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    Le Septième Sceau
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    3,9
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    166 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 septembre 2009
    Un film bizarre mais remarquable
    leparrainz
    leparrainz

    10 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2008
    Un trés bon films d'Igmar Bergman marqué par l'enfance de celui ci ( car son pére était luthérien et on retrouve dans le film un apsect religieux intéréssant ) qui met en scène un chevalier des croisades qui revient du combat et qui rencontre la mort. Il va commencer une partie avec celle ci pour gagner du temps. Réfléxion sur la religion qui srrait basée sur la peur et sur la quête de sens de l'homme qui ne comprend pas pourquoi Dieu l'a mis sur Terre.
    Block va rencontrer une famille heureuse qui vit dans la joie et l'amour et le contraste avec l'inutilité dans laquelle il est plongée est surprenant. Face à la mort, il développe un espoir, utopique certes, mais un espoir quand même qui va le faires survivre jusqu'a ce qu'il découvre l'impensable : même la mort ne sait rien de ce qu'il y a aprés, elle est alors vu comme une rouage de cette grande horloge qu'est le Destin et alors on sait qu'on ne plus échapper à personne ni à son destin. Un terrible film de la part de Bergman qui profite du Moyen Age pour aborder une multitude de sujet qui resteront posé dans la majorité de ces films. Que cela soit au Moyen Age ou de nos jours, la quête de sens de l'homme reste insondable. Excellent.
    jerry974
    jerry974

    16 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2007
    Un film auréolé de critiques excellentes d'un célèbre réalisateur, c'est cela qui m'a poussé vers le 7eme sceau. Cette partie d'échec avec la Mort est l'occasion d'une magnifique reflexion métaphysique sur la présence de Dieu dans la vie, ou la vacuité du sens de celle-ci. Antonius Block (l'un des premiers rôles de Max Von Sydow) se nourrit de rencontres qui vont l'aider dans sa quête. Le sombre moyen-age suedois sert de cadre à cette épopée. Les superbes images en noir et blanc paraissent pourtant de temps en temps assez sèches et la mise en scène très dénudée. Rien ne respire vraiment l'opulence. Ca change du cinéma moderne, mais cette esthétique sert efficacement la reflexion philosophique du film.
    FABULOEUF
    FABULOEUF

    23 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2007
    Un petit film sympa, qui bénéficie d'une belle esthétique.
    Une daube pseudo méthaphysique de bonne facture, plutot distrayante.Mais pas de quoi atteindre le nirvana de la conscience qui tue.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2007
    En 1957, pour son dix-neuvième long-métrage Ingmar Bergman invite le spectateur à une réflexion existentielle sur l'humain, à travers la vie et la mort. Grâce à une image et des paysages d'une pureté, d'une douceur étincelante, la poésie à travers les peintures, les dialogues souvent métaphoriques, le cinéaste suit les pérégrinations d'un homme, à côté duquel la mort rode, un homme qui cherche désespéremment l'approbation de l'existence d'un dieu, du non néant après la mort. Le chevalier Antonius Block c'est Ingmar Bergman lui même en quelques sortes. Alors non sans humour - le personnage de la mort est très cynique offrant une partie d'échec à sa future victime - le réalisateur suédois évoque la souffrance humaine, les violences, les flagellations religieuses au temps où la peste dévore tout sur son passage. Et beaucoup de questions évoquées, non sans subtilités, resteront sans réponses. Mais derrière cette danse macabre, c'est une invitation à l'amour qui reste l'optimisme évident de ce "Septième sceau".
    keating
    keating

    53 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2007
    J'ai enfin découvert celui que beaucoup considèrent comme l'un des tous meilleurs réalisateurs ayant jamais existé : Ingmar Bergman . "Le septième sceau" est l'un des plus adulés de ce réalisateur . Si le film est une réussite incontestable j'ai été légérement déçu . A travers une partie d'échec entre un chevalier et la Mort tnadis qu'une épidemie de peste ravage le pays , "le septième sceau" se présente comme une longue méditation très métaphysique sur des thèmes tel que la mort ou la religion . A ce niveau-là le film est pleinement réussi , et la réflexion très pessimiste de Bergman marque les esprits . La puissance des images tout le long du film ne peut qu'impressioner . Cette fresque médiévale est filmée de main de maitre . Là où j'accroche moins c'est dans l'écriture des personnages . Ils m'ont paru un peu trop superficiels , pas assez travaillés pour que l'on puisse s'attacher à eux . Pourtant les acteurs sont remarquables , l'exellent Max Von Sydow en tête . Cela n'empêche que le "spetième sceau" est une oeuvre passionnante et me donne envie de découvrir aux plus vites d'autres films du regretté Ingmar Bergman ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 août 2007
    Un trésor en noir et blanc.

    A visualiser et revisualiser pour savourer les moindres subtilités.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 août 2007
    Le septième sceau est une oeuvre où Bergman va très loin dans la réalisation cinématographique de ses interrogations métaphysiques sur le sens de l'existence et la création divine. Bergman pose le problème à travers un chevalier qu parti en croisade n'a toujours pas résolu l'énigme de l'existence de Dieu. C'est par sa rencontre avec l'incarnation de la mort qu'il pense trouver la clef puisque c'est la mort elle-même qui doit libérer l'âme de son enveloppe corporelle pour rayonner à la lumière divine. La mort serait la clef de l'énigme et donc de l'existence. Cependant Bergman dans un pessimisme foudroyant montre que la mort est une fin en soi et qu'elle n'est en rien un moyen de s'élever à une réalité supérieure. L'incarnation de la mort le dit elle-même puisqu'elle voit tout mais ne sait rien. Allégorie pessimiste de l'omnipotence divine? En tout cas la religion semble absurde et inhumaine dans cette oeuvre qui peint un moyen-âge fanatique et irrationnel. Les images de Bergman sont plastiquement très belles dont le mouvement et la lumière sont maniés de maître, les visages d'un expressionnisme remarquable, la musique écrasante au moment de la prossession renforce l'image en lui donnant des allures grandioses. Bergman soulève des questions qu'il laisse sans veritable réponse et un immense scepticisme règne sur l'oeuvre. L'incarnation de la mort n'est pas terrifiante mais inviolable dans son mystère. Les acteurs jouent de manière juste, parfois bouffonne, parfois tragique, parfois sensible. Il ya beaucoup d'harmonie dans cette oeuvre où les personnages rappellent tous que l'humain est un être limité qui ne peut accéder au mystère del'infini, d'où parfois cette atmosphère absurde qui berce l'oeuvre. Le septième sceau est une oeuvre où la fatalité est démontrée et la mort montrée comme inéluctable destinée. On peut tromper la mortt la jouer mais on ne peut pas l'éviter. C'est peut-être finalement la conclusion d'un film où le théâtre est omniprésent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 août 2008
    "Le 7e Sceau" d'Ingmar Bergman, tourné en 1956, est essentiellement une méditation sur le sens de la vie, que la mort vient implacablement interrompre dans sa trajectoire terrestre et humaine. Un pessimisme fondamental, dont Kierkegaard est peut-être l'un des inspirateurs et père spirituel, mêle les thèmes du désespoir, de la révolte et de la misère d'une humanité sans amour, mais non sans Dieu, dont la présence sera ré-affirmée dans l' film "La source" en 1959 comme l'unique moyen de réconciliation entre les vivants.
    L'histoire est celle d'un Chevalier, auquel apparait, à son retour des Croisades et au bord d'une grève sauvage et déserte, la mort.Pour gagner du temps, et peut-être découvrir l'ultime vérité, le Chevalier lui propose une partie d'échecs. Autour d'eux, dans la Suède du 16 e siècle, que la pellicule en noir et blanc restitue dans une sorte de dépouillement minéral, la peste sévit, fauchant les vies avec une sombre indifférence. Mais le silence de Dieu semble être la seule réponse que reçoive l'ancien Croisé. L'obsession de Bergman se fait alors plus prégnante. Même si aucune représentation de Dieu n'existe, il ne peut pas ne pas y avoir une vérité à découvrir et à comprendre. Et il est certain que chacun des personnages cherche quelque chose, parfois sans le savoir, ou possède quelque chose, souvent en l'ignorant...
    "Le 7e Sceau" se déroule comme une fresque médiévale et use d'un réalisme sans outrance, mais volontairement détaché qui ajoute à l'esthétisme glacé du film. Probablement l'un des plus originaux du cinéaste, parce qu'il replace l'humain et le questionnement métaphysique au centre de nos préoccupations. Ce, avec une écriture sobre et des images qui cernent l'essentiel au plus près. Un film qui fait date et mérite de nous remettre en phase avec les problèmes fondamentaux de notre destinée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 juillet 2007
    La vision de ce film a été une grande claque. Je pense n'avoir parlé que de ça pendant 3 jours :)
    Pas la peine de revenir sur l'intérêt metaphorico-symbolico-allégorique du film, il est déjà assez mis en avant.
    A noter en plus, un éclatant talent de cinéaste et des dialogues extraordinaires.
    Chef d'oeuvre absolu donc, à voir au plus vite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 juillet 2007
    Un chevalier revenant des croisades joue aux échecs avec la Mort. Après avoir vu toutes les atrocités de la guerre, il se rend compte que la Peste ravage son pays. Il commence à s'interroger sur l'existence de Dieu. Il rencontre une troupe de comédiens qui l'aide à mieux supporter la révélation de l'athéisme. Ce film est vraiment énorme !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mai 2007
    "Le septieme sceau" est sombre, il décrit un monde plongé dans le chaos et la peur du néant après la mort. Sans pour autant être déprimant, Bergman réussi à réaliser un film qui résonne comme un rire de desespoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mai 2007
    Bergman, noir comme jamais, s'attaque aux douleurs du questionnement divin.
    loulou451
    loulou451

    123 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2007
    Plus que la mort, le destin de la vie, son sens ou sa vanité, Bergman cherche surtout à explorer la veleur de l'homme face à l'absurdité de la mort. Le Septième sceau dans le parcours cinématographique de Bergman reste un tournant. La métaphysique comme la religion n'ont pas lieu d'être, il n'y a que l'homme face à la mort, face à la religion. Dans ce 7e sceau, plus que tout, Bergman défend l'homme, ou plutôt l'humanité face à la peur, l'angoisse, l'ignorance, la violence et la manipulation. La force du film tient dans cette quête. Car sous le visage de la mort ne se cache pas l'incertitude ou quelque autre monde redouté, mais tout simplement l'homme. Nu, délesté de tout son apparat social, il doit face à ce qu'il est, à ce qu'il a fait. Rien d'autre ne compte en fait que la vie. La Mort, elle-même avoue au chevalier perdant qu'elle ne sait pas ce qui se cache dans l'au-delà. Elle ne fait que son travail... et l'homme le sien.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 avril 2007
    Désireux de voir le film depuis un moment, je dois avouer ne pas avoir été déçu par le résultat !

    Le long métrage présenté comme un chef d'oeuvre est selon moi une enfilade de scènes sans aucun intéret sur la vie et le parcours d'une troupe de comédiens amateurs. L'excuse de la partie d'échec contre la mort ne tient pas la route même au niveau du symbole. En plus ce séquences ne constituent qu'une péripétie d'un film dont les rebondissements ( épidémie de peste, bagarre a la taverne et humiliations publique d'un comédien) ne servent finalement qu'au final franchement grotesque du film : une pseudo danse macabre dans le gout de ce qui se faisait au 15e siècle en peinture. Disons le franchement : en dessin cela passe, en film cela lasse.

    Le septième sceau est donc un ovni dont je me demande comment il a pu éblouir des générations de critiques.
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