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weihnachtsmann
1 198 abonnés
5 222 critiques
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3,5
Publiée le 29 décembre 2023
Un thème très rarement évoqué, voire jamais dans le western traditionnel: l'éducation des enfants. Le shérif voit sa progéniture mal tourner à cause de son absence que ses fils lui reprochent. Très intéressant et l'intrigue avec le sens du devoir et surtout la volonté de sauver des innocents est très bien menée. Belle histoire.
Western assez classique avec un John Wayne en père un peu négligent dans l'éducation de ses deux garçons de dix sept et douze ans Ces derniers commencent à mal tourner en s'associant à trois malfrats pour cambrioler une banque. Les remords viendront plus tard en réalisant que d'autres hommes sont accusés du vol et vont être pendus. Les deux jeunes ne sont pas encore des acteurs aguerris mais s'en sortent pas trop mal.
Moi, J' aime John Wayne depuis mon enfance, pour moi, il incarne le cow-boy, le vrai, le dur et le bon, donc oui ce film est assez on dira " moyen " mais la présence de John Wayne lui donne un peu plus de prestance, et puis il se laisse voir
Un bon western classique, avec John Wayne vieillissant mais qui a toujours la gâchette facile. Dans ce film John Wayne doit affronter ses fils qui braquent des banques. Un scénario simple et efficace, à regarder comme un grand cru.
Un excellent western nul doute comme on savait les faire à cette époque. John Wayne est magistral dans ce rôle de justicier. Paysages et décors du Grand West sont au rendez-vous. A voir et à revoir.
En 1973, ce western n’était pas bon à cause de son scénario vraiment débile, la présence d’un jeune enfant constamment apeuré de 11 ans tenant un rôle important et surtout son ton incongru alternant la Violence et un ‘’je m’en foutisme’’ mal venu. Bien sur il y a John Wayne , égal à lui même mais dans un contexte dérisoire comparé à ceux filmés par Hawks ou Ford. Les bandits sont grotesques, les habitants du village inexistants. Seul Neville Brand est de bonne compagnie pour les spectateurs. Pour aggraver les choses, ce film ne se termine pas, McLaglen ne se donne pas la peine de nous dire ce que deviennent les voleurs emprisonnés car ils sont tout autant des voleurs que ceux que Cahil à tué.
Un film de western simple mais très efficace. On retrouve tous ce qu'il faut pour qu'un film de cette ampleur soit réussi, c'est à dire des plaines sauvages, un léger road movie, une musique dantesques qui reste en mémoire et bien entendu des scènes d'actions réalistes et d'une grande pureté. Ainsi, John Wayne est de retour dans un film subtil et précis où l'histoire de la famille du shériff Cahill et mis en avant et très bien expliqué où tension, retournement de situation et loyauté sont les maîtres dans ce film. Un film sans prise de tête qui ravira les fans de John Wayne et les fans de western qui passeront un excellent moment. 3,5/5
« Les cordes de la potence » est un excellent western, réalisé en 1973 par Andrew V. McLaglen. Ce spécialiste du genre a largement marqué son époque avec quelques grands classiques comme « Les oies sauvages », « Bandolero » ou encore « La route de l'ouest », mais aussi avec des films plus personnels comme celui qui nous intéresse aujourd'hui. Ce dernier se révèle d'ailleurs particulièrement intéressant grâce à ses qualités techniques et à l'originalité de son scénario. Il s'agit également d'un des derniers rôles de John Wayne, qui prend visiblement beaucoup de plaisir à interpréter le « Marshall Cahill », honnête, droit et père de famille... ce qui est plutôt inhabituel. L'intrigue tourne autour d'une bande d'aventuriers, accusés à tort d'avoir braqué une banque et sur le point d'être pendus pour ce crime. Le shérif soupçonne pourtant une erreur judiciaire et fait tout ce qui est en son pouvoir pour démasquer les vrais coupables avant l'exécution. Les décors sont superbes et les scènes d'action suffisamment nombreuses et bien chorégraphiées pour qu'on ne s'ennuie pas une seconde. Les enfants jouent aussi un grand rôle dans la réussite de l'ensemble et l'interprétation des jeunes acteurs est largement à la hauteur de cet excellent film que je vous invite à redécouvrir de toute urgence !
Un des (derniers) grands films de John Wayne. Andrew V. McLaglen nous propose une vision assez novatrice du genre épuré, le western. Les cordes de la potence est un excellent western réunissant des ingrédients connus du genre mais également en apportant une certaine nouveauté notamment dans le récit : le héros pour protégé son fils est obligé de mentir. Intéressant aussi car les "méchants" ne sont pas les Indiens ou des voyous comme on peut facilement l'imaginer mais des enfants. John Wayne, en shérif et père de famille éloigné, s'en sort merveilleusement bien. La réalisation s'avère efficace et la BO tout simplement parfaite dans la retranscription de ce qu'on voit. Ainsi, Les cordes de la potence s'inscrivent dans les must have de la filmographie (longue) de John Wayne qui décédera quelques années plus tard. Reste que ce film, à la trame narrative maligne et aux nombreuses idées, permettent au spectateur de passer un agréable moment. 1ère critique de cette nouvelle année, 2017. Une très bonne année à toutes et à tous, riche en émotions cinématographiques !
Dirigé par le modeste Andrew V. McLaglen, ce western, aux relents de polar, sent la naphtaline d’un genre sur le déclin, tout comme l’est le vieillissant John Wayne, prisonnier de l’immuable cowboy qui a maintes fois interprété. Même la présence de deux jeunes au premier plan de cette impotente intrigue n’apporte finalement rien de neuf.
Après "Le grand McLintock" (1963), "Les Géants de l'Ouest" (1969) et "Chisum" (1970) le réalisateur retrouve le monstre sacré John Wayne pour un rôle taillé sur mesure où The Duke se la joue paternaliste. Il interprète le marshall J.D. Cahill, toujours à traquer les pistoleros et qui se retrouve à aider son fils devenu braqueur de banque pour se venger d'un père absent. Le film repose trop sur un John Wayne 100% Duke avec en prime les quelques moments émotions qui en font un western familial, un sous-genre en soi.
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3,0
Publiée le 10 septembre 2014
« Quand on casse les pots, il faut en payer le prix ! » Tragèdie familiale dans l'Ouest amèricain des cowboys comme on n'en voit plus aujourd'hui où le vieillissant John Wayne a encore la gâchette facile! Le « Duke » doit affronter ses deux fils à l'èducation un peu nègligèe qui ont participè à une attaque de banque! Un marshal qui n'a jamais connu de bagarre amicale et qui, bien sûr, n'a pas sa langue dans sa poche! C'est le genre de shèrif traqueur qui dèsinfecte ses blessures avec du bon vieux whisky et qui connaît les collines environnantes de l'Ouest comme sa poche! Pourtant c'est un père qui n'a pas souvent ètè là et qui a manquè un tas de choses, come voir grandir ses enfants! il n'y a pas d'excuse pour la nègligeance et encore moins pour des gens qui oublient leur devoir! Mais ce père justicier aime ses deux fils et nous le fait savoir en milieu de film dans un joli monologue! On reconnait l'habiletè et le mètier de Andrew V. McLaglen avec de la virilitè, des fusillades, un pur-sang fringuant et un duel final tout en efficacitè! Avec "Cahill U.S. Marshal", McLaglen signe un western de bonne facture dont raffole depuis longtemps les amateurs du genre, avec un John Wayne en forme! Ce qui donne un film plaisant qui ne nous laisse à aucun moment sur notre faim avec en arrière fond une belle mèlodie, emprunt de nostalgie! Reine de la sèrie B et du film noir, Marie Windsor fait même partie de la distribution! Dommage que son personnage soit très anecdotique...
Si les films d'Andrew V. McLaglen se caractérisent habituellement par un début ultra-poussif et un dénouement plutôt réussi, ici c'est presque le contraire. Après une introduction assez originale et laissant augurer quelque chose d'excitant, « Les Cordes de la potence » s'assagit assez vite pour offrir une intrigue très convenable, mais ne sortant pas non plus des sentiers battus. Cela dit, McLaglen a l'intelligence de rester sobre en toutes circonstances, donnant à son œuvre un aspect apaisé qui lui convient bien, les personnages n'étant jamais idéalisés ni caricaturés (enfin, presque). Le tout porté par un casting s'intégrant parfaitement dans cette démarche, de John Wayne à Gary Grimes en passant par l'excellent George Kennedy. Pas de quoi sauter au plafond donc, d'autant que la promesse des premières minutes n'est qu'à moitié tenue, mais un western de bonne facture, classique et plutôt élégant : c'est déjà pas mal.
Heureusement que le ridicule ne tue pas car sinon ce vieux briscard de John Wayne serait déjà mort une bonne dizaine de fois. Dirigé par Andrew V. McLaglen, ce western, qui vient s’additionner à la liste affreusement longue de la filmographie de Monsieur Wayne, ne fait que remplir une fonction de divertissement bas de gamme pour une population adepte de justice naïve. Pas intéressant pour un sous, "Les Cordes de la potence" assombrit votre humeur par l'usage d'un script risible aux dialogues clichés et barbants où le justicier sans peur ne cesse de surjouer son rôle. Scènes d'émotions ratées au même titre que les séquences d'action nous ramènent vite à la triste réalité d'un film lambda sans la moindre résonance.