Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
par Michel Strogoff
Des chassés-croisés d'une intensité poétique inouïe entre le père, la fille et les clients et qui ne cessent de s'accroître jusqu'à un faux final qui laisse le spectateur pantois, mais jamais coupable de voyeurisme.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Tout à la fois glauque et lyrique, beau et démesuré, dérangeant et intransigeant, Samaria, moins esthétisant et aussi incisif que les autres Kim Ki-duk, confirme le talent d'un artiste hors pair qui n'est pas que bon à filmer la beauté des lacs et le changement des saisons.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Cinéastes
par Olivier Lehmann
Samaria, en dépit de son statut de petit film tourné en dix jours dans l'urgence, a permis à Kim de remporter l'Ours d'argent du meilleur réalisateur au dernier festival de Berlin.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Fidèle à ses thèmes de prédilection, le cinéaste du beau Printemps, été, automne s'interroge sur la nature de l'innocence, avec quelques détours sur le péché, la rédemption et la culpabilité. Son écriture est rapide, sèche, sans fioriture ni pathos, à la manière d'un Fassbinder. Un conte moral et du vrai cinéma.
Le Monde
par Jean Luc Douin
Alternant des moments de grande tendresse et des scènes d'intense violence, glissant de poétiques références bouddhistes ou surréalistes, cette sorte de fable sur l'héritage et sur l'initiation brouille toutes les notions de morale, culpabilité, amour, purification.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Sans être radical, Samaria est émaillé d'éclats de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rock & Folk
par Christophe Lemaire
Comme les précédents films de Kim Ki Duk, Samaria semble synthétiser cette frontière indéfinie qui existe entre le bien et le mal. Ce qui, mine de rien, fait la marque des grands cinéastes contemporains.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le cinéaste coréen met en scène cette parabole sur la déchéance et la rédemption avec une distance qui, sans anesthésier la violence des images et du propos, exclut tout jugement moral et confère à cette tragédie moderne une poignante dimension humaine.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le film termine dans un no man's land, décor parfait pour une histoire qui refuse les repères et joue sur l'indéfinissable. Son propos est en partie indécidable, même s'il est d'abord question de la difficulté de quitter l'enfance. C'est dit avec presque trop de retenue. Mais dans une atmosphère entêtante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Après Printemps, eté, automne..., superbe carte postale pour routards cinéphiles en quête d'exotisme balisé, Samaria poursuit le pèlerinage du cinéaste au pays des enfants terribles et des grands romantiques (...). Oeuvre limpide d'une beauté aux limites du sidérant, le film n'en reste pas moins désespérément naïf, grignoté de tout bord par sa dialectique laborieuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Antoine de Baecque
Si on suit le parallèle, on doit se demander: où est le bien, où est le mal ? Question pas inintéressante, au demeurant, mais posée avec une telle complaisance racoleuse qu'on se demande quelles vessies Kim Ki-duk prétend faire passer pour une lanterne mystique. Puis survient un ultime quart d'heure, beau, simple, en roue libre, qui multiplie la perplexité par dix.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
En sectionnant son histoire en différentes paraboles, Kim Ki-duk noie son propos. Il nous faut attendre (longtemps) la deuxième partie du film pour entrevoir ce qu'il contient de plus passionnant : les angoisses du père devant les errements de sa fille. Enfin le réalisateur arrive à nous toucher. (...) De quoi attendre son prochain long métrage avec toujours autant d'impatience...
Première
par Gerard Delorme
Si Printemps, été , autome hiver... et printemps était l'équivalent graphique d'une estampe méticuleusement exécutée couche après couche, Samaria ressemble davantage à un croquis à main levée, à peine rehaussé d'aquarelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
Des chassés-croisés d'une intensité poétique inouïe entre le père, la fille et les clients et qui ne cessent de s'accroître jusqu'à un faux final qui laisse le spectateur pantois, mais jamais coupable de voyeurisme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Tout à la fois glauque et lyrique, beau et démesuré, dérangeant et intransigeant, Samaria, moins esthétisant et aussi incisif que les autres Kim Ki-duk, confirme le talent d'un artiste hors pair qui n'est pas que bon à filmer la beauté des lacs et le changement des saisons.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Samaria, en dépit de son statut de petit film tourné en dix jours dans l'urgence, a permis à Kim de remporter l'Ours d'argent du meilleur réalisateur au dernier festival de Berlin.
Le Figaroscope
Fidèle à ses thèmes de prédilection, le cinéaste du beau Printemps, été, automne s'interroge sur la nature de l'innocence, avec quelques détours sur le péché, la rédemption et la culpabilité. Son écriture est rapide, sèche, sans fioriture ni pathos, à la manière d'un Fassbinder. Un conte moral et du vrai cinéma.
Le Monde
Alternant des moments de grande tendresse et des scènes d'intense violence, glissant de poétiques références bouddhistes ou surréalistes, cette sorte de fable sur l'héritage et sur l'initiation brouille toutes les notions de morale, culpabilité, amour, purification.
Les Inrockuptibles
Sans être radical, Samaria est émaillé d'éclats de grâce.
Rock & Folk
Comme les précédents films de Kim Ki Duk, Samaria semble synthétiser cette frontière indéfinie qui existe entre le bien et le mal. Ce qui, mine de rien, fait la marque des grands cinéastes contemporains.
TéléCinéObs
Le cinéaste coréen met en scène cette parabole sur la déchéance et la rédemption avec une distance qui, sans anesthésier la violence des images et du propos, exclut tout jugement moral et confère à cette tragédie moderne une poignante dimension humaine.
Télérama
Le film termine dans un no man's land, décor parfait pour une histoire qui refuse les repères et joue sur l'indéfinissable. Son propos est en partie indécidable, même s'il est d'abord question de la difficulté de quitter l'enfance. C'est dit avec presque trop de retenue. Mais dans une atmosphère entêtante.
Chronic'art.com
Après Printemps, eté, automne..., superbe carte postale pour routards cinéphiles en quête d'exotisme balisé, Samaria poursuit le pèlerinage du cinéaste au pays des enfants terribles et des grands romantiques (...). Oeuvre limpide d'une beauté aux limites du sidérant, le film n'en reste pas moins désespérément naïf, grignoté de tout bord par sa dialectique laborieuse.
Libération
Si on suit le parallèle, on doit se demander: où est le bien, où est le mal ? Question pas inintéressante, au demeurant, mais posée avec une telle complaisance racoleuse qu'on se demande quelles vessies Kim Ki-duk prétend faire passer pour une lanterne mystique. Puis survient un ultime quart d'heure, beau, simple, en roue libre, qui multiplie la perplexité par dix.
MCinéma.com
En sectionnant son histoire en différentes paraboles, Kim Ki-duk noie son propos. Il nous faut attendre (longtemps) la deuxième partie du film pour entrevoir ce qu'il contient de plus passionnant : les angoisses du père devant les errements de sa fille. Enfin le réalisateur arrive à nous toucher. (...) De quoi attendre son prochain long métrage avec toujours autant d'impatience...
Première
Si Printemps, été , autome hiver... et printemps était l'équivalent graphique d'une estampe méticuleusement exécutée couche après couche, Samaria ressemble davantage à un croquis à main levée, à peine rehaussé d'aquarelle.