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pfloyd1
129 abonnés
2 109 critiques
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1,0
Publiée le 6 mai 2023
Bien que l'on puisse pardonner certains ratés et l'amateurisme de la réalisation du à l’époque (1972), le film est complètement nul. A commencer par des acteurs certainement débutants et bien médiocres, une bande son totalement inadaptées pour le genre: de la country et de la pop des années 70 pour un film d'horreur ? Vraiment ? L'histoire tient à peu prés debout, du moins le scénario, propre à Orange Mécanique où une bande de sadiques s'en prennent à deux jeunes filles en fleurs en leur infligeant quelques tortures "légères" et mal interprétées. Pour l’époque c’était osé, aujourd'hui ce serait risible. La réalisation est tellement mauvaise que l'on ressent aucune empathie pour le sort de ces deux jeunes filles tellement c'est mal joué. Entre certaines scenes de nudité et de terreur qui ne convainc pas, ce film ne vaut pas grand chose. Préférez largement le remake de 2009 !
Film de série B. Les acteurs ne sont pas bons, le scénario est bancale, aucune émotion ressenti à travers l'acting. Wes Craven était clairement dans ses débuts. Film à oublier.
Ce premier film réalisé par Wes Craven et sorti en 1972 est assez moyen. J'admire pourtant beaucoup le réalisateur mais j'avoue que j'ai eu énormément de mal à accrocher à cette histoire, dans l'ensemble plutôt atroce. C'est un rape and revenge un peu particulier car ce n'est cette fois pas la victime qui se venge elle-même de ses ravisseurs (comme le fera d'ailleurs "Day of the woman" quelques années plus tard) mais spoiler: ses parents, lorsque les violeurs trouvent refuge dans la maison de ces derniers . J'avoue également que j'ai découvert le remake homonyme de 2009 avant ce film et je dois constater que c'est une des rares fois où je préfère un remake au film original. Ce film est d'ailleurs lui-même un remake du film suédois "La Source" mais ne l'ayant pas vu, je ne pourrais pas comparer les deux films. Enfin bref, je trouve ici dommage que le réel intérêt du film, c'est-à-dire la vengeance, n'occupe que les vingt dernières minutes de film. Le film durant une heure vingt, nous avons ainsi une heure dans laquelle il ne se passe finalement pas grand chose puisque le viol ne dure que quelques minutes. Malgré tout, ces quelques minutes sont assez éprouvantes d'un point de vue psychologique car la violence y est montrée de manière très crue et je comprends d'ailleurs que le film ait fait polémique à sortie. Le film possède également beaucoup de longueurs, ce qui nous fait perdre le fil de l'histoire assez souvent. En ce qui concerne les acteurs, ils sont très bons et ont surtout un jeu terriblement réaliste, ce qui augmente l'effet de malaise que le film tend à donner. "La Dernière maison sur la gauche" n'est donc pas très passionnant et ce n'est certainement pas le meilleur film du réalisateur.
Ou la la, que ça vieillit , 1ère mouture de Craven qui a engendré un remake en 2009, celui ci n'est pas terrible non plus car tourné avec 1 € de budget, m'image fait mal au crane, l'action donne envie de vomir , bref, on pourra la comparer avec la nouvelle version tout aussi malsaine et moins pire .
Bah.du grand Craven, ce film m'a scotché du début à la fin. Je vois qu'il y aura un REMAKE....Ben tient, c'est pas nouveau, va-t-on nous pondre une merde infâme?
Pour ceux qui trouve ce film pourri et incohérent:
-Vous ne lisez pas assez les journaux (Bon, là, c'est pas un drame)
-vous êtes sous neuroleptiques, donc bel et bien malade...
-Vous n'avez rien capté (A force d'user de drogues légales...normal)
-Vous détestez tout simplement Craven: Moi je déteste Bush, le Vatican et tout le monde ensuite...
-Vous êtes une sorte de philistin: Désolé, je ne peux rien pour vous... Les irrécupérables shootés à la PUB et au Mac Do...On ne peut plus rien pour vous...
Avant de se faire connaitre comme un des grands maitre du cinéma horrifique, Wes Craven avait déjà signé ce petit film au budget dérisoire où il exercait déjà ses talents pour installer un sentiment de panique chez le spectateur sans pour autant avoir recours au moindre argument surnaturel. L’esprit libertin de la génération flower power incarné par ces deux jeunes femmes a aidé au public de s’y identifié malgré le jeu limité des actrices. Face à elles, une bande de psychopathes assez effrayants pour l’époque (même s’ils semblent aujourd’hui ridicules et même peu crédibles par rapport à ceux de Délivrance sorti la même année) et des sévices atroces bien transposées par la mise en scène. La qualité technique digne d’un film amateur, la bande-originale grotesque et la lenteur de la narration ont donné au film un terrible coup de vieux mais il reste un bon modèle de "Rape and revange" qui plaira aux amateurs de films vintage et de cinéma bis.
une chef d'œuvre du genre qui na pas prit une ride , la violence est la mais craven na pas fait dans la surenchère , juste ce qu'il faut pour que cela face réaliste et c'est tant mieux
Pas un grand film, ce premier Wes Craven, direction d’acteurs bancale, invraisemblances scénaristiques en pagaille, tentatives humoristiques pas du tout adaptées (les flics et le camion à poulet)…. « La dernière maison… » est néanmoins surprenant dans le fait par exemple d’utilisé la recette d’ « Orange mécanique » (sortie un an avant) c'est-à-dire mettre de la musique folk gentillette sur des scènes de violences, de tension ou de poursuite, ce qui crée un décalage pour le moins dérangeant ou absurde, c’est selon…. A part ça, on sent bien le climat de l’époque, l’Amérique du début des 70’s, Nixon, la fin de la guerre du Vietnam, les hippies, tout ça…
Machiavélique de sadisme, La Dernière Maison Sur La Gauche n'en a pas finit de choquer, dégouter, retourner l'estomac de pauvres spectateurs en quête de sensations fortes. A classer à coté de Délivrance, La Colline A Des Yeux et tout autres films comportant autant de scènes choques.
L'ancienne version certes moins bonne que l'ancienne par son manque d'images récentes et bien travaillées, ne manque pas de nous tenir en haleine avec son scénario macabre qui pourrait malheureusement touché bon nombre de femmes à l'heure actuelle. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
La seconde partie, réservant quelques idées de mise en scène agréables, relève un film navrant, simple postiche sur la violence, la perversité et la torture d'un adolescent pubère à la recherche de sensation forte. La Dernière Maison sur la Gauche s'avère fade, ennuyeux, et passablement vide.
Premier film de Wes Craven et il démarre fort, cette œuvre ne peut laisser indifférent de part le malaise qu'elle engendre. On ne pourra s'empêcher de la rapprocher de Massacre à la Tronçonneuse ou Maniac, deux autres films aux scènes chocs à la limite du soutenable et à l'ambiance des plus glauque. La force de La Dernière Maison... réside aussi dans un superbe retournement de situation des plus inattendu aux 3/4 du métrage. J'ai passé un agréable moment. Mais je dois tout de même avouer que je préfère son remake, ça doit être du au fait que le film à tout de même pris quelques rides.
1972. Le monde n'est pas prêt pour "La dernière maison sur la gauche". Bien sûr à la regarder aujourd'hui, cela reste un film d'horreur sadique dont les acteurs jouent mal (comme tous les films de l'époque, même les meilleurs Carpenter ou Craven). Mais remettez-vous en 1972 et imaginez les gens hurler ou avoir la nausée dans la salle de cinoche. Aujourd'hui la mode est au sadisme, toujours plus loin et plus dur (Saw, Hostel et j'en passe), mais Craven, en 1972 ouvrait la voie à un genre qui n'a pas été repris pendant....30 ans. Leb réalisateur se paie même le toupet d'accentuer toutes les scènes difficiles avec un musique quasi comique. Un film sur la déchéance humaine, la vengeance, l'horreur quoi.
Enfin vu...et pas hyper convaincu. La dernière maison sur la gauche s'est sans doute imposé à son époque mais le film ne fait plus mouche aujourd'hui, on a vu pire et pas seulement à la télé. Le film peut retenir l'attention sur le soin accordé à l'ambiance, on a d'un côté le luxe bourgeois et le cocon familial bucolique et de l'autre des hippies paumés, abrutis mais qui ne reculent devant rien, les scènes de torture ont du être terrifiantes pour les spectateurs de l'époque. Il faut tout de même savoir que le film devait être plus violent sans censure. Mais l'image est vieillotte, les acteurs sont mauvais, et la musique mal utilisée. Un film à voir pour sa culture perso, parce qu'il a traumatisé Tarantino enfant, mais en 2011 il n'a plus de fraîcheur. Il faudra faire avec TCM pour marquer l'histoire du genre deux ans plus tard.
Le premier film de Wes Craven est un de ces indispensables du film d'horreur, souvent imité, rarement égalé (encore que, "La Dernière maison..." a indéniablement des points communs avec "Massacre à la tronçonneuse", sorti 2 ans plus tard, et aussi réussi dans son genre). Si le film parle d'une jeunesse perdue et sacrifiée (il y a souvent une métaphore, volontaire ou non, du Vietnam dans les grands films d'horreur de cette époque), le sujet final demeure néanmoins la vengeance : on a tout de même affaire à une sorte de réadaptation de "La Source" de Bergman. Le film de Craven est certes assez malsain (il est quand même question de viols, de torture et de meurtres...), il l'est néanmoins bien moins que "Massacre à la tronçonneuse". Cela tient au fait que Craven utilise beaucoup l'ironie et n'hésite pas à créer des décalages comiques, tant par la musique, que par les scènes avec les policiers (la scène des poulets fait délicieusement tâche, mais comment ne pas rire en la voyant ?), dont on sait qu'il ne faut guère compter sur eux dans ce genre de fâcheuses situations. Au final, l'humour ne rend ici le film que plus décontenançant qu'il ne l'aurait été qu'avec ses scènes trash. Indispensable en son genre.