que vous découvrez ce film sur le tard, vous risquez fort de vous y ennuyer. En effet, Short Circuit (1986) accuse le poids des années, il jongle entre l'action et la comédie mais à trop vouloir verser dans la comédie familiale, il devient rapidement lassant, pour ne pas dire lourdingue. Avec ses inévitables personnages stéréotypés à outrance, entre les vilains militaires et les gentils (et parfois benêts) scientifiques. L’anthropomorphisme poussé à outrance, avec des gags qui n’en sont pas, des personnages fatigants (l’immonde VF de Fisher Stevens avec son ignoble accent pakistanais et Ally Sheedy, plus fatigante qu’autre chose).
Sous couvert de réaliser un film familial donneur de leçon (d’humanité et de tolérance), au final, le film accuse lourdement le poids des années, voir cette boîte de conserve sur chenilles se dandiner pendant 90min, s’avère bien long et lassant. Autant voir ou revoir le chef d’œuvre de Pixar ou le film culte de Spielberg.
A noter qu’il existe une suite intitulée Appelez-moi Johnny 5 (1988) et réalisée par Kenneth Johnson.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
c'est un film du milieu des années 80, avec tout ce que cela implique, effet spécieux dépassés, dialogues un peu neuneu, oui mais voilà, je suis allé le voir à sa sortie et j'ai adoré, L'humour du robot capable de tout apprendre en très peu de temps, qui retient tout, et qui te ressort une scene des three stooges, ou qui te demonte la bagnolle on moins de temps qu'il le faut pour le dire, franchement pour passer un bon moment en famille, c'est très bien, pas d'immoralité, on rit de bon coeur, je dis banco... dommage qu'il ne soit disponible nulle part en VOD...
Johnny “Numéro 5� veut vivre, apprendre et découvrir, pendant que le complexe militaro-industriel veut le contrôler et les militaires le détruire ! Un adorable film antimilitariste, et vraiment « Pro-Vie », que j’avais vu plusieurs fois à sa sortie au cinéma en 1986.
lhomme-grenouille
Très compliqué de juger ce film en dehors de son contexte de l’époque. « Short Circuit » fait partie de ces films gentillets qui n’aspirent à pas grand-chose sinon raconter une histoire simplette et convenue autour d’une curiosité : ici le robot « Johnny 5 ». Et je vous l’avoue, ce qui pourrait être une tare pour pas mal de cinéphiles est ici pour moi un atout. Oui c’est orchestré très simplement, mais c’est justement ce qui le fait rentrer dans les codes de ces fables des années 80 que je regardais étant enfant. Pour le coup je trouve que ça applique la recette sans fioriture mais sans erreur non plus. D’une machine de guerre on essaye de faire un personnage attachant, et pour y parvenir on passe par le cheminement classique des films de l’époque, un peu comme on pourrait le faire pou un conte de fée ou une épopée chevaleresque. Bien évidemment, ça baigne dans le jus de son époque, ce qui fait que ça peut autant charmer que piquer… Seulement voilà, moi je suis un vieux con né au début des années 80, donc j’ai eu tendance à me laisser charmer… Maintenant – je suis honnête – je ne garantis rien dans votre cas… Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
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