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I'm A Rocket Man
276 abonnés
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5,0
Publiée le 5 août 2023
Alors là je suis sur ls fesses... cela fait des années que j'ai cette saga et que je me dis que ca ne doit pas être bien terrible mais hier soir, à la veille de la reprise de la saison de foot en championship, je me suis dit que c'était le moment et j'ai a-do-ré ça ! Déjà Santiago est super attachant et même si c'est un peu gros parfois, c'est super prenant et super excitant de voir ce jeune prodige monter en puissance... en plus c'est le fun de revoir des joueurs com Alan Shearer, Milan Baros... et moi j'ai passé une soirée de rêve et j'ai trop trop hâte aux suites... vive le foot... vive Goal... vive Santiago Munez !
J’adore le foot (je suis pour l’ASSE, mais c’est difficile parce qu’on perd souvent). Quand j’ai vu qu’il existait un film sur le ballon rond, j’ai sauté sur l’occasion, surtout que ça parle du club Anglas de Newcastle, qui est maintenant devenu très riche ! Bon, le problème c’est que ma copine n’était pas très contente quand je lui ai dit que je voulais regarder ce film, parce qu’elle trouve que je regarde déjà trop de matches à la télé. Le deuxième problème, c’est que le film est nul ! On ne croit jamais à cette histoire de Mexicain qui débarque en Angleterre et qui devient une star. Combien de joueurs Mexicains ont réussi à devenir forts en foot hein ? Presqu’aucun, d’ailleurs réfléchissez bien et vous aurez du mal à me citer trois joueurs Mexicains connus, à part celui qui faisait des sauts de crapaud à la coupe du monde 98. Et puis quand on regarde un film sur le foot, on a envie de voir des belles actions et des beaux buts ! Et là il n’y a rien de tout ça ! Déjà que je regarde souvent des matches sans but à cause de l’ASSE qui a du mal à marquer…Du coup je n’ai pas eu envie de regarder les deux suites qu’ils ont fait. De toutes façons, j’aurais beaucoup de mal à convaincre ma copine…
Un gentil film mêlant sport et ascension sociale et sportive. Clairement, ce n'est pas le film du siècle mais on passe un moment sympathique. Un peu trop de longueur mais ça tient la route.
J’ai trouvé ce film pas mal. Ce qui est ironique, c’est que la thématique principale est le football, par contre c’est surement ce qui est le moins bien reproduit. En effet, les matchs sont assez mal retranscrits et ne font pas vraiment vibrer. D’un point de vue ambiance ça passe, mais par contre pour le jeu en lui-même ce n'est pas terrible. C’est un peu le cliché du football. Le joueur vedette passe son temps à dribler et on a l’impression qu’il est invincible. De plus, la manière dont fonctionne le club de Newcastle fait peu réaliste. Il y a un gros manque de cohérence entre cet univers, et la façon dont fonctionnement réellement le monde du football. Le plus étonnant est que la FIFA a participé activement à l’élaboration du projet. Si on met cet aspect ratage, qui agacera certains fans du ballon rond, l’histoire en elle-même est sympathique. Bon je dois avouer que c’est légèrement abusé et caricatural mais ça a son charme. Cela fait du bien de temps en temps. J’ai trouvé le personnage de Santiago Munez vraiment attachant. Il vit quelque chose comme au fond d’eux fantasment tous les gamins jouant au football à travers la planète. Le scénario est rempli de facilité, mais ça fait partie de l’aspect rêve à paillette. Le Mexicain Kuno Becker assure à ce poste.
J'ai été agréablement surpris par ce film. Je n'en attendais pas grand-chose car le scénario est on ne peut plus convenu : un enfant pauvre, latino, quitte la voie qui lui était tracée de travailleur sans-papiers pour devenir footballeur professionnel. Mais, ce film britannique est bien joué et les rebondissements spoiler: (le match d'entraînement dans des conditions climatiques très anglaises ;-) . l'interception du taxi pour une noble cause) sont suffisamment originaux pour qu'on se laisse porter par l'histoire. En plus, le héros est très attachant. J'ai d'ailleurs déjà très envie de voir les deux suites de ce film. Ma note pour ce film aurait été encore meilleure si l'équipe de football choisie n'était pas Newscastle United mais une équipe française du sud-est de la France qui joue en bleu et blanc ;o)
Amateur de football, cela faisait un petit moment que je tournais autour de « Goal! : Naissance d'un prodige », sans me décider à le regarder. C'est que le sujet est rarement propice à des réussites, ce qui ne sera à nouveau pas le cas. Quelques bonnes idées, notamment de choisir un club « normal » pour voir le héros s'épanouir, ou encore un casting, notamment secondaire, de premier choix : Stephen Dillane, l'adorable Anna Friel et surtout l'excellent Marcel Iures en coach de l'équipe première, dont je suis surpris d'apprendre l'existence seulement aujourd'hui. L'engouement populaire autour de Newcastle est également bien rendu, offrant quelques scènes assez sympas, notamment à l'intérieur des pubs. Mais bon, encore une énième « success story » à l'américaine (tout en se déroulant en Angleterre) bien lourde et caricaturale, n'hésitant pas à abuser de tous les clichés du genre spoiler: (père très dur mais finalement plein d'amour, le travail finissant par payer) , le scénario offrant trop d'aberrations pour que l'on puisse y croire un peu, le summum étant atteint lors de la réintégration de Santiago suite au plaidoyer de son coéquipier en sa faveur, pour ne citer qu'elle. Dommage, l'idée n'était pas mauvaise. Encore aurait-il fallu se donner moins de peine avec les symboles religieux et plus sur les scènes de matchs, oscillant entre jeux vidéo, cinéma, caméra amateur et prises de vue étranges, ne ressemblant globalement à rien et proche du zéro niveau immersion et crédibilité, y compris dans les scénarii des rencontres. Bref, un projet plutôt sympa rendu inintelligible par les studios Disney et leur volonté de transformer en conte de fées ce « triomphe de la volonté ».
J'attends toujours le film ultime sur le football et ce n'est pas Goal ! : naissance d'un prodige qui va combler cette attente. Rien n'est crédible. Les contes de fée, ça existe. Il y a des tas de joueurs ayant commencé à jouer dans la rue, dans les favelas et là on touche à la simplicité de ce sport : deux vêtements pour faire les buts, un ballon et ça y est : on peut jouer. Là, on a ce mexicain qui, en un clin d’œil, est repéré dans la rue, atterrit en Angleterre où le dépaysement est total. Tu m'étonnes. Il pleut, il se fait marcher dessus, physiquement, il n'est pas au top. En plus de ça, il fait des erreurs, ment sur son état de santé, fréquente les mauvaises personnes. Mais non. Sa chance inouïe, surnaturelle, continue. Newcastle (bon, ce n'est pas Manchester United ou Chelsea, d'accord) lui fait faire un essai d'un mois, lui donne plusieurs chances de se rattraper, il arrive à séduire l'infirmière du club et il se retrouve bombardé en deux temps, trois mouvements, en équipe réserve puis titulaire dans l'équipe première ! Une vision romancée du football sûrement pour séduire les gamins et leur faire croire qu'en sachant faire quelques grigris on peut séduire un recruteur. Au risque de les décevoir une fois rendu compte que la réalité est un peu plus complexe. J'ai du mal à croire qu'un joueur professionnel comme ce Gavin Harris ait pu avoir une carrière comme la sienne en passant son temps libre à manger des pizzas, jouer aux jeux vidéos, sortir en boîte et coucher avec des filles. C'est bon pour le cinéma. C'est plus vendeur de montrer un gamin parti de rien pour finir par jouer en Premier League, son père ne croyant pas en lui dans un premier temps pour rajouter des obstacles puis pour faire pleurer quand il se rend à l'évidence que son fils a un truc, une histoire d'amour inutile où il suffit de dire à une fille qu'elle sent bon pour se la mettre dans la poche. Le football peut rassembler des gens ne se connaissant pas. C'est ça qui est fascinant et c'est un peu montré. C'est un bon point. Les plus nostalgiques auront reconnu Alan Shearer, Beckham, Zidane et Raul venus faire une apparition et dire bonne chance au petit jeune. Rien ne m'étonne avec lui. Je ne sais pas où l'imagination des scénaristes ira l'emmener.
Le thème du football a rarement été exploité au cinéma et ce Goal avait pour but de nous montrer l'envers du décor, les prémices du succès d'un jeune footballeur et les étapes pour arriver au sommet. Côté véracité et crédibilité, le film est totalement à côté de la plaque, en aucun cas cela ressemble à la réalité des centres de formation et du monde professionnel du football. Par contre, le fait de voir certains vrais joueurs et davoir un film centré sur leurs passions, rendra le film passionnant pour les amateurs de ballon rond. Cote cinema, le film n'est pas folichon mais la sympathie peu crédible des personnages rend le tout attachant et on se laisse prendre au jeu du supporter.
Un drame footballistique avec des acteurs convaincants, des séquences sportives certes peu nombreuses mais prenantes et un final qui arrive même à émouvoir, malgré un scénario convenu et quelque peu cliché qui a du mal à se recycler en dehors des sentiers battus (espoirs, obstacles, romance etc...). Les fans de foot adoreront, les autres seront plus susceptibles de quitter le terrain.
Fan de foot, ce film ma emballé sur la jolie histoire de Munez, un peu naïve mais suffisamment bien amenée poir séduire. Ce n'est pas tant la vérité sur le terrain qui m'a plu, mais c'est dans le jeu des relations entre joueurs et direction de Newcastle que réside l'intérêt du film. A voir pour tout fan de foot. Les plus acharnés ne seront peut être pas convaincus du tout mais le résultat est correct et plutôt sérieux.
C'est vrai, je ne suis pas fan de foot. Je n'ai donc que moyennement apprécié le film. Sans doute parce que l'histoire du jeune mexicain qui passe la frontière des Etats-Unis, se fait repérer par un ancien joueur de foot et terminé comme grand joueur classé, c'est du cliché. Alors on s'attend tout de même à mieux. Voir quelques scènes de jeu sympas, une romance plus creusée, des personnages accrocheurs. Bon, en dehors de Beckham et Zidane qui font une petite apparition, il n'y a rien de spécial.
Décevant, une belle histoire pour faire rêver les plus petits, mais c'est tout. Les rêves sont encore plus beaux quand on les partage en profondeur, et là c'est le néant. Ici, les thèmes traités ne sont que le hasard, la chance pour réaliser ses rêves. Du coup, le scénario en est complètement touchée et truffés de rebondissements, et encore j'espère que vous avez compris l'ironie. On se doute bien que le réalisateur n'a pas fait exprès de traités ces thématiques.
Kuno Becker, n'y peut vraiment rien et ne sauve en rien son personnage caricatural de celui qui à des rêves pleins la tête et de celui qui est un véritable joueur qui change les matchs à sa manière par des prouesses techniques remarquables.(D'ailleurs, ils sont très peu dans le monde à réaliser des roulettes tous les deux minutes dans un match, je tiens à le signaler. Zidane, Cristiano Ronaldo, Messi, ils ne le font pas EUX !). La sous-intrigue parallèle amoureuse et des "filles de joies matérialistes" en est aussi un brin irritant.
Les coulisses du club ne sont pas représentées (seulement en surface, encore une fois...), les séquences de coaching sont d'un irréalisme total. Et l'univers du football est bien trop généralisée dans son ensemble. La soif du football n'y est pas, il n'y a aucune passion. Ce thème n'est pas facile car le risque est de tomber dans la facilité, mais autant faire simple. Le football est un sport simple non ? Ca ne sera pas une Palme d'Or, ni un Oscar, mais faire simple sans être caricatural n'empêche en rien d'être cohérent. Quand est-ce que nous aurons droit à un vrai film de football sans tomber dans le cliché, et les paillettes ? Peut-être jamais.
Comparé au second, le premier est bien mieux réalisé en terme de scènes "matchs". C'est bien plus prenant, et au moins le film n'a jamais aussi bien répondu à la philosophie du football : seul le rectangle vert tient en elle la magie du football. Sauf que c'est tout.
Coupe du monde oblige ! Non sérieux j'a bien rit devant la connerie, quelques bons passages mais que c'est moche ! Les clichés par dessus le tout, pas possible. Je précise que je suis fan de foot !
J'aime ce film juste pour son côté réaliste, je suis plutôt un fan de foot et je trouve que le phénomène de jeunes joueurs repéré à l'étranger par de grand club est plutôt mais a part sa rien de spécial. Le rythme du film est vraiment chiant donc si vous n'aimez pas le foot pas la peine de regarder ce film.