Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Aden
par La rédaction
La mise en scène de la réalisatrice s'imprègne du monologue en se concentrant sur le visage de Gilles Segal, ses rides et ses aspérités, ses yeux creusés par la concentration, étincelants de douleur et brillants d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
De cette mise en scène exténuée d'une sorte de déversement / suffocation de la conscience (...) ressortent des instants prodigieux, où sur un mouvement bien lancé, une étincelle, le cinéma se suspend comme par magie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Formidablement interprété, cet hymne à la dérision, la seule voie offerte à l'homme pour dépasser le désespoir se clôt à l'aube du septième jour, dont Dieu ne vit pas l'horreur. Parce que, comme dit le vieil homme, " c'était son jour de repos ".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bien que Segal soit un interprète idéal de son texte, cela reste un peu trop littéraire. Mais il y a quelques très jolies choses sur la liberté et sur le rire comme arme suprême face à la barbarie
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il résulte de cette combinaison de fiction et de théâtralité un profond sentiment de malaise. Jamais on ne met en doute les intentions de l'auteur du texte et de sa réalisatrice, mais le résultat penche si fort du côté de l'émotion paroxystique du mélodrame, (...) qu'En ce temps-là, l'amour va à rebours du projet didactique et poétique qui fut, au départ, le sien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Le dispositif relève de l'esthétique documentaire : longs plans fixes tournés en D.V. d'un monsieur à son bureau narrant ses souvenirs. Et pourtant, il s'agit bien d'une fiction.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
La folie d'un homme sage face à la folie des barbares. Un beau texte que vous pourrez découvrir, si les longs monologues ne vous effraient pas.
Positif
par Pierre Eisenreich
Privilégier la dimension humaine était la bonne option, celle qu'adopte Irène Jouannet. Dommage que la mise en scène pour déclencher le souvenir dans la première séquence se limites aux convenances de la simple observation d'une famille unie dans un square parisien.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Autant d'efforts indispensables pour capter l'attention sur un sujet qui s'accommode peut-être mieux de mots que d'images. Reste que le film risque de garder le même caractère confidentiel que la lettre.
TéléCinéObs
par Alain Riou
(...) une attention délicate à un texte superbe, quoique interprété de façon moins originale que l'entreprise elle-même.
Aden
La mise en scène de la réalisatrice s'imprègne du monologue en se concentrant sur le visage de Gilles Segal, ses rides et ses aspérités, ses yeux creusés par la concentration, étincelants de douleur et brillants d'émotion.
Chronic'art.com
De cette mise en scène exténuée d'une sorte de déversement / suffocation de la conscience (...) ressortent des instants prodigieux, où sur un mouvement bien lancé, une étincelle, le cinéma se suspend comme par magie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Formidablement interprété, cet hymne à la dérision, la seule voie offerte à l'homme pour dépasser le désespoir se clôt à l'aube du septième jour, dont Dieu ne vit pas l'horreur. Parce que, comme dit le vieil homme, " c'était son jour de repos ".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Bien que Segal soit un interprète idéal de son texte, cela reste un peu trop littéraire. Mais il y a quelques très jolies choses sur la liberté et sur le rire comme arme suprême face à la barbarie
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Il résulte de cette combinaison de fiction et de théâtralité un profond sentiment de malaise. Jamais on ne met en doute les intentions de l'auteur du texte et de sa réalisatrice, mais le résultat penche si fort du côté de l'émotion paroxystique du mélodrame, (...) qu'En ce temps-là, l'amour va à rebours du projet didactique et poétique qui fut, au départ, le sien.
Les Inrockuptibles
Le dispositif relève de l'esthétique documentaire : longs plans fixes tournés en D.V. d'un monsieur à son bureau narrant ses souvenirs. Et pourtant, il s'agit bien d'une fiction.
MCinéma.com
La folie d'un homme sage face à la folie des barbares. Un beau texte que vous pourrez découvrir, si les longs monologues ne vous effraient pas.
Positif
Privilégier la dimension humaine était la bonne option, celle qu'adopte Irène Jouannet. Dommage que la mise en scène pour déclencher le souvenir dans la première séquence se limites aux convenances de la simple observation d'une famille unie dans un square parisien.
Première
Autant d'efforts indispensables pour capter l'attention sur un sujet qui s'accommode peut-être mieux de mots que d'images. Reste que le film risque de garder le même caractère confidentiel que la lettre.
TéléCinéObs
(...) une attention délicate à un texte superbe, quoique interprété de façon moins originale que l'entreprise elle-même.