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Santu2b
249 abonnés
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2,0
Publiée le 29 juin 2017
Sorti à la fin des années 1980, "Always" est incontestablement un Spielberg mineur. À vrai dire, rien dans cette histoire bancale située entre ici et l'au-delà, sorte de "Ghost" avant la lettre, ne parvient à nous émouvoir. Le film commence d'abord par un prologue très longuet et appuyé, où le cinéaste nous fait bien comprendre l'ébauche d'un dénuement on ne peut plus prévisible. La suite se voulant plus fantasmagorique continue pourtant dans la même platitude, que pas une seule réplique ou situation clinquante ne vient déranger. Cet aspect monotone et bancal se retrouve enfin du côté de l'interprétation ; Holly Hunter s'avère insupportable à force d'hystérie et Richard Dreyffus est correct sans être réellement bouleversant. Heureusement, l'excellent John Goodman est là pour sauver un peu l'honneur. En définitive, le seul intérêt de regarder "Always" est pour voir Audrey Hepburn dans son dernier rôle au cinéma.
Après ce chef-d’œuvre qu'était "Indiana Jones et la Dernière Croisade", Steven Spielberg réalise un film beaucoup plus modeste, mais qui a l'immense qualité de retrouver le charme et la naïveté de la première partie de sa filmographie. Cela est dû en partie à la présence de Richard Dreyfuss, mais aussi à la douceur du scénario et au décalage dans la construction des personnages. Les premières scènes, dans lesquelles s'esquissent la relation entre Pete et Dorinda, sont franchement admirables et dignes de celle entre Indy et Marion dans "Les Aventuriers de l'Arche perdue" et, même si l'histoire perd un peu en intensité au cours de son avancement, l'atmosphère reste très langoureuse. Ce n'est bien sûr pas un film majeur, et il montre la nouvelle direction artistique que va prendre le réalisateur avec "Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet, plus enfantine et moins éclatante, mais il fait le lien entre les années 70 et les années 90, et surtout reste éminemment sympathique.
"Chvais vous dire, Mademoiselle, vous êtes plutot mignonne quand vous êtes en colère him him". Spielberg s'essaye à la lovestory et livre un beau conte fantastique, libre et aérien, de facture modeste, sur l"après-mort" d'un pompier, avec une idée émouvante, celle que nos pensées pourraient etre soufflé par des ange-gardien. Tour à tour spectaculaire, touchant, drole (avec ce facétieux fantome qu'est richard Dreyfuss), le film est plein de charme et dégage beaucoup de poésie, ce que n'est absolument pas le cas de Ghost par exemple,sur la même histoire. Mention à Holly Hunter irristible en petit bout de femme volontaire et fantaisiste et aussi à Audrey Hepburn pour ce qui fut son dernier rôle. Très bonne bande-son avec notamment le "smoke gets in yours eyes" des Platters. Un spielberg méconnu mais un beau spectacle et un beau film.
l'un des films les plus nuls de Spielberg , une grosse bouse romantico herocio guimauvesque , mon dieu que c’est mauvais , ils en font des tonnes , le plus ridicule c'est la fin alors là c'est vraiment une chiasse
Steven Spielberg avec Always réalise un des films les plus personnels de toute sa carrière de réalisateur. Le réalisateur nous livre cette fois un conte moderne avec ce film, dans la veine d'un film de 1990, Ghost, malheureusement dans ce film, tout comme dans Hook, le scénario est assez plat. Le personnage principal n'a malheureusement pas d'antagonistes, et c'est vraiment dommage car c'est justement ça qui fait le charme d'un film, un antagoniste qui s'oppose idéologiquement sans rentrer dans la caricature n'aurait pas fait de mal à ce récit bien au contraire, spoiler: Dans le film,le héros meurt, et il doit, depuis l’au-delà aider un pilote à s’affirmer comme un pilote, et aider son amie à surmonter sa perte. . Même si Steven Spielberg n'a rien perdu de son talent pour nous montrer son sens de narration, son savoir faire de réalisateur, il faut dans un film des enjeux forts, et c'est malheureusement pas assez fort dans ce Always bien qu'ils peuvent être potentiellement intéressants, ils sont malheureusement traités sans grand reliefs dans le film. Steven Spielberg se limite dans ce film avec des scènes qui sont vraiment ridicules parfois spoiler: comme la scène avec le vieux par exemple . Les meilleurs moments du film sont à mon sens les 30 premières minutes et le final possède quelques bons moments assez intéressants. Le casting est pas mal, Richard Dreyfuss est bon dans son rôle. Aux côtés de Richard Dreyfuss, on a une Holly Hunter qui a un jeu assez juste dans le film, avec quelques scènes d’une belle sensibilité. Autour de ce duo, un John Goodman assez, un Brad Johnson qui est vraiment à l’aise dans son rôle et une Audrey Hepburn qui a malheureusement un rôle pas très clair et c'est un bémol du film pour ma part, l'actrice devait en faire plus pour ma part. Le jeu d'acteurs est donc assez inégal pour moi dans ce film. En résumé, un film sympathique mais ça reste tout de même un film bien mineur dans la filmographie de Steven Spielberg.
Le film est un remake de Un nommé Joe (A Guy Named Joe), réalisé par Victor Fleming en 1943. Ce dernier est d'ailleurs diffusé à la télévision dans une scène de Poltergeist, film coécrit par Steven Spielberg et réalisé par Tobe Hooper en 1982. Always est le dernier film d'Audrey Hepburn, décédée d'un cancer en 1993 Une fois le film terminé, Steven Spielberg offrit une Mazda MX5 Mk1 à Richard Dreyfuss, Holly Hunter et John Goodman Alec Baldwin refusa de jouer dans le film. Tom Cruise refusa le rôle de Ted Bake L'avion bimoteur, vedette du film, est un Douglas A-26 Invader un film magnifique pour toujours
Un mélodrame fantastique touchant et plein de bons sentiments, mais se noyant dans la mièvrerie dans la dernière partie, porté néanmoins par un casting séduisant, Holly Hunter en tête, avec également Audrey Hepburn dans son dernier rôle. 3,25
Always n’est pas le Spielberg le plus connu tout simplement parce que c’est une œuvre très mineure de sa filmographie. En effet, ce remake d’Un nommé Joe de Victor Fleming possède une bonne interprétation (à noter que c’est le dernier film avec Audrey Hepburn qui interprète un ange) et chaque séquence est bonne (l’ensemble étant tout de même réalisé par un maître de la caméra) mais le film pêche par son rythme global. En effet, l’ensemble est assez mou : si cela pourrait aller sur une séquence de temps en temps, conserver ce tempo sur tout le film a tendance à lasser et à pousser à l’ennui. Si on ajoute, en outre, que le film n’échappe pas à la sensiblerie, il faut reconnaître qu’Always est un long-métrage plutôt décevant de la part d’un cinéaste de la trempe de Steven Spielberg même s’il peut plaire aux amateurs de romances peu exigeants. On pourra lui préférer, sur un thème similaire, le Ghost de Jerry Zucker sorti quelques mois plus tard.
Romance fantastique, réalisée par Steven Spielberg, Always est un très joli film. L'histoire nous fait suivre Pete Sandich, un pompier de l'air en couple avec Dorinda, qui va décéder dans un accident d'avion lors d'une intervention. Seulement, sa vie va continuer dans l'au-delà puisqu'il va revenir auprès des siens sous la forme d'un fantôme et ainsi suivre l'apprentissage de Ted, une jeune recrue sous le charme de son ancienne fiancée que le deuil empêche de céder aux avances du pilote. Ce scénario nous offre, pendant un peu moins de deux heures, une intrigue plaisante. Les deux sujets traités à travers cet amour brisé sont particulièrement intéressant. Le premier concerne le métier de pilote de Canadair, peu souvent abordé au cinéma, mis en avant ici. Le deuxième concerne la mort, dont la vision optimiste du cinéaste donne de l'espoir. Ces deux thématiques sont très bien explorées via des personnages attachants, interprétés par une distribution agréable entre Richard Dreyfuss, Holly Hunter, John Goodman, Brad Johnson et Audrey Hepburn pour ne citer que les rôles principaux. Tous ces individus entretiennent des relations riches en émotions, l'équilibre étant très bon entre petites touches d'humours et moments larmoyants. Cela est rendu possible à la faveur de dialogues comportant de jolis mots touchants échangés. Sur la forme, la réalisation de Steven Spielberg est tout simplement grandiose. Sa mise en scène est d'une grande maîtrise, nous gratifiant de scènes aériennes haletante et immersive, soutenues par des effets spéciaux de qualité. De plus, celle-ci évolue dans un environnement mettant en avant la nature et ses dangers. Ces images spectaculaires sont accompagnées par une b.o. signée John Williams, mêlée à des chansons non originales. Si ces dernières sont appréciables, celles du compositeur ne sont pas particulièrement mémorables. Leur douceur les rendants discrètes et peu impactantes. Cette romance post mortem se conclut sur une belle fin, venant mettre un terme à Always, qui, en conclusion, est un long-métrage fortement mélancolique et sentimental à découvrir absolument.
Un peu naïf, parfois maladroit, mais souvent touchant, ce n'est pas le meilleur film de la filmographie de Spielberg mais il ne mérite clairement pas la réputation désastreuse qu'il possède. C'est une belle histoire racontée de manière classique mais le talent des acteurs principaux, la musique mélancolique, quelques scènes d'actions bien foutues et toute la maestria du maitre nous font passer un très bon moment.
Spielberg mineur et méconnu, Always raconte la mort d'un pilote de Canadair, puis son retour sur terre sous forme de fantôme pour observer le deuil de la femme qu'il aimait. Le scénario bifurque de façon inattendue vers le fantastique, mais cela ne l'empêche pas d'être ensuite cousu de fil blanc. Cela donne un mélo du Midwest à peine passable où le kitsch et le sentimental laissent parfois percer une certaine émotion, malgré tout. On retient aussi quelques idées intéressantes sur le deuil et sur l'héroïsme de héros du quotidien - lequel semble contraster à dessein et avec un brin d'ironie avec celui des protagonistes de Top Gun, film sorti trois ans plus tôt auquel on pense irrémédiablement devant Always.
Une œuvre mineure dans la filmographie de Spielberg mais qui ne manque néanmoins pas de charme. Les acteurs jouent juste, les scènes d’aviation ont très bien vieilli et le thème du deuil est évoqué de façon assez original. Le gros point noir du film étant qu’il dégouline de bons sentiments et que Spielberg en fait beaucoup trop en ce sens. Malgré tout, il se laisse regarder sans déplaisir et mérite d’être vu.
“Always” fait partie des petits films de Steven Spielberg que beaucoup ont oublié mais dont la lecture reste intéressante. Richard Dreyfuss y incarne un pompier de l’air qui décède dans un accident d’avion. Il se réveille dans l’au-delà, accueilli par une femme tout de blanc vêtue qui lui confie la mission de veiller à l’apprentissage d’une jeune recrue. Il en profitera pour rester proche de sa fiancée que le deuil empêche d’avancer. Ce remake de “Un nommé Joe” réalisé par Victor Fleming en 1943, est un drame plein de bons sentiments parsemé de dialogues qui font sourire. Loin des scènes mythiques à la Spielberg, “Always” touche par sa simplicité à raconter une histoire farfelue. C’est aussi le dernier rôle d’Audrey Hepburn qui nous quittera d’un cancer trois ans plus tard. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com