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En quoi les jeunes pensionnaires d’une académie isolée dans les bois risquent-elles d’y laisser des plumes ?... c’est là tout l’intérêt de The Woods.
Mal dégrossie, la jeune Heather (Agnes Bruckner) est abandonnée par ses parents dans une institution tenue de main de fer par une Miss Traverse inflexible (Patricia Clarkson). La jolie rousse (fire-crotch) deviendra vite le mouton noir.
Beaucoup moins connu —et moins trash— que les précédents films du réalisateur (All Cheerleaders Die et May) The Woods vaut le détour... sans atteindre les cimes fantastiques de grands classiques comme Suspiria ou Phenomena (Dario Argento) auxquels on pense malgré tout. Pour autant, les marottes de Lucky McKee (feminité versus retour à l’état sauvage) apparaissent déjà clairement. Elles nous exploseront vraiment à la figure avec son chef d’œuvre co-écrit avec Jack Ketchum en 2011 : The Woman.
Mal dégrossie, la jeune Heather (Agnes Bruckner) est abandonnée par ses parents dans une institution tenue de main de fer par une Miss Traverse inflexible (Patricia Clarkson). La jolie rousse (fire-crotch) deviendra vite le mouton noir.
Beaucoup moins connu —et moins trash— que les précédents films du réalisateur (All Cheerleaders Die et May) The Woods vaut le détour... sans atteindre les cimes fantastiques de grands classiques comme Suspiria ou Phenomena (Dario Argento) auxquels on pense malgré tout. Pour autant, les marottes de Lucky McKee (feminité versus retour à l’état sauvage) apparaissent déjà clairement. Elles nous exploseront vraiment à la figure avec son chef d’œuvre co-écrit avec Jack Ketchum en 2011 : The Woman.
Mélanger sorcellerie et pensionnat de jeunes filles est une bonne idée. L'ambiance du pensionnat est remarquablement rendue, quelques petites touches suffisant pour créer un climat anxiogène. La mise en scène est impeccable, les décors sont soignés et la distribution est éclatante, le personnel enseignant étant remarquablement brossé et notamment la directrice, la toujours belle et classieuse Patricia Clarkson. Le point faible est la partie sorcellerie qui souffre de déficit
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Drôle de film. Au premier abord la mise en scène laisse dubitatif, puis peu à peu, le mystère s'installe. Un suspens poignant dans une atmosphère assez sombre, où chaque protagoniste est plus étrange l'un que l'autre. Ici la gente féminine est grandement majoritaire au casting puisque l'action se déroule dans un pensionnat pour filles reculé au fin fond des bois. Vous l'aurez compris, la présence de Bruce Campbell est anecdotique. C'est en réalité une histoire de sorcière plutôt banale, rien de transcendant, mais qui toutefois captive de bout en bout. Très peu à dire mais à voir tout de même. 3/5
On dirait un spin-off horrifique de Harry Potter, c’est nul, le scénario est tellement prévisible du début à la fin que c’est à la limite du regardable, franchement, on pourrait dire que la réalisation proprette et le casting (plutôt convaincant j’avoue) apporte un certain crédit mais sérieux ça suffit pas pour faire un bon film, moi je veux du mystère, de vrais questions, des idées de mise en scène, là y’a que dal, tout est déjà vu et fait à l’avance. Et puis on ne laisse jamais la complicité s’installer entre les pensionnaires, ce qui fait que l’héroïne est seule contre cette petite prophétie qui n’intéresse personne, en fait je ne sais même pas ce qui aura pu être apporté en plus tant c’est irrattrapable comme projet, enfin il est certain que j’ai vu bien pire dans le genre mais c’est vraiment à éviter, histoire de pas perdre de temps.
Bon thriller fantastique sur un scénario original ou les éléments naturels comme la forêt jouent un rôle important.Le scénario est certes un peu compliqué à suivre mais la realisation vive et dynamique rattrape le tout.On notera l'interprétation excellente des jeunes actrices et une apparition en forme de clin d'oeil du héros "d'Evil Dead" Bruce Campbell.Un film à voir pour son côté énigmatique et intriguant.
2 ème film du réalisateur Lucky McKnee après le bon May et avant l'excellent The Woman viens The Woods qui n'est pas son meilleurs bien que assez prenant .
Une histoire dans un pensionnat de jeunes filles qui est tenu par des professeurs qui sont en faite des sorcières et dont le bois qui se situe tout autour du pensionnat ne laisse échappé personne.
Un Bruce Campbell qui joue le père de la fille qui se ferra discret mais qui reprendra la hache pour combattre cette forêt oppressante, ça me rappel quelque chose ça !!!
Une histoire dans un pensionnat de jeunes filles qui est tenu par des professeurs qui sont en faite des sorcières et dont le bois qui se situe tout autour du pensionnat ne laisse échappé personne.
Un Bruce Campbell qui joue le père de la fille qui se ferra discret mais qui reprendra la hache pour combattre cette forêt oppressante, ça me rappel quelque chose ça !!!
Eric C.
Univers très soigné pour un film d’horreur efficace avec une mise en scène soignée et une superbe photo. Le pensionnat est très travaillé au niveau de l’esthétisme avec en plus une palette de couleurs très réussie. Magnifique interprétation de la directrice et de sa bande de professeurs énigmatiques. Un bon casting de jeunes actrices dont la superbe Rachel Nichols. L’horreur monte en puissance et ce film assez méconnu est une réussite.
The Woods : Un thriller d’épouvante assez bien rodé et prenant. Avec un scénario astucieux et un coté mystère et énigmatique qui est franchement appréciable. Car, c’est une adolescente assez rebelle qui se retrouve dans un passionna assez inquiétant. Car, c’est très stricte mais en même temps il y a des choses bizarres qui se produise : on pourrait dire que ce lieu est dirigés par des sorciers au sens large comme au figuré. Et toutes les élèves serait envoutés par eux et par une certains foret qui les attires près du pensionna. Donc voila, scénario intrigant avec pas mal de rebondissement, cela ne brille pas par son originalité mais au moins, c’est efficace. De plus, la mise en scène est soignée car l’ambiance est maitrisé et assez prenante. Sinon, les acteurs sont convaincants et jouent plutôt bien. Bon, dommage que l’on ne voit pas plus l’excellent Bruce Campbell, c’est juste l’histoire de faire une apparition pour faire un clin d’œil a Evil Dead (surtout avec la hache a la fin ^^ quand j’ai vu ça, cela ma bien fait rire). Donc voila, un bon film du genre franchement.
Pas aussi marquant que son excellent "May", néanmoins Lucky McKee nous offre avec "The woods" un film d'horreur tout a fait acceptable et qui se visionner sans ennui. L'histoire est celle de la jeune Heather qui est envoyée dans un pensionnat situé au fond des bois. Mais très rapidement, des étudiantes disparaissent de manière mystérieuse et tout porte à croire que les bois environnants y sont pour quelque chose. Le sujet est fort banale mais la très bonne réalisation nous fait tenir en haleine. Il y a en effet dans la mise en scène une bonne dose de suspense et de tension. Côté casting, on retrouve des valeurs sûres comme Bruce Campbell et Patricia Clarkson, mais aussi de jeune talentueuse actrice comme Agnès Bruckner par exemple. A noter aussi la présence de très bons effets spéciaux et de bonnes scènes gores à la fin du film.
Si l’on divise le film en plusieurs parties, je dirais que sa dernière partie (après le retour de l’hôpital) est bâclée et expédiée de façon trop abrupte. Pourtant ce film possède de nombreuses qualités : une très bonne réalisation grâce à Lucky McKee (qui nous a offert un véritable chef d’œuvre avec« May »), de très bonnes actrices notamment l’héroïne et la directrice de l’école (mais sous exploitée), une ambiance mystérieuse… Malheureusement, avec ses nombreuses références aux films de genre, notamment « Suspiria » de Dario Argento, le scénario manque d’originalité. Mais surtout, la fin du film est un peu grotesque et trop vite expédiée. C’est vraiment dommage ! Les plus : - De très bonnes actrices. - L’ambiance mystérieuse. - Une réalisation impeccable. - Des bons effets spéciaux. Les moins : - Une fin indigne du reste du film. - Un scénario sans grande originalité.
The Woods est une belle surprise , mélangeant un peu l'horreur et le conte
spoiler:
sorcier
.
Les acteurs jouent tous très bien leurs rôles , on regrettera cependant le manque flagrant de scénario et les longueurs un peu ennuyeuses qui rendent le film un petit peu fade ainsi que le manque total de frissons.
The woods est un bon film , mais qu'on oubliera bien vite 3/5
.
Les acteurs jouent tous très bien leurs rôles , on regrettera cependant le manque flagrant de scénario et les longueurs un peu ennuyeuses qui rendent le film un petit peu fade ainsi que le manque total de frissons.
The woods est un bon film , mais qu'on oubliera bien vite 3/5
Un bon film, indémodable, un classique dans son genre.
Le film tourne autour d'un beau décor et d'un bel univers, un combo simple, mais qui marche parfaitement !
Le film tourne autour d'un beau décor et d'un bel univers, un combo simple, mais qui marche parfaitement !
S'il ne brille pas par son originalité, "The Woods" reste un bon film d'horreur à voir pour son ambiance particulièrement soignée par la mise en scène très maîtrisée de Lucky McKee qui sait jouer avec les décors et la teinte de la photo pour créer un univers à part entière. On se prend au jeu de cette histoire de jeune fille qui arrive dans un mystérieux pensionnat et qui arrive même à nous surprendre parfois dans ses rebondissements. Ce n'est pas brillant mais il y a du style, un univers bien particulier et ça a assez de mérite pour être découvert pendant une heure et demie.
Après le très bon 'May', sorti en 2002, Lucky McKee revient avec un film tourné vers l'épouvante pure et dure (alors que 'May' s'orientait plus vers le thriller psychologique). C'est Agnes Bruckner qui est au centre de cette histoire de fantômes et sorcières, en adolescente rebelle délaissée par ses parents, qui sera confrontée à une étrange malédiction dans les bois avoisinant le pensionnat dans lequel elle a été envoyée. On retrouve les bonnes recettes et caractéristiques du cinéma de McKee : une mise en scène léchée, une femme au centre de l’intrigue, et un final tonitruant et jouissif. En revanche, on pourra constater que le rythme est irrégulier, laissant de pesants creux de temps en temps. Les effets spécieux quant à eux ne sont pas excellents mais leur apparition est nécessaire, indispensable pour mettre en scène certains effets d’épouvante intéressants. Les chuchotements – qui se veulent terrifiants mais qui ne le sont plus depuis bien longtemps – sont pour ma part de trop, inutiles, qui rendent même légèrement ridicules certaines scènes. L’ensemble est tout de même bon, c’est indéniable.
Avant de regarder "The Woman", son dernier long métrage, je me suis replongé avant-hier dans un autre film de Lucky McKee, "The Woods", que j'avais déjà vu il y a quatre ou cinq ans, et je tiens à dire ici que contrairement à ce que l'emballage du DVD peut laisser penser, "The Woods" n'est pas une série Z torchée à la va-vite et fréquentée par des comédiennes qui ne savent pas jouer, mais un film d'une indéniable qualité, pétri de sensiblité et affichant une grande élégance formelle (certains plans et mouvements de caméra sont impressionnants par leur technicité et leur beauté) (le seul petit reproche qu'on peut lui faire : après une première demi-heure envoûtante aussi évidente que la chevelure émeraude d'un bouquet d'arbres, le rythme devient bizarre et saccadé, mais le final hautement artistique biffe d'un coup de pastel ce petit travers narratif (pour terminer, un mot sur Lauren Birkell qui, avec son beau visage à la physionomie inhabituelle, dégage un sacré charisme ; on ne la voit pas assez souvent)).
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