AlloCiné
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Vu le synopsis, j'étais méfiant:un robot qui prend vie ! y'avait du boulot sur la planche.Et vu qu'il a Steve Guttenberg qui joue, je me suis dit qu'on allait peut-être rire un peu.Même pas ! A la place du rire ou du surprenant, on est servi d' une ribambelle de sentiments plein de mièvre qui m'ont interdit tout engouement pour ce film qui devient vite écoeurant.
7eme critique
"Short circuit" est une petite histoire sympathique qui ne pourra qu'évoquer un sentiment de nostalgie auprès des spectateurs de l'époque.
Le robot militaire "Numéro 5" devient vivant après avoir pris la foudre...même si ce n'est pas le but recherché ici, le scénario n'est pas bien folichon, mais ce sera avant tout ses dialogues et sa mise en scène qui plomberont le film à coup de chevrotine. Si "Short circuit" fait partie des annales de la robotique au cinéma, il restera en terme de qualité, à des années lumières derrière l'indétrônable, et néanmoins petit frère "Wall-E" (on sait maintenant d'où s'est inspiré ce dernier). On regrettera que le projet n'ait pas été confié à Steven Spielberg, car même si ce dernier nous aurait fait part de sa niaiserie habituelle dans ce registre, il n'en aurait pas moins offert un grand spectacle pour enfants comme il sait si bien le faire, à la manière d'un "E.T. l'extra-terrestre".
Le robot militaire "Numéro 5" devient vivant après avoir pris la foudre...même si ce n'est pas le but recherché ici, le scénario n'est pas bien folichon, mais ce sera avant tout ses dialogues et sa mise en scène qui plomberont le film à coup de chevrotine. Si "Short circuit" fait partie des annales de la robotique au cinéma, il restera en terme de qualité, à des années lumières derrière l'indétrônable, et néanmoins petit frère "Wall-E" (on sait maintenant d'où s'est inspiré ce dernier). On regrettera que le projet n'ait pas été confié à Steven Spielberg, car même si ce dernier nous aurait fait part de sa niaiserie habituelle dans ce registre, il n'en aurait pas moins offert un grand spectacle pour enfants comme il sait si bien le faire, à la manière d'un "E.T. l'extra-terrestre".
Yetcha
Un film de SF qui allie romantisme, transhumanisme, robotique et travaille un domaine toujours en vogue depuis des années à savoir l'accession en tant qu'être vivant des robots. La prise de conscience de la vie son charme. Nombreux sont les aspects vieillissants de ce film, mais le charme opère toujours et mérite sans aucun doute son statut de film culte des années 80. Sa séquelle Appelez-moi Johnny 5 sera nettement moins bon et fera avorter le projet d'un troisième volet. La seule version DVD française existante est tirée de la numérisation d'une version VHS, et c'est bien dommage.
Un petit film vintage visiblement destiné aux adultes mais qui conviendrait mieux aux enfants.
Un divertissement sans conséquence qui reste un classique du genre et qui s'inscrit pourtant dans la lignée de l'homme bicentenaire, A.I, I robot, Wall-e ou Chappie la consistance et la profondeur en moins.
Le petit robot de Short Circuit est malgré tout attachant. Un film gentillet pour les nostalgique des années 80.
Un divertissement sans conséquence qui reste un classique du genre et qui s'inscrit pourtant dans la lignée de l'homme bicentenaire, A.I, I robot, Wall-e ou Chappie la consistance et la profondeur en moins.
Le petit robot de Short Circuit est malgré tout attachant. Un film gentillet pour les nostalgique des années 80.
On s'ennuie vite devant ce film de SF dont les gags ne volent pas bien haut, tout comme son scénario très léger, très simpliste, confus et passant à côté de bons éléments. Les personnages ne plaisent pas et cette comédie, dans son ensemble, non plus !!
En 1986, soit 28 ans avant la sortie d’ « Her », le dernier film de Spike Jonze, et 25 ans avant le lancement de Siri, l’assistant personnel intelligent d’Apple, sortait un film sur un robot domestique et militaire qui prenait « vie » et « voix ». Revu avec mes enfants à la télévision après l’avoir vu au Cinéma alors que j’étais un enfant moi-même, ce film a très bien vieilli. Il a même, encore de nos jours, un côté avant-gardiste car ce type de robots est toujours en cours de développement aussi bien pour des besoins militaires (le désamorçage de bombes par exemple) que pour des besoins domestiques dont les japonais sont friands. On retrouve le duo John Badham / Ally Sheedy de « Wargames » et le duo Steve Guttemberg / G.W. Bailey de « Police Academy », comme le monde est petit !
Julien D
Le réalisateur de La fièvre du samedi poursuit, avec Short Circuit, dans le domaine de la science-fiction immature entamé dans War Games. Sur un scénario qui lie un petit robot (dont les traits ont incontestablement inspiré Pixar lors de la création de Wall-E vingt ans plus tard) à une femme pleine d’imagination enfantine, l’histoire est évidemment très proche de celle d’E.T. dont le capital sympathie était encore, en 1986, suffisamment solide pour être recyclé. La légèreté de cette petite fable futuriqte est à la fois sa force et sa faiblesse. Sa force parce que voir le petit robot danser en imitant John Travolta ou Steve Guttenberg cabotiner dans un rôle de scientifique restent des ingrédients de divertissement qui sont les seules du film à ne pas avoir terriblement vieilli. Sa faiblesse aussi car le sujet de l’intelligence artificielle est rendu complétement inoffensif et que, tandis que le scénario s’étire péniblement, seule son extrême naïveté devient perceptible. Aujourd’hui seuls les nostalgiques du temps où ils le découvrirent enfants pourront encore adhérer à la magie de cette aventure fantaisiste.
En 1986, E.T. est déjà passé par là et l’histoire de l’extra-terrestre qui arrive sur Terre et qui s’allie avec des adolescents est à la mode. Mac & Me apparaîtra deux ans plus tard.
En effet, en 1986, c’est Short Circuit qui sort sur les écrans mondiaux. On retrouve le yes man John Badham derrière la caméra, une actrice à la mode à l’époque, Ally Sheedy, le duo Steve Guttenberg – G.W. Bailey de Police Academy en protagoniste-antagoniste et un second rôle comique largement offensant Fisher Stevens (l’acteur y est bronzé pour jouer un scientifique indien asexué avec un accent à couper au couteau). Bref, Short Circuit est un film calibré pour marcher auprès de tous les Américains. C’est gentil, c’est parfois sympathique, vaguement drôle, bourré d’action parfaitement inoffensive pour toute la famille et John Badham y montre sa dextérité habituelle, même si c’est très impersonnel. Malheureusement, Short Circuit est aussi sacrément long, particulièrement daté, que ce soit dans la musique ou dans les effets spéciaux et surtout dans l’humour et ne passe plus du tout en 2014.
Short Circuit est un film qui devait marcher du tonnerre en 1986 mais la société et le cinéma ont bien évolué et il se trouve que ce n’est plus assez pour être considéré comme un bon film.
En effet, en 1986, c’est Short Circuit qui sort sur les écrans mondiaux. On retrouve le yes man John Badham derrière la caméra, une actrice à la mode à l’époque, Ally Sheedy, le duo Steve Guttenberg – G.W. Bailey de Police Academy en protagoniste-antagoniste et un second rôle comique largement offensant Fisher Stevens (l’acteur y est bronzé pour jouer un scientifique indien asexué avec un accent à couper au couteau). Bref, Short Circuit est un film calibré pour marcher auprès de tous les Américains. C’est gentil, c’est parfois sympathique, vaguement drôle, bourré d’action parfaitement inoffensive pour toute la famille et John Badham y montre sa dextérité habituelle, même si c’est très impersonnel. Malheureusement, Short Circuit est aussi sacrément long, particulièrement daté, que ce soit dans la musique ou dans les effets spéciaux et surtout dans l’humour et ne passe plus du tout en 2014.
Short Circuit est un film qui devait marcher du tonnerre en 1986 mais la société et le cinéma ont bien évolué et il se trouve que ce n’est plus assez pour être considéré comme un bon film.
Petit film qui à l'époque et à l'aube des grands effets spéciaux a peut-être valu son ticket, mais est désormais désuet, d'autant que c'est gentil-la-praline.
Ce premier volet est beaucoup moins bon que sa suite. C'est plaisant cependant de connaitre les origines de johnny 5 (number 5 pendant tout ce film). Il y a pas mal de scènes assez droles ou touchantes, surtout au début quand five découvre le monde et les rapports humains. Sa relation avec steppphhh-anniiiie est vraiment chouette grâce à cette actrice pleine d'énergie. Les rôles masculins sont eux un peu en demi-teinte. Les militaires sont bien évidemment moqués comme il se doit. Une grande légereté se dégage de ce film, très sympathique, avec un petit coté philosophique voire métaphysique quand newton essaye de prouver l'humanité de johnny. Malgrès tout ce film manque de l'envergure de sa suite.
Je garde un bon souvenir de ce film qui allie à merveille SF et comédie. Dès la démonstration militaire du début, on est bluffé par l’animation très fluide des robots. Leur look rappelle celui du récent WALL.E. Avec un peu d’imagination, ils sont tout à fait crédibles (y compris leurs voix). Sans l’utilisation des images de synthèse qui rend tout plus simple ; l’équipe technique réussit l’exploit de faire vivre Numéro 5 sous nos yeux. Il n’y a que dans de rares plans larges que le robot n’est pas animé. Par exemple, lorsqu’il tombe dans le vide. Mais ce n’est pas trop grave. Donc, la foudre tombe sur Numéro 5. Doué de la pensée et d’un solide sens de l’humour, il s'échappe de la base militaire. L’armée le traque pour le détruire d’autant que son laser est en état de marche ! Il trouve refuge auprès d’une jeune écologiste. A partir de là, on pense forcément à E.T. Certaines scènes sont des copier/coller du film de Spielberg (la rencontre de nuit entre le robot et sa protectrice, Numéro 5 découvrant le monde en zappant à la TV, son désir d’emmagasiner un maximum d’informations etc.). Il faut bien avouer que son émerveillement est source de gags hilarants. Les scènes dans lesquelles le robot singe les humains amusent la galerie. Numéro 5 danse même devant le film « La fièvre du samedi soir », le plus gros succès de John Bradham. J’aime beaucoup aussi lorsque le robot imite John Wayne face à l’ex-petit ami de sa protectrice ; lorsqu’en en sifflotant la musique du pont de la rivière Kwaï, Numéro 5 met hors service les robots chargés de le détruire ; puis lorsqu’il les reprogramme pour reproduire une scène d’un vieux film burlesque qu’il a vu à la télévision. Le film se termine sur une astuce de Numéro 5 assez bien vue. Comme beaucoup de films de l’époque, « Short Circuit » est gentiment antimilitariste. Le passage où notre robot fait la relation entre son démontage et la mort est assez émouvant. Le dialogue entre Numéro 5 et le scientifique qui cherche à démontrer qu’une machine ne peut pas être vivante (le test du dessin et de l’histoire drôle) apporte un peu de philosophie au film. Sinon, je suis plus réservé concernant le jeu des acteurs. Les personnages humains sont stéréotypés (les militaires belliqueux, les scientifiques idéalistes). Les dialogues au ras des pâquerettes et le doublage moyen font passer les comédiens pour des idiots. Mais « Short Circuit » n'en demeure pas moins un film attachant et drôle.
Nostalgie, quand tu nous tiens ! Voila bien quinze ans que je n'avais pas vu ce film et j'appréhendais de le voir avec ma vision d'adulte. Et bien, il faut dire que la magie opère encore. J'ai pris plaisir à revoir numéro cinq et ses cabrioles. D'accord le film a pris quelques coups de ride, mais on s'amuse à voir qu'à l'époque, on savait donner vie à des robots sans avoir recours à des effets spéciaux numériques. Et il serait même plus crédible que des transformers de notre époque. Bon, les acteurs sont un peu "lourdingues", mais c'est à prendre au 10éme degré. Pour passer un bon moment entre petits et grands.
Que de bons souvenirs ... Faudra que je le revois, quand même !
"merde ? ou tu vois merde ? pas de merde !"
*_*
"merde ? ou tu vois merde ? pas de merde !"
*_*
Caine78
Film sympathique par excellence, « Short Circuit » est de ces purs divertissements qui ont beau avoir un peu vieilli (notamment les effets spéciaux), n'en sont pas moins hyper-agréables, drôles et même émouvants. C'est qu'il est incroyablement touchant ce Johnny 5 plein de vie et curieux de tout, ce qui offre à l'oeuvre de nombreux passages savoureux et hilarants. John Badham n'en oublie pas pour autant l'essentiel : de l'action, un scénario sans surprise mais tenant la route et un rythme très soutenu qui permet de ne jamais s'ennuyer une seule seconde. De plus, on sent le réalisateur de « Dracula » très respectueux de son public, si bien que celui-ci est autant susceptible de plaire aux enfants qu'à leurs parents. Bref, c'est charmant, vif et rempli de clins d'oeil réjouissants : il serait bien dommage de s'en priver.
Xavi_de_Paris
Une petite comédie sans prétention, drôle parfois, touchante par moments. Les effets spéciaux font sourire quelque peu, mais on passe un bon moment tout de même.
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