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    Le Fils de Spartacus
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    3,0
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    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2013
    Divertissement sympa avec des acteurs impliqués et convaincants.
    Les éclairages, la musique, les jolis costumes et décors nous mettent dans l'ambiance antique.
    Bien qu'on sache que tous est tocs et cartons, on est transporté par la naïveté et la gentillesse de ce conte pour grands au cœur d'enfants. La qualité est largement au dessus des films récents.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 189 abonnés 4 177 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2022
    Actif sur près de quarante années (de 1951 à 1989), avec plus de soixante longs métrages réalisés, Sergio Corbucci aura été l’un des représentants les plus actifs de l’âge d’or du film de genre italien mais aussi l’un de ses plus inventifs et talentueux. Si le western spaghetti et la comédie ont constitué son domaine de prédilection où il aura donné le meilleur de lui-même (« Le grand silence » en 1968, « Django » en 1966, « El mercenario » en 1968, « Mais qu’est-ce je viens foutre au milieu de cette révolution ? » en 1972 ou encore « Les deux brigadiers » en 1961), le péplum n’aura pas manqué à son éclectisme avec trois films de bonne facture réalisés alors qu’au zénith de sa courte mais très prolifique période de gloire (comme toujours avec le cinéma italien de cette époque), le genre entame son déclin qui sera brutal et sans retour. Deux de ces trois films auront été tournés avec Steve Reeves, le plus populaire des acteurs du péplum qui avec « Les travaux d’Hercule » de Pietro Francisci avait lancé le genre en 1958. « Le fils de Spartacus » est le dernier film en jupette pour Steve Reeves dont la carrière va à la suite rapidement s’étioler. Opportuniste en diable comme tous ses confrères transalpins, Sergio Corbucci propose, mine de rien, une sorte de suite au succès mondial qu’a été deux ans plus tôt « Spartacus » de Stanley Kubrick avec Kirk Douglas dans le rôle-titre. C’est le fils de Spartacus pas encore conscient de sa filiation qui œuvrant comme centurion pour César (Ivo Garrani) alors en pleine quête du pouvoir, va se voir confier la mission d’espionner Crassus (Claudio Gora) son principal rival. Les aléas de la mission vont réduire Randus (Steve Reeves) au statut d’esclave spoiler: qui l’amènera comme son père à mener la révolte et ainsi à le venger en la menant cette fois-ci à son terme tout en évitant la crucifixion.
    L’intrigue plutôt cohérente et bien structurée en vaut bien d’autres, permettant à Corbucci de montrer son savoir-faire pour diriger les scènes épiques avec moult figurants. Le film tourné à Rome et au Caire est remarquablement mis en image par le futur réalisateur Enzo Barboni qui contribue à rendre tout à fait distrayant ce très bon cru d’un genre décrié qui faisait le bonheur des jeunes gens dans les années soixante avec tous ces muscles saillants et huilés qui soulevaient des rochers en carton-pâte et enlaçaient de très belles femmes comme ici Gianna Maria Canale, tout en n’oubliant pas de placer dans la bouche des acteurs , doublés par les plus belles voix du cinéma français d’alors, des dialogues certes un peu sentencieux et parfois en décalage avec le jeu des acteurs mais remarquablement écrits dans un français parfait. Une époque révolue pour des films qui ne peuvent désormais plaire qu’à des spectateurs les ayant connus dans leur naïve jeunesse. Toujours dans le registre de la nostalgie, on notera le clin d’œil amical et chafouin de Corbucci à Zorro, Steve Reeves signant à la pointe de l'épée sur les colonnes du temple ses exploits révolutionnaires d'un "S" qui veut dire Spartacus.
    Acidus
    Acidus

    726 abonnés 3 714 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 janvier 2016
    A l'instar de son compatriote et confrère Sergio Leone, Sergio Corbucci a également commencé sa carrière en réalisant plusieurs péplums dont ce "Fils de Spartacus". En premier lieu, on regrette que ce péplum soit doté d'un scénario et d'une mise en scène basique qui ne distingue pas celui-ci de la quantité impressionnante des films de ce genre existant à cette époque. On est loin de la folie et de l'originalité que l'on retrouve dans les western postèrieurs du cinéaste italien. Pire, "Le Fils de Spartacus" sombre souvent dans le ridicule avec des dialogues mièvres, une intrigue bourrée de clichés et des personnages stéréotypés au possible. Ce long métrage n'est pas dénué de charmes avec ses décors et costumes (sans parler de ceux de Steve Reeves) mais l'ensemble est bien trop léger et déjà fait 1000000000 fois en beaucoup mieux.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    107 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2014
    Un péplum spaghetti d'assez bonne facture qui ravira les amateurs de beaux jeunes gens musclés, au torse bronzé et luisant, en jupettes ras-le-poireau. Force est de constater que les femmes n'y ont pas de grands rôles...
    Wagnar
    Wagnar

    83 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2017
    Ce film se veut comme étant une suite au célèbre Spartacus de Stanley Kubrick, mais il ne fait que très artificiellement le lien avec celui-ci. Sergio Corbucci, futur auteur des chefs-d'oeuvre du western spaghetti que sont Django et le Grand Silence, livre un film regardable, un bon et intéressant film d'aventures, mais pas indispensable. Faire une suite au chef-d'oeuvre de Kubrick partait d'une idée pas mauvaise en soi. Mais au lieu d'appeler les italiens pour la réaliser, on aurait dû confier ce projet aux américains, voire même rappeler Kubrick, je suis sûr que le résultait aurait été ainsi plus convaincant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 février 2013
    Quand la série B italienne des années 60 se décide à produire une suite au mythique « Spartacus » de Kubrick, on est en droit de s’attendre au pire. Pourtant « Le fils de Spartacus » s’en sort plutôt bien grâce notamment à un rythme soutenu, à des scènes d’action nombreuses et à des décors biens foutus. Alors certes, ce film n’arrive pas à la cheville de celui de Kubrick, mais il n’en demeure pas moins une bonne surprise.
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