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Chris46
517 abonnés
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3,0
Publiée le 10 juin 2014
Second volet de la saga de la coccinelle . Un agent immobilier nommer Alonzo Hank ( keenan wynn ) souhaite construire un gigantesque immeuble mais son projet n'aboutit pas car sur l'emplacement ou il désire construire son immeuble se trouve une ancienne caserne habitée par une vielle dame nommer madame steinmetz ( Helen hayes ). Et la vielle dame qui est la tante de séraphin et qui a hériter de la coccinelle refuse de quitter les lieux. Alonzo Hank demande a son neveu ( Ken Berry ) un homme naïf et doux de lui faire quitter les lieux en douceur . Mais ce deŕnier va être confronter aux allié de madame steinmetz la ravissante Nicole ( Stéphanie powers ) et la cocinelle choupette bien décider a la défendre ... Cette suite est distrayante mais décevante par rapport au premier volet. Dean Jones et buddy hackett les héros du premiers films ne sont plus de la partie et ils nous manque terriblement . Ils sont remplacé par le trio Ken Berry , Stéphanie powers et Helen hayes . Un trio sympa mais franchement pas a la hauteur de Dean Jones et buddy hackett . Leur personnages sont fade en comparaison . Tous les trois lutte contre un promoteur nommer Alonzo Hank incarner par keenan wynn qui désire déloger une vielle dame de chez elle pour pouvoir construire un immeuble . Ils vont être aider par notre coccinelle préférer . Une intrigue moins accrochante . Les courses en pleine air manque . Cette suite a beaucoup plus viellit que le précédent nottament a cause de quelques effets spéciaux qui ont assez mal viellit par moment . Les trucages donnant vie a la cocinelle sont toujour aussi réussit par contre. L'humour est beaucoup moins présente ou alors tombe un peu a plat a cause de gags éculé . Malgré tout cette suite est distrayante et se laisse regardé sans déplaisir . L'action est toujour présente et quelques touches d'humour font mouche. C'est toujour sympa de voir les péripéties de notre cocinelle préférer . La musique est toujour aussi efficace . Un des moins bon de la saga mais tout de même distrayant .
La plus chouette des coccinelles va tout faire pour calmer les ardeurs constructives d'un vilain promoteur immobilier, il y a même une scène d'anthologie ou elle envoie des coups de klaxon pour appeler à l'aide toutes les coccinelles de San Francisco. C'est un vrai film familial qui se regarde avec plaisir.
Un nouvel amour de coccinelle est un film très original de Robert Stevenson même si ce n’est pas spécialement une grande réussite. Le casting du film est excellent avec des acteurs comme Ken Berry, Stefanie Powers et Helen Hayes, certaines scènes sont géniales mais globalement le film reste assez moyen. Très rapidement on s’ennui et le film n’est pas très intéressant. Je mets donc un 10 / 20.
Excellente comédie familiale pour le bonheur des petits et grands. On ne se lasse pas des aventures de notre Choupette préférée. A consommer sans modération.
Les courses de voitures sont ici remplacées par des gags qui n'amusent personne. Même les plus jeunes risquent de ne pas apprécier ces aventures de la célèbre coccinelle.
Cinq ans après l'immense succès d'Un amour de Coccinelle, revoici Robert Stevenson aux commandes d'une suite toujours sous l'égérie Disney qui a tardivement décidé de poursuivre l'aventure. Exit Dean Jones et ses comparses, exit les folles courses automobiles, place à un scénario plus conventionnel, très classique chez les longs-métrages familiaux de chez Disney : après que son ancien maître adoré Jim ait du partir en Europe courir avec d'autres voitures aux prestigieuses marques, Choupette la Coccinelle a trouvé domicile chez la vieille tante de Séraphin, le mécano bouddhiste du premier film. Cette dernière refuse de céder sa demeure à un riche industriel qui souhaite tout raser pour installer son palace. Attaquée de toute part, la nouvelle maîtresse de Choupette sait qu'elle peut compter sur son amie à quatre roues pour la tirer de ce pétrin mais également sur une jolie hôtesse de l'air très serviable (la sexy Stefanie Powers) ainsi qu'un avocat en herbe introverti (Ken Berry, très mauvais acteur) qui s'avère être le neveu dudit industriel, campé quant à lui par Keenan Wynn qui reprend son rôle du tyrannique businessman Alonzo Hawk déjà présent dans Monte là-dessus et sa suite. Cette première séquelle conserve donc le même humour et le même dynamisme dans la mise en scène malgré une Choupette trop discrète, le véhicule n'intervenant que très rarement dans l'aventure. Hélas, Dean Jones et l'inénarrable Buddy Hackett manquent terriblement, cette suite pourtant de qualité n'arrivant cependant pas à la cheville de son prédécesseur. De plus, les scènes d'action "exagérées" sont ici plus nombreuses ; Choupette roule désormais sur les murs, sur le rebord d'un immense building et même sur les câbles du Golden Gate Bridge à travers une course-poursuite par ailleurs très raccourcie du à un montage expéditif. Moins réussie que le premier volet, cette suite reste cependant plutôt sympathique, notamment grâce à une bonne humeur toujours aussi présente et quelques séquences réussies comme lorsque Choupette amène à la révolte d'autres Coccinelles.
Fini les courses pour la coccinelle la plus populaire du cinéma, elle a désormais élue domicile dans le garage d’une ancienne caserne qu’une vielle dame veut sauver de la démolition. Ce divertissement destiné aux enfants (voir aux grands enfants pourquoi pas) est sympathique au début par son côté rétro et ses personnages très caricaturaux mais on comprend très vite qu"Un Nouvel amour de Coccinelle" présente un scénario tenant sur un bout de papier, et que les personnages à force d’être caricaturaux en deviennent niais même si les acteurs font preuve d’une certaine autodérision face à cet enchainement de gags surtout calibrés pour les plus jeunes (production Walt Disney oblige). Le film de Robert Stevenson gagne à être vu pour la nostalgie des films de cette époque même si de nos jours le rendu est difficile même pour les enfants.
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3,0
Publiée le 27 juillet 2012
Après avoir ètè sacrèe championne du box-office en 1969, Choupette, une Volkswagen 1200 douèe d'une volontè bien à elle, semble goûter une retraite bien mèritèe mais un promoteur sans scrupules dècide de la dèloger de chez elle par tous les moyens, pour construire un building! Alors, Choupette se dèchaîne, dans un festival d'effets spèciaux, en affrontant une armèe de bulldozers ou en franchissant le pont du Golden Gate sur un filin! Une suite qui a du coffre et des ailes où cette Volkswagen pas comme les autres n'a rien perdu de son punch, et mèrite que l'on s'arrête un instant pour l'admirer et rêver! Un film à dèguster en famille...
Largement moins bon que le premier opus, cette suite se laisse suivre sans déplaisir sans atteindre des sommets. La dernière demi-heure est plus imaginatif au niveau des gags, donc plus drôle. Divertissant.
Un petit film a déguster en famille pour passer une petit apres midi, qui même ; si la surprise du précédent n'y est plus. Réserve quand même pas mal de bonne séquences. D'autres un peu prise sur le précédent, mais on se laisse quand même prendre au jeu et pour un film de l'époque. LEs effets sont assez réussit (même si la photographie pourrait etre à revoir). Pour ce qui est du scénario, un brin original (en faisant abstraction du 1er) et une mise en scène convenable. Qui nous permet de ne pas oublier le coté disney. Pas un chez d'oeuvre, mais un petit divertissement familiale qui se laisse sans prise de tete.
"Le nouvel amour de Coccinelle" est le deuxième volet de la saga. Après un premier épisode qui introduisait le concept, les personnages et l'ambiance, ce second opus paraît comme une suite à contre-courant total de ce que la licence voulait proposer à la base. Cette fois-ci, le côté burlesque est encore plus poussé à fond, avec un genre poussé vers la comédie et bien plus assumé. Nous n'avons plus affaire au même type de productions, il n'y a d'ailleurs aucune course au sein de ce projet-ci. Par conséquent, si cela aurait pu rebuter et interroger certaines personnes, le style semblant bien différent, ce n'est finalement pas le cas ! Personnellement, ce film est mon préféré de la licence. Il se dégage un côté très décontracté de ce long-métrage, avec un récit et une ambiance qui assument totalement ce style. Déjà, le scénario prend le parti-pris de proposer de nouveaux personnages et un point de départ bien différent. Une couche de rafraîchissement qui fait plaisir, car si les personnages sont toujours très caricaturaux, ils sont bien plus attachants que ceux du premier volet. Une belle dynamique s'installe entre eux, et on prend bien davantage le temps de s'attarder sur le personnage principal, à savoir Choupette. Elle était assez anecdotique lors du premier volet, mais je trouve qu'ils ont enfin réussi à la rendre vivante et crédible. Ces réactions sont certes bien plus exagérées et théâtrales, mais c'est ce qui lui donne une personnalité, malgré son absence de langage. Tout est donc bien plus tourné vers l'humour, et globalement, je dois dire que l'on rit plutôt beaucoup face à ce film. Beaucoup de gags fonctionnent très bien, tous étant très burlesques et cartoonesques, mais cela fonctionne, car l'ambiance assume totalement ce côté-là. On le comprend très rapidement, rien que dans ce fait de pousser le concept des objets vivant bien plus loin, avec de nouveaux personnages animés. Par conséquent, je dois dire que j'ai passé un agréable moment face au film. Le visionnage est très agréable, sans temps mort et je dois dire que c'est vraiment le meilleur projet de cette saga. Il est plutôt très bon enfant, et je vous le conseille pour un petit visionnage en famille ! Pour conclure, une belle réussite.
Ils ont bien choisi les acteurs, surtout l'insupportable Alonzo Hawk. Les courses poursuites sont vraiment sympas et il a quelques idées amusantes : Le surfer. Parfois, au niveau des effets spéciaux, on découvre une "choupette" miniature, voiture téléguidée mais c'est assez bien fait. Il y a quelques bijoux de scènes, notamment dans l'immeuble de Mr Hawk, super bien fait. Idem du rêve de Hawk et la parade de coccinelles. J'ai adoré !
Cette suite de "Un amour de Coccinelle", une nouvelle fois réalisée par Robert Stevenson et sortie en 1974, n'est pas mal mais sans plus. Choupette (ou Herbie en V.O.) a cette fois prit sa retraite des courses automobiles et vit maintenant avec une vieille dame et sa petite fille qui se battent pour garder leur maison. Bon voilà, ce n'est pas follement original mais face au succès du premier, une suite était inévitable, je m'étonne d'ailleurs qu'elle n'ait pas été produite plus tôt. Le scénario n'est pas non plus très original car lorsque l'on regarde bien, nous avons le même fond que le premier, les courses automobiles en moins. Effectivement, nous avons une nouvelle fois un personnage qui ne croit pas en l'indépendance morale de la voiture, une histoire d'amour ultra-prévisible et puis bien-sûr un méchant digne de ce nom avec une moustache. Nous avons en effet une nouvelle fois une histoire très manichéenne dans laquelle les gentils et les méchants se lancent des petites attaques continuellement (mais en même temps, sans cela, l'intrigue n'avancerait pas). Bon alors, c'est un Disney familial des années 70, on ne va pas en demander de trop et nous ne sommes pas trop regardant mais j'aurais tout de même aimé une suite un peu plus originale. Surtout que nous avons toujours ce problème de rythme qui est, à l'instar du premier, assez mal géré. En plus de la voiture, nous avons également cette fois le tramway et le juke-box qui sont vivants ainsi que toutes les autres Coccinelles de la ville en fait (la fin part un peu loin dans le délire). Mais bon, encore une fois, comme c'est un Disney, la diégèse, on s'en fout un peu. En ce qui concerne les acteurs, nous avons cette fois-ci, entre autres, Helen Hayes, Ken Berry et Stefanie Powers qui ne jouent pas trop mal. "Un nouvel amour de Coccinelle" n'est donc un indispensable mais une constitue une suite plutôt agréable.