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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 février 2011
c'est de la balll le réalisateur est un génie, l'histoire et les Scènes filmés sont presque réelles, même la scène du viol on dirait que le psychopathe évadé," Krug " se fait la fille en réalité, un talon fou pour le reste des acteurs
Premier film de Wes Craven et il démarre fort, cette œuvre ne peut laisser indifférent de part le malaise qu'elle engendre. On ne pourra s'empêcher de la rapprocher de Massacre à la Tronçonneuse ou Maniac, deux autres films aux scènes chocs à la limite du soutenable et à l'ambiance des plus glauque. La force de La Dernière Maison... réside aussi dans un superbe retournement de situation des plus inattendu aux 3/4 du métrage. J'ai passé un agréable moment. Mais je dois tout de même avouer que je préfère son remake, ça doit être du au fait que le film à tout de même pris quelques rides.
On a beau dire... Les remakes des films de Wes Craven ont plus de gueule que les originaux (je ne parle pas de Freddy). L'histoire est ici excellente, puisque le film marque le départ du rape and revenge, sous genre bien connu du cinéma bis rentre dans le lard qu'on affectionne. Cependant, le jeu approximatif de certains acteurs (et notamment des violeurs, qui ont vraiment l'air défoncés tout le temps) nuit à la crédibilité du film (style documentaire, et quelques plans suggestifs à la violence estomaquante). Un classique donc, qui développe plus son introduction et la violence perpétrée à l'égard des jeunes filles de bonne famille, et qui expédie sa violente vengeance pendant les dernières minutes, lui donnant des airs de "punition de sang chaud", ce que le remake inversera complètement en insistant sur la préméditation et la transformation psychologique des parents. Intéressant à voir, mais le film a un peu vieilli.
J'ai visionné l'original après le remake. Et ma déception fut énorme. Ce film fut certes très novateur pour l'époque, mais les compliments s'arrêtent ici. Aucune dimension dramatique, un jeu d'acteur limite, et aucune tension. Un conseil, visionnez le remake
Pas mal, mais je m'attendais à mieux ! Pour ma part, je n'ai eu absolument aucun choc devant ce film, ni même des difficultés à le regarder... Il a surement mal vieilli ! Mais je ne suis absolument pas d'accord avec ceux qui disent qu'il est beaucoup plus violent et dure que "Massacre à la tronçonneuse" de Hooper. A mes yeux c'est loin d'être le cas. Ce dernier m'a traumatisé (ou presque) alors que le premier long-métrage de Craven m'a plus ou moins plu malgré un gros manque de budget... En conclusion "La dernière maison sur la gauche" est à voir pour les fans du genre et pour les fans de Wes Craven, mais c'est pas vraiment indispensable.
Premier film de Wes Craven, "La dernière maison sur la gauche" est dérangeant et malsain mais comporte tout de même un certain charme de part son esthétique vieillotte et sa BO décalée par rapport aux images. Le scénario est efficace, la mise en scène aussi et c'est avec un certain plaisir que l'on voit ce film.
Un film sympathique, tourné avec peu de moyens et bizarre quelques fois. La bande-son arrive étrangement sur des scènes où on ne l'attendait pas. Le scénario en lui-même n'est pas trop mauvais, une atmosphere glauque d'un côté, rayonnante de l'autre, mais des acteurs tellement mauvais...
Tout de même particulier avec l'ambiance power flower du début et un mélange de gore et de comique. L'histoire avait du potentiel mais la réalisation relève plutôt de l'amateurisme une demi étoile pour le final qui détend un peu.
J'ai trouvé ce film réussi. Pas trop de gore mais des scènes dérengeantes et insoutenables. Une descente aux enfers digne de Wes Craven. Un film décousu certes, mais je pense que ça fait partie de son horreur. A voir (sauf âmes sensibles)
Voilà typiquement le genre de film qui vaut (qui vit ?) plus par sa réputation que par ses réelles qualités artistiques. "Film culte", "film scandale", on a tout lu sur La Dernière Maison sur la Gauche. Sujet dérangeant s'il en est, le film a pourtant beaucoup de mal à nouer le ventre. Pourquoi cela ? La faute tout d'abord à une réalisation hasardeuse, limite amatrice, qui ressemble plus à un film tourné au caméscope par quelques ados pendant leurs grandes vacances qu'à la fameuse "première oeuvre" d'un réalisateur qui deviendra par la suite l'un des maîtres du cinéma d'épouvante. Le montage est lui aussi plus que moyen. Du côté des acteurs, c'est la catastrophe. Mais le pire est atteint avec la BO. Oh les morceaux en tant que tels sont irréprochables (de jolis morceaux champêtres qui ne sont pas sans rappeler le Pink Floyd d'Ummagumma ou bien le Neil Young d'Harvest, sorti d'ailleurs la même année). Mais c'est bien l'utilisation de la BO qui est catastrophique. Tellement mal utilisée qu'elle désamorce systématiquement la tension de certaines scènes forcément dérangeantes (enfin, sensées l'être...). Alors là où l'on devrait être pris de nausée devant une scène de course-poursuite par exemple, on est à deux doigts de rire et de taper du pied en rythme sur la musique ! Du coup, des scènes qui tournent au risible, au ridicule... à l'image de tout le film finalement. Fort heureusement, Wes Craven s'est amplement rattrapé par la suite, en offrant au monde des films qui continuent de hanter nombre de nuits d'adolescents.
le remake est 4 fois plus mieux ! J'aime bien Wes Craven (Freddy 1 et 7,scream 1,2 et 3...) et Sean Cunnhigam (Vendredi 13 1980) mais pour ce film , pas du tout apprécié !
Nettement moins optimiste et fleur bleue que le remake 2009, ce film a bien évidemment pris un coup de vieux. Le plus dérangeant finalement, c'est l'ignominie côtoyant la bande sonore régulièrement carnavalesque, maladresse étrangère à l'âge...
Pensé à la base comme un porno horrifique (idée qui sera finalement abandonnée, les acteurs, dont certains venant du milieu X, trouvant à juste titre que des scènes hards nuiraient plus qu'autre chose à la qualité du film), un quasi-remake de "La source" de Ingmar Bergman brut de décoffrage et extrêmement dérangeant, égratignant au passage la bonne bourgeoisie et illustrant à merveille la fin du rêve hippie (on ne peut s'empêcher de penser à la "famille" Manson). Avec ce premier film, Craven prouva qu'avec trois francs six sous et sur la base d'un pur film d'exploitation quasi-amateur, l'on pouvait mine de rien poser sa pierre à l'édifice d'un cinoche en pleine mutation.