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    La Dernière maison sur la gauche
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    152 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 mars 2014
    Je m'attendais vraiment à autre chose, que ce soit au niveau de la réalisation, que du scénario. Bon, c'est vrai que pour l'époque ce film était sans doute pas mal. Mais bon. Le scénario n'est pas assez exploité, c'est sans doute le plus gros point faible de ce film. Il y aurait tant de possibilités pourtant...
    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2014
    "La dernière maison sur la gauche" est un film d'horreur ultra culte signé Wes Craven. Morbide, pervers, malsain à souhait et j'en passe. Ce film est d'une cruauté et sauvagerie sans nom! Pas vraiment gore, ici tout est dans l'ambiance! Les acteurs sont très crédibles. Un classique de l'horreur.
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2014
    Avant de se faire connaitre comme un des grands maitre du cinéma horrifique, Wes Craven avait déjà signé ce petit film au budget dérisoire où il exercait déjà ses talents pour installer un sentiment de panique chez le spectateur sans pour autant avoir recours au moindre argument surnaturel. L’esprit libertin de la génération flower power incarné par ces deux jeunes femmes a aidé au public de s’y identifié malgré le jeu limité des actrices. Face à elles, une bande de psychopathes assez effrayants pour l’époque (même s’ils semblent aujourd’hui ridicules et même peu crédibles par rapport à ceux de Délivrance sorti la même année) et des sévices atroces bien transposées par la mise en scène. La qualité technique digne d’un film amateur, la bande-originale grotesque et la lenteur de la narration ont donné au film un terrible coup de vieux mais il reste un bon modèle de "Rape and revange" qui plaira aux amateurs de films vintage et de cinéma bis.
    Death_Metallus
    Death_Metallus

    11 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2014
    La Dernière Maison Sur La Gauche est à la fois connu pour être le premier film réalisé par Wes Craven (La Colline A Des Yeux, Les Griffes De La Nuit, Scream) et également pour être le premier véritable film-référence en matière de rape & revenge, sous-genre du film d'exploitation qui connut son heure de gloire durant les années 70. L'histoire s'inspire de La Source, film réalisé par Ingmar Bergman en 1960. La Dernière Maison Sur La Gauche, très encré dans l'époque psychédélique de la fin des années 60, souffre clairement d'un budget misérable. De ce fait, ce film possède presque un aspect amateur. Mais au-delà de ça, le montage, qui semble avoir subi certaines censures, est souvent très abrupt et manque de fluidité, la photographie est assez hideuse et la musique plutôt orientée country, même si certains pourront y trouver un côté décalé qui donne du cachet au film, est complètement hors-sujet. De la même façon, le scénario est quasiment inexistant et le jeu d'acteurs est très médiocre. Tout cela semble illustrer une certaine négligence de la part du réalisateur, pour lequel le succès inattendu du film fut probablement une raison de travailler plus sérieusement sur ses prochains films. Il n'empêche que ce film modeste possède quelques idées ingénieuses (l'utilisation d'une tronçonneuse, par exemple, qui sera reprise deux ans plus tard dans Massacre À La Tronçonneuse) qui allaient influencer une partie du cinéma d'horreur vers quelque chose de plus sale, de plus brutal, de plus déjanté.
    FaRem
    FaRem

    8 662 abonnés 9 536 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2014
    Le remake est tout simplement excellent mais je voulais quand même voir l'original pour me faire un idée. Après visionnage je préfère largement le remake qui est bien sur plus dans l'air du temps, ici les scènes sont beaucoup moins détaillées et font pas le même effet. Bon après il faut remettre le film dans son contexte vu qu’apparemment ce film a fait beaucoup de bruit à sa sortie et même si je préfère le nouveau c'est un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 juin 2013
    Des scènes choquantes, oui, mais dans un florilège d'absurdités appuyé par une bande son impropre au genre et qui tourne l'essentiel en dérision. Le résultat est donc difficile à suivre autant pour certaines scènes que pour une réalisation bancale, que l'âge et le manque de budget ne peut entièrement excuser.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 405 abonnés 4 439 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2013
    Évidemment la critique du film de Craven est moins bonne que celle du remake, mais enfin ne comparons pas l’incomparable. D’un coté un vrai film studio avec un budget de plusieurs millions, et la technique moderne, de l’autre un premier film réalisé avec une poignée de dollars et la technique des années 70 (et le début encore !).
    C’est un très bon film, pas parfait, mais déjà on sent le potentiel du réalisateur. Celui-ci s’appuie évidemment sur un excellent casting. Ce n’était pas super bien engagé pourtant, avec une série de noms inconnus et qui dans l’ensemble le sont restés. Les deux jeunes filles sont vraiment convaincantes, et font preuve à l’écran d’un naturel remarquable. Je regrette un peu d’ailleurs qu’elles n’aient pas faite une carrière plus consistante, même dans la série Z fauchée. Coté « pourritures » c’est clairement David Hess qui tire son épingle du jeu. Il est fait pour jouer le fou un peu séducteur, vaguement bad boy sur lui et tortionnaire dès qu’il le peut. Il est très bon ici, même si je le préfère dans le même type de rôle dans La maison au fond du parc. A noter aussi les prestations des parents, bien efficace dans la deuxième partie.
    Le scénario lui a des difficultés. L’histoire n’est pas mauvaise, attention, et a quand même imposer un sous-genre à l’époque, bien qu’il s’agisse d’un libre remake d’un métrage de Bergman. Le souci c’est surtout le rythme. Il y a quand même des temps morts, surtout dans la première partie. Au-delà de ces longueurs, tout ne s’enchaine pas avec une parfaite fluidité. On sent le coté un peu artisanal, et surtout le manque d’expérience de Craven dans la gestion du scénario et des transitions. Je ne vais néanmoins pas accabler un premier film comme c’est le cas ici.
    Sur la forme, La dernière maison sur la gauche fait daté, c’est certain. La photographie a du plomb dans l’aile, mais bon le film date du début des années 70, a été fait avec un tout petit budget, Craven pouvait difficilement faire mieux. Il se rattrape sur la mise en scène. Il évite d’abord la dimension racoleuse du viol. C’est le genre d’exercice casse-figure par excellence pour un réalisateur. Comment montrer l’horreur et la perversité, sans sombrer dans la pornographie ou la complaisance malsaine ? Craven s’en sort très bien, et la scène avec la jeune fille au milieu du lac est magnifique. Il y a aussi à la fin quelques moments intenses, qui montrent déjà toutes les qualités du réalisateur. Les décors eux sont limités au strict nécessaire. Craven a eu l’intelligence de restreindre le nombre de lieux, et au final pour le scénario, ce que l’on voit à l’écran suffit largement. Je précise qu’il n’y a pas d’effets horrifiques dans La dernière maison sur la gauche. Ce n’est pas un reproche mais une constatation pour le public qui pourrait éventuellement craindre cet aspect. Je note une belle musique, sans doute trop sous-exploitée, c’est dommage.
    En somme, La dernière maison sur la gauche, premier du nom, est un très bon film, relativement au budget bien sur, à l’époque ensuite, et à l’inexpérience du réalisateur. Il y a de l’émotion qui transparait de ce métrage, et une réelle compassion pour les victimes certes, mais aussi pour les parents. C’est là surement le gros point fort du film que d’être vivant. Alors qu’aujourd’hui la tendance est plutôt à la crudité, à la déshumanisation en matière de rape and revenge et plus généralement de film traitant du viol (le remake d’ailleurs ne suit pas beaucoup l’âme de ce premier film), La dernière maison sur la gauche, par sa construction laisse affleurer beaucoup d’émotions et de sentiments, souvent à fleur de peau. La deuxième partie du film est en cela remarquable. A voir pour ceux qui ne craignent pas le sujet.
    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 608 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2013
    Pas un grand film, ce premier Wes Craven, direction d’acteurs bancale, invraisemblances scénaristiques en pagaille, tentatives humoristiques pas du tout adaptées (les flics et le camion à poulet)…. « La dernière maison… » est néanmoins surprenant dans le fait par exemple d’utilisé la recette d’ « Orange mécanique » (sortie un an avant) c'est-à-dire mettre de la musique folk gentillette sur des scènes de violences, de tension ou de poursuite, ce qui crée un décalage pour le moins dérangeant ou absurde, c’est selon…. A part ça, on sent bien le climat de l’époque, l’Amérique du début des 70’s, Nixon, la fin de la guerre du Vietnam, les hippies, tout ça…
    Dicidente
    Dicidente

    35 abonnés 691 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mars 2013
    Moins efficace que le remake de Dennis Iliadis ,il met du temps à démarrer et à nous accrocher. Je le trouves davantage choquant puisque la perversité des psychopates est plus cru, et les passages de viols plus long, c'est même assez dur à regarder la façon dont ses spoiler: connards
    traitent ces pauvres jeunes filles. Je ne m'attendais pas à cela de la part de Wes Craven, puisqu'il fit par la suite des films beaucoup plus soft, je trouves. Par contre, celui-ci possède un côté ''comique'', par rapport au remake. Les pièges que le père tend aux malfrats sont un peu ridicules, et ils meurent trop facilement. Je mets une mauvaise note, car je l'ai trouvé malsain et moins bien que le remake.
    vinke H.
    vinke H.

    6 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2013
    malgré ses 40 ans et des poussières (!), ce 1er long-métrage de Wes Craven produit toujours son effet.
    A travers le calvaire qu'endurent ces 2 pauvres adolescentes malmenées par une bande de dégénérés abjects, c'est une certaine vison de l'Amérique qu'enterre Craven. Le rêve Américain n'est plus, la réalité sordide et violente (ce film est inspiré de faits réels) balaye l'insouciance des années "Peace and love".
    A ne pas mettre devant tous les yeux mais "la dernière maison...." reste un des piliers du film d'horreur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 février 2013
    Un film très malsain mais d'une efficacité redoutable, signé par le papa de Freddy Krueger, encore inconnu à cette époque.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Longtemps interdit par la censure la dernière maison sur la gauche est un film avec une ambiance très sombre et très pervers. Des acteurs par conte pas terrible. Un film très dur(en particulier quand Krug marque son nom en couteau sur le corps de mary).Le fils de Krug, Junior fait vraiment pitié. Ce film ma vraiment impressionné Wes Craven a réussi à mélanger tous les ingrédients pour faire un film horrifique. A voir.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 août 2012
    Pour une fois, je ne suis pas nostalgique. Mal filmé, montage hasardeux, mauvais acteurs sauf David Hess dans son rôle habituel de sadique, ce film sent l'amateurisme. Heureusement, Wes Craven a bien évolué depuis. Ici, réalisme rime avec pauvreté. A aucun moment les scènes de sadisme ne m'ont fait frissonner de peur. Par exemple, la castration n'a pas d'impact sur le spectateur. Il n'y a aucune tension qui se dégage de ce film. On est très loin de "Massacre à la tronçonneuse". Et que dire de la scène où les meurtriers se retrouvent chez les parents de leur dernière victime sans aucune explication ! Incompréhensible.
    Flotibo
    Flotibo

    53 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2023
    Wes Craven nous livre un film d'horreur culte, autant décrié, détesté qu'adoré ! Pour ma part, ce film reste l'un de ceux qui m'a le plus retourné pour ne pas dire choqué. Craven y décrit le calvaire de deux jeunes filles avec un réalisme qui fait froid dans le dos. L'ambiance un peu kitch qui s'en dégage est en opposition totale à ce qui se déroule sous nos yeux impuissants, ce qui renforce d'avantage cette sensation de malaise que l'on éprouve durant tout le film. A voir de toute urgence si ce n'est pas le cas !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 juillet 2012
    Le premier film de Wes Craven est un de ces indispensables du film d'horreur, souvent imité, rarement égalé (encore que, "La Dernière maison..." a indéniablement des points communs avec "Massacre à la tronçonneuse", sorti 2 ans plus tard, et aussi réussi dans son genre). Si le film parle d'une jeunesse perdue et sacrifiée (il y a souvent une métaphore, volontaire ou non, du Vietnam dans les grands films d'horreur de cette époque), le sujet final demeure néanmoins la vengeance : on a tout de même affaire à une sorte de réadaptation de "La Source" de Bergman. Le film de Craven est certes assez malsain (il est quand même question de viols, de torture et de meurtres...), il l'est néanmoins bien moins que "Massacre à la tronçonneuse". Cela tient au fait que Craven utilise beaucoup l'ironie et n'hésite pas à créer des décalages comiques, tant par la musique, que par les scènes avec les policiers (la scène des poulets fait délicieusement tâche, mais comment ne pas rire en la voyant ?), dont on sait qu'il ne faut guère compter sur eux dans ce genre de fâcheuses situations. Au final, l'humour ne rend ici le film que plus décontenançant qu'il ne l'aurait été qu'avec ses scènes trash. Indispensable en son genre.
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