Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Positif
par Philippe Rouyer
A Cannes, il a été beaucoup dit que Toni Servillo aurait mérité un prix d'interprétation. C'eût été amplement justifié, tant il exprime de choses derrière l'impassibilité de ses traits. Mais la mise en scène n'aurait pas non plus démérité d'une récompense. Elle regorge de trouvailles (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
Paolo Sorrentino capte, avec l'élégance et la précision d'un orfèvre, le vide qui s'installe entre les êtres et, surtout, le vide qui sépare à jamais son héros de lui-même. Avec cette caméra qui s'approche et glisse aussitôt pour mieux s'écarter, il semble orchestrer, à chaque instant, une cérémonie secrète et sophistiquée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Mathieu Dupont
Une histoire servie à merveille par un Toni Servillo qui incarne parfaitement l'homme désincarné, et une caméra tenue de main de maître par Paolo Sorrentino, qui fabrique un film original, entre carnet de philosophie à l'humour froid et thriller à l'action minimaliste. (critique cannoise)
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un polar déstructuré et paradoxal, très Éditions de Minuit. Sans doute trop chicos pour certains, car truffé de mouvements de caméras huilés, de cadrages savants, de décors cossus et modernes. Mais, dans ce savant édifice aux arêtes lisses, affleure en permanence un humour pince-sans-rire, lié au déphasage du héros (...) Bref, on applaudit des deux mains (gantées de cuir noir).
L'Humanité
par Zoé Lin
Servi par une brochette d'acteurs qui jouent tous, premiers comme seconds rôles, de bout en bout sur l'ambiguïté et l'étrangeté des personnages, le Conseguenze dell'amore ne manque pas de qualités jusque dans sa construction appliquée (...) ni d'un humour décalé (...) (critique cannoise)
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Filmant avec un indéniable souci esthétique, multipliant les travellings dans le lieu clos, glacé, symbole d'enfermement, où végète le porteur de valises, Paolo Sorrentino pourrait n'être crédité que pour sa dextérité dans l'exercice de style. Mais Les Conséquences de l'amour sont mieux que cela : l'illustration, à rebondissements romanesques, de la vacuité d'une existence réduite à un inlassable train-train, des journées mortes, des portes fermées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Un film extrêmement précis et maîtrisé, habité par une ambiance décalée. La mise en scène est méticuleuse et s'articule autour d'un personnage central qui n'est pas sans rappeler celui du SAMOURAÏ de Jean-Pierre Melville. (...) Sans être totalement enthousiasmant (un peu trop mécanique), un film qui vaut le détour.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Ce pourrait être mortellement ennuyeux mais tout est dans la façon de filmer, constamment surprenante, stimulante.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le deuxième film d'un jeune réalisateur napolitain de talent. On appréciera surtout l'élégance de sa mise en scène -sens de la composition, bande-son techno recherchée- et sa représentation de la mafia, dépourvue de tout pittoresque.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Le comédien Toni Servillo épouse brillamment le rythme insolite que lui impose son réalisateur, cette lenteur ponctuée d'instants d'une drôlerie brusque, dissonnante. (critique cannoise)
Zurban
par Véronique Le Bris
Seul représentant italien en compétition officielle au dernier festival de Cannes, ce film signé Paolo Sorrentino est passé presque inaperçu. C'est dommage car l'originalité du sujet et de son traitement, ainsi que la fabuleuse interprétation de Toni Servillo méritaient plus que cela. Encore faut-il apprécier les films sans effets, quasi minimalistes ou avoir la patience de se laisser porter jusqu'au surprenant dénouement.
Cinéastes
par Sara Ri
Il s'agit plus d'un beau personnage que d'un beau film. (...) Une chute absurde et arbitraire qui sacrifie le film à un ultime retournement de situation.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Bizarre, bizarre, ce suspense existentiel qui s'allonge indéfiniment dans une lenteur antonionienne, avant de déboucher sur un drame ironique d'argent et de Mafia. Beaucoup d'attente, qui risque d'être un peu déçue, mais dont les cinéphiles apprécieront l'élégance.
Le Monde
par Florence Colombani
Paolo Sorrentino (...) fait montre d'un indéniable sens plastique et d'un certain talent pour instaurer une atmosphère à la fois funèbre et cocasse. Mais, tandis que les plans s'orchestrent autour de quelques objets (...) il apparaît vite que le cinéaste est prisonnier de la mécanique qu'il a inventée. (critique cannoise)
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
Le deuxième long-métrage de l'Italien Paolo Sorrentino, servi par l'impeccable prestation de Toni Servillo, énigmatique à souhait. Mais les rigoureux partis pris du début de récit, nourris d'étrange et d'absurde pour installer le malaise, volent peu à peu en éclat. Comme si, un peu apeuré devant ses choix absolus, le cinéaste se laissait tenter par le confort d'une intrigue plus conventionnelle. Et rassurante.
Paris Match
par Christine Haas
Avec une esthétique très marquée et parfois agaçante, Paolo Sorrentino fait de l'atmosphère avec du malaise. (...) Magnifique derrière son masque d'impassibilité, Toni Servillo évoque un Peter Sellers triste à mourir.
Première
par Sophie Grassin
Paolo Sorrentino signe un film d'atmosphère mélancolique et mystérieux sur la mafia. Ses partis pris esthétiques peuvent agacer, mais Toni Servillo, comme en exil de lui-même, sert le film à la perfection.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par G.D. Jones
Un film ultra-maniéré, lounge et claustro, qui plonge au plus profond du désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Score
The Hollywood Reporter
par Kirk Honeycutt
Une réussite mineure par un cinéaste qui fait preuve d'une grande maîtrise technique. (critique cannoise)
Variety
par David Rooney
(...) Sorrentino prend un chemin original, profond et délicieusement tortueux pour traiter un des sujets les plus fréquemment explorés dans le cinéma italien (...) ce qui semblera distancié et maniéré pour les uns fascinera les autres (...) (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Un film qui déroute. Follement séduisant par certains partis pris de mise en scène, un rythme très rapide qui se heurte à l'asepsie de l'image, un choix musical qui renforce encore cet aspect "clip", et le jeu de Toni Servillo, fascinant, hypnotique ; terriblement agaçant par la mise en place d'un mystère dont on se contrefiche, par l'impossibilité de la moindre empathie pour les personnages, par le côté presque prétentieux de certaines scènes et un sentiment d'inachevé, d'inabouti.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
L'histoire, tout comme le personnage, sont lugubres. La mise en forme n'arrange pas grand chose : cadrages compliqués, photo ripolinée comme un magazine de mode, intention suraffichée de faire style, pseudo-modernité déjà ridée, ce n'est qu'une succession d'effets aussi voyants que gratuits.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
L'histoire (...) tient difficilement sur ses maigres jambes (...) Sorrentino emballe tout ça d'une mise en scène maniérée où la caméra n'arrête pas de glisser et de faire des arcs de cercle comme si elle tentait d'imiter un paon parvenu à l'ultime stade de la surestimation de soi. Puis la mafia débarque et la lourdeur forcée du film se met à peser vraiment sur l'estomac. (critique cannoise)
Positif
A Cannes, il a été beaucoup dit que Toni Servillo aurait mérité un prix d'interprétation. C'eût été amplement justifié, tant il exprime de choses derrière l'impassibilité de ses traits. Mais la mise en scène n'aurait pas non plus démérité d'une récompense. Elle regorge de trouvailles (...).
Télérama
Paolo Sorrentino capte, avec l'élégance et la précision d'un orfèvre, le vide qui s'installe entre les êtres et, surtout, le vide qui sépare à jamais son héros de lui-même. Avec cette caméra qui s'approche et glisse aussitôt pour mieux s'écarter, il semble orchestrer, à chaque instant, une cérémonie secrète et sophistiquée.
Zurban
Une histoire servie à merveille par un Toni Servillo qui incarne parfaitement l'homme désincarné, et une caméra tenue de main de maître par Paolo Sorrentino, qui fabrique un film original, entre carnet de philosophie à l'humour froid et thriller à l'action minimaliste. (critique cannoise)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Un polar déstructuré et paradoxal, très Éditions de Minuit. Sans doute trop chicos pour certains, car truffé de mouvements de caméras huilés, de cadrages savants, de décors cossus et modernes. Mais, dans ce savant édifice aux arêtes lisses, affleure en permanence un humour pince-sans-rire, lié au déphasage du héros (...) Bref, on applaudit des deux mains (gantées de cuir noir).
L'Humanité
Servi par une brochette d'acteurs qui jouent tous, premiers comme seconds rôles, de bout en bout sur l'ambiguïté et l'étrangeté des personnages, le Conseguenze dell'amore ne manque pas de qualités jusque dans sa construction appliquée (...) ni d'un humour décalé (...) (critique cannoise)
Le Monde
Filmant avec un indéniable souci esthétique, multipliant les travellings dans le lieu clos, glacé, symbole d'enfermement, où végète le porteur de valises, Paolo Sorrentino pourrait n'être crédité que pour sa dextérité dans l'exercice de style. Mais Les Conséquences de l'amour sont mieux que cela : l'illustration, à rebondissements romanesques, de la vacuité d'une existence réduite à un inlassable train-train, des journées mortes, des portes fermées.
MCinéma.com
Un film extrêmement précis et maîtrisé, habité par une ambiance décalée. La mise en scène est méticuleuse et s'articule autour d'un personnage central qui n'est pas sans rappeler celui du SAMOURAÏ de Jean-Pierre Melville. (...) Sans être totalement enthousiasmant (un peu trop mécanique), un film qui vaut le détour.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Ce pourrait être mortellement ennuyeux mais tout est dans la façon de filmer, constamment surprenante, stimulante.
TéléCinéObs
Le deuxième film d'un jeune réalisateur napolitain de talent. On appréciera surtout l'élégance de sa mise en scène -sens de la composition, bande-son techno recherchée- et sa représentation de la mafia, dépourvue de tout pittoresque.
Télérama
Le comédien Toni Servillo épouse brillamment le rythme insolite que lui impose son réalisateur, cette lenteur ponctuée d'instants d'une drôlerie brusque, dissonnante. (critique cannoise)
Zurban
Seul représentant italien en compétition officielle au dernier festival de Cannes, ce film signé Paolo Sorrentino est passé presque inaperçu. C'est dommage car l'originalité du sujet et de son traitement, ainsi que la fabuleuse interprétation de Toni Servillo méritaient plus que cela. Encore faut-il apprécier les films sans effets, quasi minimalistes ou avoir la patience de se laisser porter jusqu'au surprenant dénouement.
Cinéastes
Il s'agit plus d'un beau personnage que d'un beau film. (...) Une chute absurde et arbitraire qui sacrifie le film à un ultime retournement de situation.
Le Figaroscope
Bizarre, bizarre, ce suspense existentiel qui s'allonge indéfiniment dans une lenteur antonionienne, avant de déboucher sur un drame ironique d'argent et de Mafia. Beaucoup d'attente, qui risque d'être un peu déçue, mais dont les cinéphiles apprécieront l'élégance.
Le Monde
Paolo Sorrentino (...) fait montre d'un indéniable sens plastique et d'un certain talent pour instaurer une atmosphère à la fois funèbre et cocasse. Mais, tandis que les plans s'orchestrent autour de quelques objets (...) il apparaît vite que le cinéaste est prisonnier de la mécanique qu'il a inventée. (critique cannoise)
Le Point
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Ouest France
Le deuxième long-métrage de l'Italien Paolo Sorrentino, servi par l'impeccable prestation de Toni Servillo, énigmatique à souhait. Mais les rigoureux partis pris du début de récit, nourris d'étrange et d'absurde pour installer le malaise, volent peu à peu en éclat. Comme si, un peu apeuré devant ses choix absolus, le cinéaste se laissait tenter par le confort d'une intrigue plus conventionnelle. Et rassurante.
Paris Match
Avec une esthétique très marquée et parfois agaçante, Paolo Sorrentino fait de l'atmosphère avec du malaise. (...) Magnifique derrière son masque d'impassibilité, Toni Servillo évoque un Peter Sellers triste à mourir.
Première
Paolo Sorrentino signe un film d'atmosphère mélancolique et mystérieux sur la mafia. Ses partis pris esthétiques peuvent agacer, mais Toni Servillo, comme en exil de lui-même, sert le film à la perfection.
Score
Un film ultra-maniéré, lounge et claustro, qui plonge au plus profond du désespoir.
The Hollywood Reporter
Une réussite mineure par un cinéaste qui fait preuve d'une grande maîtrise technique. (critique cannoise)
Variety
(...) Sorrentino prend un chemin original, profond et délicieusement tortueux pour traiter un des sujets les plus fréquemment explorés dans le cinéma italien (...) ce qui semblera distancié et maniéré pour les uns fascinera les autres (...) (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
Un film qui déroute. Follement séduisant par certains partis pris de mise en scène, un rythme très rapide qui se heurte à l'asepsie de l'image, un choix musical qui renforce encore cet aspect "clip", et le jeu de Toni Servillo, fascinant, hypnotique ; terriblement agaçant par la mise en place d'un mystère dont on se contrefiche, par l'impossibilité de la moindre empathie pour les personnages, par le côté presque prétentieux de certaines scènes et un sentiment d'inachevé, d'inabouti.
Les Inrockuptibles
L'histoire, tout comme le personnage, sont lugubres. La mise en forme n'arrange pas grand chose : cadrages compliqués, photo ripolinée comme un magazine de mode, intention suraffichée de faire style, pseudo-modernité déjà ridée, ce n'est qu'une succession d'effets aussi voyants que gratuits.
Libération
L'histoire (...) tient difficilement sur ses maigres jambes (...) Sorrentino emballe tout ça d'une mise en scène maniérée où la caméra n'arrête pas de glisser et de faire des arcs de cercle comme si elle tentait d'imiter un paon parvenu à l'ultime stade de la surestimation de soi. Puis la mafia débarque et la lourdeur forcée du film se met à peser vraiment sur l'estomac. (critique cannoise)