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Un visiteur
2,0
Publiée le 28 janvier 2014
Damien Jouillerot est insupportable avec sa tete de Mrse etet son physique de shrek , j'ai vu ce film sur la tnt un soir de merde de pluie , ça me fait trop penser à ces films genre les choristes c'est tellement téléphoné
Damien Jouillerot est insupportable avec sa tete de Mrse etet son physique de shrek , j'ai vu ce film sur la tnt un soir de merde de pluie , ça me fait trop penser à ces films genre les choristes c'est tellement téléphoné
Un film médiocre. Un bon casting mais un film totalement vide, pas de dynamisme pas de morale et un film qui se termine en queue de poisson. Bref je ne le conseil pas.
Le nouveau "téléfilm" de Zilbermann débarque sur nos écrans et tente de surfer sur la vague des "Choristes". Pourtant, on peut parier que le résultat sera différent. La faute tout d'abord à une mise en scène peu inspirée (et bien moins élégante que celle de Barratier), à des images laides qui ne rendent même pas justice à la beauté de Carole Bouquet (et faut le faire !), et à des personnages qui ne sont jamais attachants. Le gros problème du film vient du fait qu'il navigue entre deux eaux : le film d'apprentissage et la fable politique. Dans les deux cas, le contrat n'est pas rempli car il manque de la légéreté dans ce portrait d'un adolescent mal dans sa peau (et au final, assez énervant) et il manque un véritable arrière-plan historico-politique pour que cette métaphore sur mai 68 prenne. Bien sûr, le film se regarde, mais l'ensemble est tout de même assez ennuyeux et peu digne d'intérêt. Dans le genre, on a déjà vu mille fois mieux et il y a pas si longtemps.
Les fautes d orthographe est un film français chiant. Pénible dans le sens où il a été fait à une époque où l on parlait d un retour à l école d avant, les blouses (bien qu ici elles ne soient pas présentes), le pensionnat, la discipline, le rejet de la mixité... Bref toute une vision du "c était mieux avant" que j ai du mal à supporter. Le film n est en plus pas très dynamique, ne propose pas grand chose au niveau de la mise en scène. Seul Olivier Gourmet toujours excellent tire son épingle du jeu dans un rôle pourtant peu développé.
Vraiment déçue, je m'attendais à un film sympatoche et bien je n'ai pas du tout aimé, les enfants sont vulgaires et l'histoire est tirée par les cheveux !!
Académico-académique, ce film a plus l'aspect d'un téléfilm. La réalisation de Zilbermann est faible, et le film n'est pas forcément très intéressant, d'abord du fait que la cause des adolescents ne soient que moyennement compréhensives, du fait que les directeurs n'aient rien de bourreaux, mais aussi par un coté un peu simpliste, l'ensemble manquant tout de même un peu de profondeur. Dommage, car l'ensemble n'est en rien déplaisant, et l'interprétation était relativement bonne (Olivier Gourmet en tête.) Gentil.
Dommage... parce que ça commence bien... la première image où un gamin inberbe veut devenir adulte le plus vite possible, et se rase avec le mauvais côté du rasoir... cette 1ère scène nous montre déjà l'esprit du personnage et du film... mais voilà elle est déjà trop longue!!! Le réalisateur veut nous faire comprendre le malêtre du gamin face à sa maturité physique... et pour ceux qui n'auraient pas bien compris, il rajoute encore cinq ou six couches pendant le film... Tout le film est une sorte de répétitions des choses, certainement pour combler un manque d'imaginations... J'ai bien aimer l'esprit général du film, mais la fin est ridicule... HOP HOP REBELLION CONTRE LES NAVETS!!!!
Je me suis ennuyé du débus à la fin sur ce film d'enseignement des années 70. Je ne connait pas ce Damien Jouillerot mais tous ce que j'ai à dire c'est qu'il est mauvais et moche.
L'histoire du film avait l'air intéressante, mais la réalisation est beaucoup trop molle, Les acteurs peu convaincants, les personnages sont sans profondeurs. J'ai laché le film au bout de 30 minutes car rien ne se passait. Quel ennui!
Je n'ai pas aimé du tout. Ce n'est certes pas ce genre de film qui va conduire les élèves à bien se comporter en classe !!!!! pas plus qu'il est à la gloire des enseignants. Je pense également que le réalisateur aurait pu éviter la grossièreté qui ressort tout au long du film...... et je ne parle pas du passage à la cantine ; non vraiment à ne pas revoir
Voici un petit bijou de film au scénario parfait, aux dialogues bien écrits avec une bande son mémorable… Joel Favreau est à la guitare et nous offre une belle musique teintée « Brassens » qui souligne le caractère « souvenirs-souvenirs » de l’histoire qui nous est contée.
Il faut avoir été en pensionnat, ou en orphelinat dans les années pré 68 pour percevoir l’exactitude du propos de Jean-Jacques Zilbermann ! Les dortoirs, la cantine, les douches collectives, les surveillants de dortoir, les jeux collectifs, les souffre-douleur… C’était comme ça dans structures d’accueil d’enfants issus de milieu très défavorisé… Je l’ai vécu avant l’irruption (révolutionnaire !) de la mixité. Hormis cette situation, que je n’ai pas connue, tout ce qui est relaté dans le film me ramène à de nombreux souvenirs personnels et tout me semble ju...ste !
Et quelle belle prestation que celle de Damien Jouillerot qui incarne « Massu » le gamin souffre douleurs complexé, vif et intelligent du film… D’ailleurs, ici, tous les acteurs (jeunes et moins jeunes) sont au top niveau ! Olivier Gourmet, l’acteur fétiche des frères Dardenne, nous campe avec justesse un directeur « vieille école » honnête mais incapable de percevoir les nouveaux cheminements mentaux qui conduiront à Mai 68… Carole Bouquet est une maman soucieuse et attentive… Magnifique actrice, comme toujours ! ….
Dur l’adolescence avec ses peurs et ses violences ! Dur que cette période obsédée par le corps et sa relation aux autres… Dur la collectivité résultant du melting-pot de ces problématiques !
Mais c’est aussi l’âge des prises de conscience… De l’instauration de la loi symbolique… De la recherche des triangulations extérieures au monde familial… Du rejet nécessaire du monde formaté des adultes !
S'y ajoute les premières lueurs sinistres du struggle for life représentées par les obligations de résultats au niveau scolaire... Et l'orthographe c'est tout! C'est la porte ouverte de l'avenir si on la maîtrise... Malheurs à ceux qui sont en échec! Et tout cela est magnifiquement illustré par ce film intelligent. ….
UN MAGNIFIQUE FILM D’AUTEUR ! A VOIR… SI LE CINÉMA INTELLIGENT NE VOUS DONNE PAS DE BOUTONS !
Un film sans intérêt et complètement invraisemblable. On nage en pleine science-fiction car à cette époque là, les élèves respectaient leurs professeurs et même les surveillants, à plus forte raison le directeur. Je sais de quoi je parle, j'étais en 3è lors de l'année scolaire 1963/64 (B.E.P.C.). J'étais externe mais si les internes et demi-pensionnaires mangeaient de la "merde" comme on voit dans le film, je l'aurais sûrement su. Quant à l'élève Massu, il est complètement antipathique et manipulateur, et promet d'être un vrai salaud en vieillissant. Un navet si on compare ce film à LA CAGE AUX OISEAUX, LES DISPARUS DE SAINT-AGIL et même LES CHORISTES. Je préfère rigoler en regardant LA GUERRE DES BOUTONS.
Le premier problème, c'est le casting, on voit mal Carole Bouquet enfanter un laideron pareil, et même se marier avec le pathétique (mais excellent acteur) directeur du pensionnat. Ni l'approche ni le sujet n'a à voir avec "Les choristes". Tant mieux pour l'originalité, tant pis pour le film, qui est particulièrement lourd. Le "héros" est vraiment emmerdant de problèmes de toutes sortes et de lâchetés à l'avenant. Parce que son "courage" n'est que réaction et marchandage. Bref, loin de tous les films sympathiques et parfois complexes sur l'adolescence de cette année. La bonne scène de la fin empêche de bailler, mais est-elle si vraisemblable ? A vous de voir.
Ben si c'était pour reconstituer l'ennui qu'on pouvait éprouver dans les pensionnats dans les années 70, c'est réussi. Seulement nous aussi on s'est ennuyé. Pas de rythme, pas de fil conducteur, et vrai, comme le dit un autre critique : aucune ressemblance physique avec les parents. C'est une erreur. Si on veut qu'un film soit crédible. Donc, au bout de 20 mn on a regardé fish and chips, et on s'est régalé.